Elections Etats Unis 2024 - Trump vs Kamala Harris - " Perspectives " Geopolitiques Internationales 2025...

Pensez vous que Donald Trump sera reelu President des Etats Unis ?

  • Donald Trump

    Votes: 9 69,2%
  • Kamala Harris

    Votes: 3 23,1%
  • Robert Francis Kennedy Jr

    Votes: 0 0,0%
  • John Doe

    Votes: 1 7,7%

  • Nombre total d'électeurs
    13
Victoire de Trump : ce que cela signifie pour l'Ukraine, le Moyen-Orient, la Russie, la Chine et l'Europe | BBC News

7 novembre 2024
Duree 7:35
Synopsis : Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche devrait remodeler la politique étrangère américaine, promettant des incertitudes sur de nombreux fronts.

* M. Trump a promis de mettre fin à la guerre en Ukraine et de relancer les relations commerciales, avec des politiques de protectionnisme et de tarifs douaniers de type « America First ».
* La politique au Moyen-Orient, où Israël combat à Gaza et au Liban avec le soutien militaire des États-Unis, est incertaine.
* Le nouveau président entretient une relation conflictuelle avec la Chine sur le plan commercial, tandis que les tensions militaires s’intensifient au sujet de Taïwan.
* L’Union européenne et l’OTAN devront à nouveau faire face aux demandes de longue date de M. Trump de faire davantage pour assurer leur propre défense militaire.

Clive Myrie présente BBC News at Ten, avec Jeremy Bowen, Steve Rosenberg et Katya Adler.

Trump réélu : Le tournant géopolitique

7 novembre 2024
Duree 42:12

Synopsis :Donald Trump devient le 47ème Président des États-Unis et les conséquences internationales de ce scrutin inquiètent déjà. Les différents acteurs européens appellent à resserrer leurs liens par anticipation d’un éloignement avec la 1re puissance mondiale. La Guerre en Ukraine, le conflit au Proche-Orient, le bras de fer commercial avec l’Europe et la Chine, mais aussi la lutte contre le réchauffement climatique... Sur tous ces fronts, le Monde attend les premières directives de l’administration Trump.

On anticipe et on analyse ces virages stratégiques avec Maud Quessard, directrice du domaine “Espace Euratlantique/Russie” à l’IRSEM et spécialiste des politiques étrangères des Etats-Unis, le géopolitique et directeur-fondateur de l’IRIS, Pascal Boniface et Philppe Étienne, ancien ambassadeur de France aux États-Unis de 2019 à 2023.
 
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Voyons le côté positif de l'élection de Trump : cela devrait porter un coup d'arrêt à toutes les conneries dérives wokistes qui ont déferlé ces dernières années.... :siffle:
 
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Et un autre point positif : le 18 décembre, la guerre en Ukraine sera finie. Les grands électeurs se réunissent pour l'élection officielle du Président, et 24 heures après, la guerre sera finie ...:siffle::siffle:
 
Bonjour mon bon Mahu

Rien de bien transcendent j'ai ouvert un dossier a ce sujet depuis mi septembre 2020 .... :)


L’Europe de l’Est, terrain des luttes d’influence énergétiques entre la Russie et les Etats-Unis (Partie 1/3) par Louis-Marie Heuzé
14 septembre 2020


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L'équipe de Trump prépare le retrait des Etats-Unis de l'Accord de Paris


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8 novembre 2024

(Reuters) - L'équipe de transition de Donald Trump a préparé des décrets pour retirer à nouveau les Etats-Unis de l'Accord de Paris sur le climat et réduire la superficie des zones protégées du territoire américain afin d'autoriser de nouveaux forages et projets miniers, rapporte vendredi le New York Times.

Communique : Donald Trump devait également mettre fin à un moratoire sur la création de nouveaux terminaux d'exportation de gaz naturel et supprimer une dérogation permettant à la Californie et d'autres Etats d'avoir des normes anti-pollution plus sévères que dans le reste du pays.

Certains membres de l'équipe de transition réfléchissent également à l'idée de transférer le siège de l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) hors de Washington, ajoute le quotidien, citant des sources au fait des discussions.

Donald Trump, qui a qualifié par le passé le changement climatique de canular, avait retiré les Etats-Unis de l'Accord de Paris de 2015 après sa première élection à la présidence en 2016, décision sur laquelle était revenue son successeur Joe Biden.


