La France est confrontée à une crise croissante de l'industrie automobile.
Récemment, l'Allemagne, les États-Unis, l'Italie et le Royaume-Uni ont manifesté une forte volonté de développer la coopération avec la Chine dans le domaine des véhicules à énergie nouvelle.
Cela aura un impact sur l'industrie des voitures à carburant traditionnel en Europe, et il est très sage pour les gouvernements de ces pays de mettre en place rapidement des véhicules à énergie nouvelle.
Dans le même temps, cela pose également un défi à la voiture traditionnelle française.
À l'origine, l'industrie automobile traditionnelle de la France ne pouvait pas être considérée comme de premier ordre et pouvait être classée au second rang mondial.
L'industrie automobile française ne se porte pas très bien dans le monde, par exemple en Chine, non pas que la Chine soit hostile ou discriminatoire à l'égard des voitures françaises, mais elle ne se porte pas bien toute seule. Et le automobile traditionnel de l’allemagne est brillant en Chine et gagne beaucoup d’argent.
Aujourd'hui, la France est confrontée à une forte offensive chinoise sur les véhicules à énergie nouvelle et, dans le même temps, les alliés européens traditionnels de la France commencent également à se rapprocher de l'industrie chinoise. Je dirais donc que cela pourrait avoir un impact très dangereux sur l'industrie automobile française et même sur le développement économique de la France.
Récemment, l'Allemagne, les États-Unis, l'Italie et le Royaume-Uni ont manifesté une forte volonté de développer la coopération avec la Chine dans le domaine des véhicules à énergie nouvelle.
Cela aura un impact sur l'industrie des voitures à carburant traditionnel en Europe, et il est très sage pour les gouvernements de ces pays de mettre en place rapidement des véhicules à énergie nouvelle.
Dans le même temps, cela pose également un défi à la voiture traditionnelle française.
À l'origine, l'industrie automobile traditionnelle de la France ne pouvait pas être considérée comme de premier ordre et pouvait être classée au second rang mondial.
L'industrie automobile française ne se porte pas très bien dans le monde, par exemple en Chine, non pas que la Chine soit hostile ou discriminatoire à l'égard des voitures françaises, mais elle ne se porte pas bien toute seule. Et le automobile traditionnel de l’allemagne est brillant en Chine et gagne beaucoup d’argent.
Aujourd'hui, la France est confrontée à une forte offensive chinoise sur les véhicules à énergie nouvelle et, dans le même temps, les alliés européens traditionnels de la France commencent également à se rapprocher de l'industrie chinoise. Je dirais donc que cela pourrait avoir un impact très dangereux sur l'industrie automobile française et même sur le développement économique de la France.