rho et l'autre il commence à chipoter...
Vive Guangzhou municipalité libre !
Pourquoi seules Beijing, Tianjin, Shanghai et Chongqing ?
rho et l'autre il commence à chipoter...
On m'aurait menti, à l'insu de mon plein gré ?
La pollution était pas très basse à Shanghai ?
Wesh même dans le Henan ils sont en dessous...
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On m'aurait menti, à l'insu de mon plein gré ?
La pollution était pas très basse à Shanghai ?
Wesh même dans le Henan ils sont en dessous...
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Xi est passé mardi de la semaine dernière ....
Puis une fois, qu'il est reparti, ils ont tout remis en marche ...
Et boom, les chiffres ont explosé ces derniers jours ...
Un témoignage :j'ai entendu dire qu'ils fabrique encore leur Electricité au charbon et c'est un facteur important de pollution.
ils prévois de se diriger vers le nucléaire mais quand aucune idée.
j'ai entendu dire qu'ils fabrique encore leur Electricité au charbon et c'est un facteur important de pollution.
ils prévois de se diriger vers le nucléaire mais quand aucune idée.
J'ai entendu dans la vidéo de Soral (on a les références qu'on mérite) que la CDN avait peu de ressources naturelles (charbon ou pétrole). Tu insinues qu'ils exportent quand même du charbon en Chine ?que celui importé d'Australie (ou de Corée du Nord)
J'ai entendu dans la vidéo de Soral (on a les références qu'on mérite) que la CDN avait peu de ressources naturelles (charbon ou pétrole). Tu insinues qu'ils exportent quand même du charbon en Chine ?
Intéressant et encourageant. Mais, et a la lecture de l article, cela ne semble pas aborde: lier l espérance de vie a la pollution et s arrêter la surtout ne me parait suffisant. Car ces dernières années, la Chine a fait aussi de très gros efforts et progrès dans la santé, l accueil, ... et le suivi du patient.La Chine en train de gagner sa guerre à la pollution, selon une étude américaine
La Chine, premier pollueur mondial, "est en train de remporter la guerre contre la pollution" atmosphérique, au point d'esquisser une augmentation de l'espérance de vie de plus de deux ans, selon une étude américaine rendue publique mardi.
A partir de données collectées par 200 récepteurs répartis dans tout le pays, l'Université de Chicago a calculé que le taux de particules fines, très nuisibles pour la santé, avait baissé de 32% entre 2013 et 2017.
Si cette tendance se maintenait, l'espérance de vie moyenne des Chinois augmenterait de 2,4 ans, selon l'étude. Les particules fines (PM 2,5) jouent un rôle dans les maladies cardiovasculaires et respiratoires ainsi que le cancer.
"Il n'y a pas d'exemple d'un pays parvenant à une réduction aussi rapide de la pollution atmosphérique. C'est remarquable", déclare à l'AFP Michael Greenstone, qui a dirigé l'étude à l'Institut de politique énergétique de l'Université de Chicago.
Par contraste, il a fallu plus d'une dizaine d'années aux Etats-Unis pour parvenir à une amélioration comparable après l'adoption d'une loi sur l'air en 1970. "Ce que les quatre années écoulées prouvent, c'est que les choses peuvent changer, et même rapidement, avec de la volonté politique", observe M. Greenstone.
Sous la pression de l'opinion publique, le régime communiste a lancé en 2013 un plan contre la pollution destiné à réduire d'un quart la concentration de particules fines dans certaines régions clés comme autour de Pékin et Shanghai.
"La Chine n'est pas considérée comme un pays démocratique et pourtant on constate que le gouvernement a dû prendre des mesures que l'opinion exigeait", note M. Greenstone. La politique antipollution s'est toutefois accompagnée d'un coût économique et social, les autorités ordonnant la fermeture de milliers d'usines trop proches des centre-ville.
Elles ont également décrété fin 2017 la fin du chauffage au charbon, la principale source d'énergie en Chine, dans des régions du nord du pays, avant même que des systèmes de chauffage au gaz aient pu être installés. Des écoles de la province du Hebei (nord) ont dû se résoudre à faire classe dans la cour, où la température était moins froide qu'à l'intérieur.
L'hiver, traditionnellement marqué par des périodes de forte pollution dans le nord de la Chine, a été moins affecté cette année mais un pic de pollution frappait Pékin mardi, avec un taux de particules fines supérieur à 300 microgrammes par m3, soit plus de 12 fois la norme recommandée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
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La Chine en train de gagner sa guerre à la pollution, selon une étude américaine
La Chine, premier pollueur mondial, "est en train de remporter la guerre contre la pollution" atmosphérique, au point d'esquisser une augmentation de l'espérance de vie de plus de deux ans, selon une étude américaine rendue publique mardi.
A partir de données collectées par 200 récepteurs répartis dans tout le pays, l'Université de Chicago a calculé que le taux de particules fines, très nuisibles pour la santé, avait baissé de 32% entre 2013 et 2017.