(Rédigé par Costas Pitas, Jean-Stéphane Brosse pour la version française)


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Au Pentagone, on redoute une purge massive sous la présidence Trump


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10 novembre 2024

WASHINGTON (Reuters) - Durant sa campagne électorale, Donald Trump a promis de "purger" le département américain de la Défense de ses généraux "woke". Maintenant qu'il a été élu président, la question qui taraude le Pentagone est de savoir s'il pourrait aller encore plus loin.

Communique :Lors de son premier mandat, de 2017 à 2021, le président américain s'était heurté à la résistance des hauts gradés sur de nombreux sujets, de sa position vis-à-vis de l'Otan à sa volonté de faire intervenir l'armée dans les rues des Etats-Unis.

D'anciens généraux et secrétaires américains à la Défense figurent parmi ses détracteurs les plus virulents, certains l'ayant qualifié de fasciste ou d'homme inapte à exercer les plus hautes fonctions.

Donald Trump a déjà laissé entendre que l'ancien chef d'état-major des armées Mark Milley, qui a déclaré en quittant ses fonctions en septembre 2023 que l'armée avait pour devoir de respecter la Constitution et non "un dictateur en puissance", aurait pu être exécuté pour trahison en d'autres temps.

Des anciens ou actuels officiers interrogés par Reuters s'attendent à ce que le président-élu privilégie la loyauté au cours de son deuxième mandat et limoge les gradés ou les fonctionnaires qu'il jugera trop indépendants d'esprit.

"Il va détruire le département de la Défense, sincèrement. Il va intervenir pour limoger les généraux qui défendent la Constitution", déclare Jack Reed, président démocrate de la commission sénatoriale des Armées.

CONTRE UNE ARMÉE "WOKE"

Interrogé en juin dernier par la chaîne conservatrice Fox News, Donald Trump a prévenu qu'il comptait renvoyer les généraux "woke", un terme initialement créé pour désigner les militants luttant contre les discriminations raciales ou sexuelles qu'utilisent désormais les milieux de droite et d'extrême droite pour discréditer les politiques progressistes.

"On ne peut pas avoir une armée 'woke'," a déclaré Donald Trump à Fox News.

Certains officiers craignent que la première cible du prochain président des Etats-Unis soit l'actuel chef d'état-major interarmes, le général de l'armée de l'air Charles Quinton Brown, ancien pilote de chasse et commandant militaire respecté.

Ce général quatre étoiles, qui est afro-américain, avait diffusé un message vidéo contre la discrimination dans les rangs de l'armée après la mort de George Floyd en mai 2020 et il plaide pour la diversité au sein de l'armée américaine.

Son porte-parole, sollicité pour un commentaire, a répondu : "Le chef d'état-major et tous les membres des forces armées restent concentrés sur la sécurité et la défense de notre nation et continueront de le faire, assurant une transition ordonnée vers la nouvelle administration du président élu Trump."

James David Vance, vice-président élu, a voté l'an dernier, en tant que sénateur, contre la confirmation de C.Q. Brown au poste de plus haut gradé de l'armée américaine.

"Si des gens au sein de votre propre gouvernement vous désobéissent, vous devez vous en débarrasser", a également averti le colistier de Donald Trump dans une interview avant l'élection.

Pendant la campagne, Donald Trump s'est engagé à rebaptiser du nom d'un général confédéré une base militaire dont le nom avait été changé après la mort de George Floyd. Il s'en est également pris aux militaires transgenre dont il a condamné la supposée faiblesse.

L'équipe de transition n'a pas donné suite à une demande de commentaires.

"2016 SOUS STÉROÏDES"

Le candidat républicain a encore suggéré que l'armée pourrait jouer un rôle important dans la mise en oeuvre de ses priorités, notamment dans les expulsions massives de migrants, voire pour réprimer des manifestations.

De telles propositions alarment les experts militaires, car elles ne seraient non seulement contraires à la loi mais pourraient retourner une partie de la population américaine contre ses propres forces armées, jusqu'ici très respectées.

Dans un message diffusé à l'armée après la victoire électorale de Donald Trump, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a souligné que l'armée obéirait à tous les ordres "légaux" des dirigeants civils.

