J'aimerais bien connaitre les produits taxés à 130% ... et par quel pays ...... « S’ils nous taxent à 130 % et que nous ne les taxons pas, cela ne restera pas comme ça », a-t-il affirmé. «
... mais c'est aussi eux qui ont le plus gros flingue en main et (je le rappelle parce que ça fait rêver certains), les plus grosses bu..es.
Mourir avec pour seule satisfaction d'être seul au monde à avoir raison, est-ce meilleur ou pire que mourir parce que le seul au monde à avoir tord est le maitre ?
les Etatsuniens se rendent-ils compte du risque qu'ils font courir au monde ?
Hm il y a qqchose qui s'appele le soft power. Je rapelle au passage que c'est le soft power qui a mis fin a l'URSS. Pas un seul coup de feu de tire. En agissant comme ils le font, les US reduisent leur soft power a zero. Qui en profite? Le camp adverse.
Au final oui. L'URSS s'est ecroule parcequ'elle n'a pas su apporter a ses habitants le meme niveau de vie que le monde capitaliste. Le Mac Do en fait partie au meme titre que le Coca, Hollywood, et les sacs Vuitton.
Je propose qu'on proclame le 20 janvier (investiture) ou le 5 novembre (élection) comme "Jour des cons" ....![]()
Trump signe un décret proclamant le 9 février comme "jour du golfe de l'Amérique", en survolant le golfe du Mexique
Dans un décret signé dès son arrivée au pouvoir en janvier, le président américain avait décidé, unilatéralement, de renommer le golfe du Mexique en "golfe de l'Amérique."www.bfmtv.com
Bonsoir ChrisJe propose qu'on proclame le 20 janvier (investiture) ou le 5 novembre (élection) comme "Jour des cons" ....![]()
En 1862, la Homestead Act («Loi sur le fermage») permettait de concéder gratuitement un carré de un demi-mile, soit 160 acres (64,7 ha) de terres agricoles, à toute famille non indiennequi s'engageait à s'établir et à mettre en valeur le terrain qu'elle avait en fermage, pour une période d'au moins cinq ans. En 1871, l'Indian Appropriations Act («Loi sur les appropriations indiennes») était adoptée par le Congrès des États-Unis afin de supprimer l'ancienne politique des traités avec les Indiens. Dès lors, la loi ne reconnaissait plus les nations indiennes, mais seulement les individus. En abolissant unilatéralement le statut de souveraineté des tribus indiennes, les Américains purent ainsi interpréter les réglementations qui suivirent en fonction de leurs intérêts et considérèrent que les traités étaient abolis. Or, la loi de 1871 confirmait clairement la validité de tous les traités conclus avec les Indiens avant le 3 mars 1871. La Dawes Severalty Act («Loi sur l'allotissement général») de 1887 accorda à chaque Amérindien un certain nombre d'acres de terre et mit le restant des réserves à la disposition des colons américains. Ce lotissement sera amplifié par la Burke Act de 1906, qui sera destinée à supprimer la propriété collective des terres et à transformer les Indiens en fermiers. Bref, l'histoire américaine témoigne que le droit peut être mis au service du colonialisme. Entre l'arrivée des «Pères pèlerins» en 1620 à bord du Mayflower dans la baie de Plymouth et 1860, les Indiens des États-Unis avaient perdu la quasi-totalité de leurs terres ancestrales. Ils perdront le reste au cours du siècle qui suivra. Ne subsisteront que quelques minuscules réserves indiennes. En 1881, l'écrivaine Helen Hunt Jackson (1830-1885), perçue à l'époque comme une activiste pour les droits des Native Americans, publiait un violent réquisitoire contre cette politique dans un volume au titre évocateur: A Century of Dishonor : A Sketch of the United States Government's Dealings With Some of the Indian Tribes («Un siècle de déshonneur : une ébauche des ententes du gouvernement des États-Unis avec certaines tribus indiennes»). |
The history of the Government connections with the Indians is a shameful record of broken treaties and unfulfilled promises. The history of the border white man's connection with the Indians is a sickening record of murder, outrage, robbery, and wrongs committed by the former, as the rule, and occasional savage outbreaks and unspeakably barbarous deeds of retaliation by the latter, as the exception. Taught by the Government that they had rights entitled to respect, when those rights have been assailed by the rapacity of the white man, the arm which should have been raised to protect them has ever been ready to sustain the aggressor. The testimony of some of the highest military officers of the United States is on record to the effect that, in our Indian wars, almost without exception, the first aggressions have been made by the white man. . . . Every crime committed by a white man against an Indian is concealed and palliated. Every offense committed by an Indian against a white man is borne on the wings of the post or the telegraph to the remotest corner of the land, clothed with all the horrors which the reality or imagination can throw around