Si cette tendance se maintenait, l'espérance de vie moyenne des Chinois augmenterait de 2,4 ans, selon l'étude. Les particules fines (PM 2,5) jouent un rôle dans les maladies cardiovasculaires et respiratoires ainsi que le cancer.
"Il n'y a pas d'exemple d'un pays parvenant à une réduction aussi rapide de la pollution atmosphérique. C'est remarquable", déclare à l'AFP Michael Greenstone, qui a dirigé l'étude à l'Institut de politique énergétique de l'Université de Chicago.
Par contraste, il a fallu plus d'une dizaine d'années aux Etats-Unis pour parvenir à une amélioration comparable après l'adoption d'une loi sur l'air en 1970. "Ce que les quatre années écoulées prouvent, c'est que les choses peuvent changer, et même rapidement, avec de la volonté politique", observe M. Greenstone.
Sous la pression de l'opinion publique, le régime communiste a lancé en 2013 un plan contre la pollution destiné à réduire d'un quart la concentration de particules fines dans certaines régions clés comme autour de Pékin et Shanghai.
"La Chine n'est pas considérée comme un pays démocratique et pourtant on constate que le gouvernement a dû prendre des mesures que l'opinion exigeait", note M. Greenstone. La politique antipollution s'est toutefois accompagnée d'un coût économique et social, les autorités ordonnant la fermeture de milliers d'usines trop proches des centre-ville.
Elles ont également décrété fin 2017 la fin du chauffage au charbon, la principale source d'énergie en Chine, dans des régions du nord du pays, avant même que des systèmes de chauffage au gaz aient pu être installés. Des écoles de la province du Hebei (nord) ont dû se résoudre à faire classe dans la cour, où la température était moins froide qu'à l'intérieur.
L'hiver, traditionnellement marqué par des périodes de forte pollution dans le nord de la Chine, a été moins affecté cette année mais un pic de pollution frappait Pékin mardi, avec un taux de particules fines supérieur à 300 microgrammes par m3, soit plus de 12 fois la norme recommandée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
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Nan mais le Maitre m'a accuse de basher la Chine et de profiter de ses largesses (de la Chine, pas du Maitre) donc j'essaye d'etre plus positif et de montrer mon attachement sincere a ce beau pays.Est-ce que les données mesurant l'atteinte ou pas de ces objectifs sont-elles fiables?
Nan mais le Maitre m'a accuse de basher la Chine et de profiter de ses largesses (de la Chine, pas du Maitre) donc j'essaye d'etre plus positif et de montrer mon attachement sincere a ce beau pays.
Merde! Certains vont peut-être choisir de rester...La Chine en train de gagner sa guerre à la pollution, selon une étude américaine
La Chine, premier pollueur mondial, "est en train de remporter la guerre contre la pollution" atmosphérique, au point d'esquisser une augmentation de l'espérance de vie de plus de deux ans, selon une étude américaine rendue publique mardi.
A partir de données collectées par 200 récepteurs répartis dans tout le pays, l'Université de Chicago a calculé que le taux de particules fines, très nuisibles pour la santé, avait baissé de 32% entre 2013 et 2017.
Si cette tendance se maintenait, l'espérance de vie moyenne des Chinois augmenterait de 2,4 ans, selon l'étude. Les particules fines (PM 2,5) jouent un rôle dans les maladies cardiovasculaires et respiratoires ainsi que le cancer.
"Il n'y a pas d'exemple d'un pays parvenant à une réduction aussi rapide de la pollution atmosphérique. C'est remarquable", déclare à l'AFP Michael Greenstone, qui a dirigé l'étude à l'Institut de politique énergétique de l'Université de Chicago.
Par contraste, il a fallu plus d'une dizaine d'années aux Etats-Unis pour parvenir à une amélioration comparable après l'adoption d'une loi sur l'air en 1970. "Ce que les quatre années écoulées prouvent, c'est que les choses peuvent changer, et même rapidement, avec de la volonté politique", observe M. Greenstone.
Sous la pression de l'opinion publique, le régime communiste a lancé en 2013 un plan contre la pollution destiné à réduire d'un quart la concentration de particules fines dans certaines régions clés comme autour de Pékin et Shanghai.
"La Chine n'est pas considérée comme un pays démocratique et pourtant on constate que le gouvernement a dû prendre des mesures que l'opinion exigeait", note M. Greenstone. La politique antipollution s'est toutefois accompagnée d'un coût économique et social, les autorités ordonnant la fermeture de milliers d'usines trop proches des centre-ville.
Elles ont également décrété fin 2017 la fin du chauffage au charbon, la principale source d'énergie en Chine, dans des régions du nord du pays, avant même que des systèmes de chauffage au gaz aient pu être installés. Des écoles de la province du Hebei (nord) ont dû se résoudre à faire classe dans la cour, où la température était moins froide qu'à l'intérieur.
L'hiver, traditionnellement marqué par des périodes de forte pollution dans le nord de la Chine, a été moins affecté cette année mais un pic de pollution frappait Pékin mardi, avec un taux de particules fines supérieur à 300 microgrammes par m3, soit plus de 12 fois la norme recommandée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
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