Mais des experts relèvent que Donald Trump sera en mesure d'interpréter la loi avec une grande latitude et que les militaires ne pourront désobéir à des ordres même s'ils les jugent contraires à leur éthique.

"L'opinion publique croit souvent à tort que les militaires peuvent choisir de ne pas obéir à des ordres immoraux, mais ce n'est tout simplement pas vrai", déclare Kori Schake, de l'American Enterprise Institute, un think-tank néolibéral, qui s'attend à de nombreux limogeages.

"Je pense que le second mandat de Trump sera extrêmement chaotique à la fois en raison des politiques qu'il tentera de mettre en oeuvre et des personnes qu'il mettra en place pour les faire appliquer", ajoute-t-elle.

Ces inquiétudes sont toutefois tempérées par un responsable militaire américain, qui estime sous le sceau de l'anonymat que créer le chaos au sein de la chaîne de commandement entraînerait des réactions politiques négatives et desservirait Donald Trump.

"Ils vont découvrir que les officiers se concentrent avant tout sur la guerre et non la politique. Je pense qu'ils en seront satisfaits, en tout cas ils devraient l'être."

Les fonctionnaires du Pentagone pourraient être soumis à des tests de loyauté, prédisent encore plusieurs anciens ou actuels gradés. L'entourage du président élu a publiquement annoncé son intention de limoger par décret des milliers de fonctionnaires et les remplacer par des fidèles.

Pendant son premier mandat, certaines propositions lancées par Donald Trump à ses conseillers, tirer par exemple des missiles sur le Mexique pour détruire des laboratoires de drogue, n'ont jamais vu le jour en raison des résistances du Pentagone.

"Je suis profondément inquiet pour les effectifs", dit un responsable. "Ce sera 2016 sous stéroïdes. Le risque est qu'il dégarnisse les effectifs et réduise l'expertise à un point tel qu'il causera des dommages irréparables au Pentagone."


 
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États-Unis : Donald Trump promet la fin des guerres et une «armée forte»


15 novembre 2024

«Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l’a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé jeudi le président élu, lors d’un gala dans son fief de Mar-a-Lago, à Palm Beach, en Floride .

Article : Donald Trump a promis jeudi une «armée forte» et la fin des guerres au Proche-Orient et en Ukraine, tandis que les ministères de la Défense et des Affaires étrangères ont assuré que la transition entre démocrates et républicains serait fluide jusqu'au 20 janvier. Lors d'un gala dans son fief de Mar-a-Lago à Palm Beach en Floride, le président élu s'est félicité de ses nominations fracassantes à la Santé, Justice, Défense et à une commission pour l'«efficacité gouvernementale» confiée à Elon Musk.

«Nous devons retrouver un grand pays avec des impôts faibles et une armée forte. Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l'a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé Trump en critiquant «le gros morceau» qu'ont représenté de 2001 à 2021 les quelque 1000 milliards de dollars de dépenses américaines en Afghanistan. Ce chiffre colossal avait été donné par le président Joe Biden lors du retrait militaire d'août 2021.

Une armée réduite ?

Partisan d'une politique étrangère non interventionniste, Trump a promis de «travailler sur le Proche-Orient et (de) travailler très dur sur la Russie et l'Ukraine» car «cela doit s'arrêter». Le président élu a confié à Elon Musk le soin de proposer des coupes claires de quelque 2000 milliards de dollars dans les dépenses de l'État fédéral, avec de possibles nombreuses suppressions de postes de haut gradés au Pentagone.

Interrogée sur un risque de réduction de la taille de l'armée la plus puissante de la planète, la porte-parole adjointe de la Défense de la présente administration démocrate, Sabrina Singh, a rappelé le blocage pendant des mois en 2023 par un sénateur républicain au Congrès de la nomination de 425 chefs militaires. «Un nombre important de postes de généraux et d'officiers supérieurs (étaient) en suspens (...) et des gens occupaient ainsi deux, trois postes en même temps: oui, cela aurait un impact sur les opérations, sur le moral et sur le ministère», a prévenu Mme Singh.

«Assurer une transition dans l’ordre et dans le calme»

Mais d'ici à l'investiture de Donald Trump le 20 janvier, «(nous allons) faire tout ce que nous pourrons pour assurer une transition en ordre et dans le calme», a-t-elle promis. «Quand l'équipe du prochain secrétaire (à la Défense) sera prête pour cette transition, nous voudrions faire en sorte qu'ils soient prêts à réussir», a ajouté la porte-parole, sans évoquer de contacts entre le ministre et chef sortant du Pentagone, Lloyd Austin, et celui qui a été désigné par Donald Trump, Pete Hegseth.