it. Against such influences as these are the people of the United States need to be warned. _________ Helen Hunt Jackson. A Century of Dishonor, 1881 | L'histoire des rapports entre le gouvernement et les Indiens est un relevé honteux de traités violés et de promesses non tenues. L'histoire des rapports entre les Blancs et les Indiens est un relevé dégoûtant de meurtres, d'atrocités, de vols et de crimes commis habituellement par les colons et de violents accès de révoltes et d'exactions barbares de représailles inouïes commis exceptionnellement par les Indiens. Informés par le gouvernement que leurs droits devient être respectés, les Indiens ont vu ces droits bafoués par la rapacité des Blancs; le bras qui devait servir à les protéger a toujours été prêt à favoriser l'agresseur. Le témoignage de certains des officiers militaires les plus hauts gradés des États-Unis révèle que, dans nos guerres indiennes, presque sans exception, les premières agressions ont été commises par les Blancs.... Chaque crime commis par un Blanc contre un Indien est caché et minimisé. Chaque affront commis par un Indien contre un Blanc est transmis par voie postale ou télégraphique dans les coins les plus reculés de la terre, maquillé de toutes les horreurs dont la réalité ou l'imagination peut l'entourer. Les citoyens des États-Unis doivent être mis au courant de ce genre de manipulations. _________ Helen Hunt Jackson. Un siècle de déshonneur, 1881 |
Les tariffs sont sur les materiaux bruts?États-Unis : Trump annonce des droits de douane de 25 % sur l’aluminium et l’acier importés dans le pays à partir de ce lundi
10 fevrier 2025
Dès lundi, l’aluminium et l’acier importés aux États-Unis feront l’objet de droits de douane à hauteur de 25 %.
Article : Les États-Unis vont imposer à partir de lundi 25 % de droits de douane sur l’aluminium et l’acier arrivant dans le pays, a annoncé dimanche le président Donald Trump.
« Tout l’acier arrivant aux États-Unis aura 25 % de droits de douane », a déclaré le chef de l’État depuis l’avion présidentiel, selon des éléments rapportés par les reporters présents à bord de l’appareil le transportant jusqu’à La Nouvelle-Orléans pour assister à la finale de la Ligue professionnelle de football américain.
Donald Trump a ajouté que le même niveau de droits de douane s’appliquerait à l’aluminium.
« Droits de douane réciproques »
Donald Trump a aussi indiqué qu’il annoncerait « mardi ou mercredi » des « droits de douane réciproques », afin d’aligner la taxation des produits entrant aux États-Unis sur la manière dont sont taxés les produits américains à l’étranger. « S’ils nous taxent à 130 % et que nous ne les taxons pas, cela ne restera pas comme ça », a-t-il affirmé. « Cela n’affectera pas tous les pays parce que certains imposent les mêmes droits de douane que nous. Mais ceux qui profitent des États-Unis se verront rendre la pareille », a-t-il ajouté.
Depuis l’investiture de Donald Trump en janvier, les droits de douane sont au cœur de sa politique économique et diplomatique, vus comme un moyen de résorber le déficit commercial des États-Unis autant que comme un levier de négociations avec les pays visés.
Depuis mardi, les produits venant de Chine sont renchéris par des droits de douane additionnels de 10 % - mesure à laquelle Pékin a décidé de rétorquer par des surtaxes ciblées sur certains produits américains à partir du 10 février.
Les exportations du Mexique et du Canada vers les États-Unis devaient aussi initialement se voir infliger des droits de douane (de 25 %) à compter de mardi. Mais Donald Trump leur a accordé à la dernière minute un sursis d’un mois après avoir reçu des engagements sur le renforcement de la sécurité aux frontières.
Lien retiré
Lien retiré
Lien retiré
Lien retiré
Lien retiré
C’est un forcené… il vaLes tariffs sont sur les materiaux bruts?
Va t il taxer les vehicles fabriquer hors états unis de 25% car ça contient pas mal de metaux.
Bret Baier: "Would the Palestinians have the right to return to Gaza?"
President Trump: "No." Lien retiré
— Eli Kowaz - איליי קואז (@elikowaz) Lien retiré
EXCLU Lien retiré - Emmanuel Macron répond à Donald Trump : "Gaza n’est pas une terre vide, c’est un territoire où vivent deux millions de personnes." Lien retiré
— CNN France PR (@CNNFrancePR) Lien retiré
Pas un coup de feu tiré dis-tu ? Pas de champ de bataille plutôt. (certes, c'est déjà ça !)Hm il y a qqchose qui s'appele le soft power. Je rapelle au passage que c'est le soft power qui a mis fin a l'URSS. Pas un seul coup de feu de tire. En agissant comme ils le font, les US reduisent leur soft power a zero. Qui en profite? Le camp adverse.
Et en passant, quand j'etais aux US, j'ai vraiment pas ete impressione par ce pays. La qualite de ce qui y est propose est sub-part par rapport a ce qu'on trouve ailleurs. Si on rentre dans le dur avec la Chine ou la Russie, on va avoir des surprises.