Elle a des cheveux longs et des botinnes , guère plus.
Elle est très moyenne.
Bien loin des beautés, au highlight, magnifique de Macau & Shenzhen.
Je te parle d'attirance , tu me parles beauté, quel matérialiste ce Ch'ti , un vrai chinois héhé.
Personnellement, ce n'est absolument pas le fait que ce soit une nana ou qu'elle soit Chinoise qui me derange, c'est son discours : on rase tout, et on fait un parc d'attraction. D'un lieu unique, elle va en faire un endroit comme il en existe partout dans le monde (hotel, golf...),
Le sexe n'avait rien à voir dans ma prose. Par contre un château , un lieu unique muahaha, c'est pas ce qui manque les châteaux dans notre cher pays (j'en veux tjs aux révolutionnaires d'avoir bâclé le travail les bougres) et puis les châteaux style néogothique genre blingbling et mauvais goût on peut guère faire mieux , au passage style qu'aime assez les riches chinois mon dieu...
Allez pour faire plaisir à Searogers , on va revenir à l'article vu que j'ai pris la peine de le lire jusqu'au bout :
Qu'apprend t on , contrairement à ce qu'affirmait qq bonjourchinois, que l'administration n'aide pas vraiment la viticulture, Baylet :
«On tâtonne, on découvre, et on se sent quand même très seuls. En France, lors des voyages présidentiels à l’étranger, on parle des TGV, de Dior, des avions. Mais les vignerons qui représentent l’équivalent de 180 Airbus par an, on n’en parle jamais !» Qui ment ?
Et le vin ? «On va l’améliorer, recruter l’œnologue du château Petrus, vendre 90% de la production en Chine. Chez nous, le vin est un produit de luxe, et on considère que c’est bon pour la santé, surtout pour les femmes.» Commercialement, l’affaire sera excellente, si l’on suit le raisonnement de Lili : «Les Chinois aiment se saouler à l’alcool blanc. Mais faire cul sec avec du vin, c’est mieux. On en boit plus et on ne se rend pas malade.»
C'est marrant parce qu'elle y connaît rien , mais on va qd même l'améliorer, ah que j'aime la fougue de la jeunesse. Je me demande comment vont faire les autres producteurs français face à cette concurrence "déloyale" pour la vente en Chine, les millionnaire chinois auront les réseaux et pourront via d'autres réseaux de la diaspora pouvoir vendre dans d'autres pays, ça va être rude.
Les Français ne consommant plus que 50 litres par an, la moitié de ce qu’ils buvaient il y a vingt ans, Bruno Baylet a dû renforcer ses ventes à l’exportation. D’abord en Europe, puis aux Etats-Unis. Puis sur le marché chinois, qui a démarré en flèche.
Il aurait dû développer , pourquoi les français consomment moins, qualité, prix exorbitant, concurrence des vins étrangers, concentration sur l'exportation (plus de profits) etc pour moi la loi Evin est un leurre pour expliquer le manque d'attraction des français pour le vin.
Et de pouvoir écouler ses rouges à 6 ou 7 euros dans le sillage des grands crus.
Combien les vendra t il en Chine? Manque de curiosité le journaliste de Libération.
Les dégustations se font au milieu du repas, chacun se sert n’importe comment. Et on termine cul sec au baijiu, l’alcool de riz. Ce n’est vraiment pas notre culture, mais c’est toujours très chaleureux.»
Il nous prendrait pas pour des cons, quand on fait une dégustation, il n'est pas difficile d'expliquer qu'il y a des codes, je le vois bien arriver avec une bouteille au beau milieu d'une dégustation de thé du Fujian, de toute façon les bordelais ont tjs manqué de savoir vivre contrairement aux bourguignons.
«A chaque commande, il faut repartir de zéro, et faire très attention au mode de règlement.»
Pourquoi ? Merci mr le journaliste...
Bruno Baylet travaille dix heures par jour, prend une semaine de vacances par an et n’a guère de temps pour s’intéresser à la politique. Il rêve seulement d’un président qui serait fier des terroirs français, «les plus beaux du monde», et qui poserait un verre de rouge à la main : «Chirac buvait de la bière, Sarkozy du Coca… Il n’y a que Juppé qui aime le vin !» En 2011, les vins ont représenté le deuxième poste excédentaire de la balance commerciale française, près de 7 milliards d’euros. Derrière l’aéronautique, mais loin devant le luxe.
Lafoy on t'a reconnu, encore un qui aime se valoriser par le travail , pôvre France...