Ce présentateur de la chaîne prisée des conservateurs Fox News, est un ancien officier d'infanterie au sein de la Garde nationale, qui a été déployé en Irak et en Afghanistan. Si cet homme de 44 ans, qui n'a jamais dirigé la moindre institution, est confirmé par le Sénat, il commandera 3,4 millions de soldats et de civils et sera à la tête d'un budget annuel faramineux de plus de 850 milliards de dollars.

Quant à la diplomatie américaine, le secrétaire d'État démocrate Antony Blinken devrait avoir «dans les semaines à venir des échanges adéquats» avec son successeur désigné mercredi, Marco Rubio, concernant la transition, selon le porte-parole du département d'État Vedant Patel. Le sénateur républicain de Floride de 53 ans, réputé pour ses prises de position hostiles à la Chine et à l'Iran, sera «un défenseur ardent de notre nation, un véritable ami pour nos alliés et un guerrier intrépide qui ne reculera jamais face à nos adversaires», a vanté Donald Trump.


 

États-Unis : Donald Trump promet la fin des guerres et une «armée forte»


15 novembre 2024

«Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l’a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé jeudi le président élu, lors d’un gala dans son fief de Mar-a-Lago, à Palm Beach, en Floride .

Article : Donald Trump a promis jeudi une «armée forte» et la fin des guerres au Proche-Orient et en Ukraine, tandis que les ministères de la Défense et des Affaires étrangères ont assuré que la transition entre démocrates et républicains serait fluide jusqu'au 20 janvier. Lors d'un gala dans son fief de Mar-a-Lago à Palm Beach en Floride, le président élu s'est félicité de ses nominations fracassantes à la Santé, Justice, Défense et à une commission pour l'«efficacité gouvernementale» confiée à Elon Musk.

«Nous devons retrouver un grand pays avec des impôts faibles et une armée forte. Nous devons nous occuper de nos forces armées. On l'a déjà fait, on va devoir le refaire», a martelé Trump en critiquant «le gros morceau» qu'ont représenté de 2001 à 2021 les quelque 1000 milliards de dollars de dépenses américaines en Afghanistan. Ce chiffre colossal avait été donné par le président Joe Biden lors du retrait militaire d'août 2021.

Une armée réduite ?

Partisan d'une politique étrangère non interventionniste, Trump a promis de «travailler sur le Proche-Orient et (de) travailler très dur sur la Russie et l'Ukraine» car «cela doit s'arrêter». Le président élu a confié à Elon Musk le soin de proposer des coupes claires de quelque 2000 milliards de dollars dans les dépenses de l'État fédéral, avec de possibles nombreuses suppressions de postes de haut gradés au Pentagone.

Interrogée sur un risque de réduction de la taille de l'armée la plus puissante de la planète, la porte-parole adjointe de la Défense de la présente administration démocrate, Sabrina Singh, a rappelé le blocage pendant des mois en 2023 par un sénateur républicain au Congrès de la nomination de 425 chefs militaires. «Un nombre important de postes de généraux et d'officiers supérieurs (étaient) en suspens (...) et des gens occupaient ainsi deux, trois postes en même temps: oui, cela aurait un impact sur les opérations, sur le moral et sur le ministère», a prévenu Mme Singh.

«Assurer une transition dans l’ordre et dans le calme»

Mais d'ici à l'investiture de Donald Trump le 20 janvier, «(nous allons) faire tout ce que nous pourrons pour assurer une transition en ordre et dans le calme», a-t-elle promis. «Quand l'équipe du prochain secrétaire (à la Défense) sera prête pour cette transition, nous voudrions faire en sorte qu'ils soient prêts à réussir», a ajouté la porte-parole, sans évoquer de contacts entre le ministre et chef sortant du Pentagone, Lloyd Austin, et celui qui a été désigné par Donald Trump, Pete Hegseth.

Ce présentateur de la chaîne prisée des conservateurs Fox News, est un ancien officier d'infanterie au sein de la Garde nationale, qui a été déployé en Irak et en Afghanistan. Si cet homme de 44 ans, qui n'a jamais dirigé la moindre institution, est confirmé par le Sénat, il commandera 3,4 millions de soldats et de civils et sera à la tête d'un budget annuel faramineux de plus de 850 milliards de dollars.

Quant à la diplomatie américaine, le secrétaire d'État démocrate Antony Blinken devrait avoir «dans les semaines à venir des échanges adéquats» avec son successeur désigné mercredi, Marco Rubio, concernant la transition, selon le porte-parole du département d'État Vedant Patel. Le sénateur républicain de Floride de 53 ans, réputé pour ses prises de position hostiles à la Chine et à l'Iran, sera «un défenseur ardent de notre nation, un véritable ami pour nos alliés et un guerrier intrépide qui ne reculera jamais face à nos adversaires», a vanté Donald Trump.


En nommant Pete Hegseth (ancien présentateur de Fox News) comme Secrétaire à La Défense (ce qui reviendrait peu ou prou à nommer Cyrile Hanouna Ministre de la Défense), Trump veut débarrasser l'armée des gonzesses, des tantouzes et autres LGBT... plus tous les généraux qui ont osé manifester le moindre désaccord avec sa candidature et ce qui lui tient lieu de programme.

La nomination de Robert Kennedy, complotiste et anti-vax notoire vaut son pesant de cacahuètes ...

Quant à Musk, pour peu qu'il réussisse à envoyer une mission habitée sur Mars d'ici 2029, il fera un bon candidat pour la prochaine élection.
 
En nommant Pete Hegseth (ancien présentateur de Fox News) il n'est Secrétaire à La Défense (ce qui reviendrait peu ou prou à nommer Cyrile Hanouna Ministre de la Défense), Trump veut débarrasser l'armée des gonzesses, des tantouzes et autres LGBT... plus tous les généraux qui ont osé manifester le moindre désaccord avec sa candidature et ce qui lui tient lieu de programme.

La nomination de Robert Kennedy, complotiste et anti-vax notoire vaut son pesant de cacahuètes ...

Quant à Musk, pour peu qu'il réussisse à envoyer une mission habitée sur Mars d'ici 2029, il fera un bon candidat pour la prochaine élection.

Bonsoir Chris

Monsieur Musk n'est pas eligible a la presidence , car il n'est pas ne sur le territoire des Etats Unis ...

Musk was born in Pretoria, South Africa, and briefly attended the University of Pretoria before immigrating to Canada at the age of 18, acquiring citizenship through his Canadian-born mother. Two years later, he matriculated at Queen's University at Kingston in Canada. Musk later transferred to the University of Pennsylvania and received bachelor's degrees in economics and physics. He moved to California in 1995 to attend Stanford University but never enrolled in classes, and with his brother Kimbal co-founded the online city guide software company Zip2. The startup was acquired by Compaq for $307 million in 1999. That same year, Musk co-founded X.com, a direct bank. X.com merged with Confinity in 2000 to form PayPal. In 2002, Musk acquired US citizenship, and that October eBay acquired PayPal for $1.5 billion. Using $100 million of the money he made from the sale of PayPal, Musk founded SpaceX, a spaceflight services company, in 2002.
 
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Pour le vrac sec, les droits de douane restent un gros mot
Les cours des matières premières ont réagi avec inquiétude à la réélection de Donald Trump. Sans cela, les taux spot des vraquiers sont sous pression dans toutes les catégories. La demande est à la traîne, les prix des matières premières en vrac étant orientés à la baisse.

Comme pour l’ensemble des secteurs susceptibles d’être touchés par une nouvelle guerre tarifaire, les cours des matières premières ont réagi avec inquiétude à l'élection de Donald Trump en tant que président des États-Unis
Le minerai de fer, principale matière première utilisée pour fabriquer l'acier, est fortement exposé à la Chine et risque donc de connaître une baisse de la demande si les exportations de la deuxième économie mondiale sont touchées par les droits de douane prévus par Donald Trump et par le ralentissement et la réorganisation du commerce mondial qui s'ensuivront probablement.
Sans cela, les taux spot des vraquiers sont sous pression dans toutes les catégories. L'augmentation des tonnes-milles liée à la guerre en Ukraine et à la crise de la mer Rouge opère déjà selon la règle de l'offre et de la demande. En l'occurrence, la demande est à la traîne, les prix des matières premières en vrac étant orientés à la baisse.
Selon les données de Clarksons Securities, les tarifs pour les capesize, les plus grands du segment, ne sont pas très inférieurs à leur moyenne sur cinq ans, mais ils ont chuté de 52 % d'un mois sur l'autre en octobre pour atteindre 14 800 $/j. Les taux pour les panamax sont en baisse de 22 %, à 10 800 $ par jour.

Les prix des matières premières en baisse​

L'atonie de la demande de transport maritime de marchandises en vrac coïncide avec la baisse des prix des matières premières, catalyseurs de la demande. Selon Trading Economics, les prix de référence ont baissé de 40 % depuis le début de l'année pour le minerai de fer, de 13 % pour les barres d'armature en acier, et selon les données de Macrotrends, de 24 % pour le soja, de 5 % pour le maïs et de 4 % pour le blé.
Dans ses nouvelles perspectives, publiées le 22 octobre, le Fonds monétaire international (FMI) prévoit désormais que la croissance économique mondiale se maintiendra à 3,2 % en 2025 et 2026, contre 3,3 % cette année. Quant à l’économie chinoise, dont le transport maritime de marchandises en vrac dépend de manière disproportionnée, le FMI l’estime à 4,8 % l'année prochaine et à 4,5 % en 2026, contre 5,2 % cette année.
Étant donné qu'aucune poussée de croissance n'est attendue, la hausse des taux de transport maritime dépend de plans « jokers », plus ou moins hypothétiques : une relance chinoise basée sur des grands programmes d’infrastructure comme dans le passé, ce qui au regard de son niveau d'endettement paraît peu probable. D’autres misent sur le réveil d'antagonismes commerciaux, comme entre la Chine et l’Australie, qui selon un autre bon vieil usage, verrait les imports/exports de part et d’autre se reconfigurer au profit des vraquiers amenés à parcourir de plus longue distance.
 
Bonsoir Chris

Monsieur Musk n'est pas eligible a la presidence , car il n'est pas ne sur le territoire des Etats Unis ...
Tu as raison, j’avais oublié ce point … Mais Trump est capable de faire changer la constitution pour faire un troisième mandat, ou pour accorder l’éligibilité aux personnes nées hors du territoire, ou même, comme il l’a laissé entendre, supprimer l’élection présidentielle…
 
Quant à Musk, pour peu qu'il réussisse à envoyer une mission habitée sur Mars d'ici 2029, il fera un bon candidat pour la prochaine élection.
En plus de son lieu de naissance, ça m’étonnerait qu’on voit une mission pour mars aussi tôt. 2029 ce sera l’année des chinois sur la Lune, c’est la seule chose dont on est à peu près certains.
 
C'est triste de voir que @ChrisHK malgré toutes ses années passées en Chine soit encore complètement téléguidé par les médias français :(
La lecture de China Daily, du Quotidien du Peuple et de Shine aurait dû me montrer ce qu'était un média impartial, un modèle de vertu journalistique ???
Vaut mieux entendre ça que d'être sourd ... quoique ... :mur::mur::mur:
 
La lecture de China Daily, du Quotidien du Peuple et de Shine aurait dû me montrer ce qu'était un média impartial, un modèle de vertu journalistique ???
Vaut mieux entendre ça que d'être sourd ... quoique ... :mur::mur::mur:
Non, mais à un moment donné on peut:
- prendre du recul par rapport à *tous* les média (ce que l'éloignement en Chine contribue)
- écouter les paroles mais surtout regarder les actes de *toutes* les parties
- utiliser sa mémoire et son esprit critique lorsque l'on donne son avis et pas uniquement le dernier article du Figaro/Libération/etc..

Il y a un excellent exemple ici.

Tu nous expliques que Trump à nommé un équivalent d'Hannouna américain à leur ministère de la défense... Ce qui est complètement faux puisqu'à ma connaissance Hannouna n'a pas servi dans l'armée (17 ans pour Pete Hegseth, de 2003 à 2020), ni même été déployé en opérations extérieures.

La nomination de Pete Hegseth est sans doute critiquable mais le réduire à simple présentateur télé est mensonger. Pas besoin de lire China Daily, du Quotidien du Peuple et de Shine pour le savoir.

On est en 2024, on a tous les outils a disposition pour ne pas se reposer uniquement sur un clergé médiatique pour savoir quoi penser.