Dire que Chirac n'a pas fait le super commercial pour la France, c'est du foutage de gueule et dire que seul Juppé aime le vin en politique c'est même plus du foutage de gueule, les mots m'en tombent. Ce qui est marrant avec Baylet , c'est qu'il nous dit qu'il se sent bien seul pour vendre son vin et 10 lignes plus bas et il nous fait une sérénade comme quoi c'est un produit qui s'exporte très bien, je comprendrais jamais la logique venue d'Aquitaine...
Outre le château Mouëys, ils ont acheté une trentaine de propriétés dans le Bordelais ces dernières années.
Eh ben , ça part en sucette dans la région c'te honte!
Eric Bantegnies, 48 ans, qui exploite, avec son frère Frantz, 70 hectares dans les côtes-de-bordeaux. Pour lui, le marché chinois a sauvé Bordeaux, au bord de la crise au début des années 2000. Cette année, il doublera le nombre de palettes qu’il expédie en Chine, passant à 30% de sa production. Shenzhen, Canton, Foshan : lui aussi arpente la Chine, avalant des kilomètres, des verres de baijiu et de longues soirées au karaoké. «Ce sont des négociateurs hors pair, dit-il. Il faut y aller avec ceinture et bretelles, et partir de très haut, sinon on finit tout nu.»
J'imagine un mec qui a 70 hectares aller au KTV, p'tain 70 hectares, j'hésite encore à pleurer ...de rire...
Avec ses clients, le vigneron ne joue pas dans la même catégorie : l’un d’eux, amateur fidèle de son château Bertinerie, a récemment acheté pour 200 000 euros de grands crus destinés à sa cave personnelle, dont un château-lafite à 1 200 euros hors taxes, détail d’importance quand on sait que les taxes prélevées par la République populaire s’élèvent à plus de 40%.
Il veut en venir où le journaleux, rien compris , pas grave...
En Chine, le vin est un marqueur qui désigne la catégorie sociale à laquelle on aspire appartenir.» Seul problème de l’eldorado chinois, la diplomatie, ou plutôt le manque de diplomatie : «On peut se fâcher avec Bush ou Obama, pas de problème. Mais se fâcher avec Hu Jintao, c’en est un gros. Il m’est arrivé d’avoir des palettes bloquées pendant six semaines… Ce n’est pas normal de payer les sautes d’humeur d’un maire de Paris qui a élu le dalaï-lama citoyen d’honneur !» Si le prochain président promettait d’éviter de «faire cocorico sur les droits de l’homme, tout en œuvrant discrètement pour faire évoluer la situation», Eric Bantegnies voterait pour lui. Sinon, la politique «[lui] passe à 3 000 kilomètres au-dessus des oreilles». Il dit : «Sarkozy ou Hollande, ça ne changera rien.» Ses meilleurs ambassadeurs sont les clients chinois qu’il invite dans sa propriété, et introduit dans les grands châteaux du Médoc : «Mieux ils nous connaîtront, plus ils s’implanteront dans nos vignobles, mieux ce sera pour l’export. On a de la chance qu’ils viennent à Bordeaux plutôt que dans le Languedoc ou la Bourgogne!»
Résumons : l'argent n'a pas d'odeur, m'en fous qu'ils soient nazis, ils ont loué mon château et ont payé les bouteilles qu'ils ont bu ...
«Avant les Français, il y a eu les Anglais. Bordeaux est international depuis longtemps, c’est une évolution normale», dit-il. Il y a un an, il s’est mis à exporter en Chine, prudemment, pas plus de 20 000 bouteilles, 15% de sa production, par l’intermédiaire d’un ami courtier . «Ce sont les Chinois qui sont venus me trouver. Mais j’ai attendu que le marché évolue car au début, ils ne prenaient rien à plus de 2 euros la bouteille, que du rouge, et ils réclamaient des étiquettes bling-bling, dorées sur tranche.»
Il a tout compris ce Belge, il devrait intervenir sur ce forum pour expliquer aux bonjourchinois que la mondialisation existent depuis un bail, et qu'ils ne devraient pas s’effaroucher qu'une petite nana veuille modifier un tas de pierres ou leur apprendre comment faire du bon vin.
«On a tout pour s’entendre, dit le vigneron, et en plus ils n’ont pas diabolisé l’alcool, comme nous.» S’il votait, ce serait pour le candidat qui réviserait la loi Evin (1991), qui a «stigmatisé» le vin. «Tout ce côté puritain m’ennuie. On ne peut plus boire un coup, fumer une clope ou regarder sa voisine.» Celle-ci ne s’en formaliserait pas, pourtant.
Et dire que dans un autre sujet, un bonourchinois conseille aux chinois de péter un coup hihihi.
Et je laisse le dernier mot à notre ami Belge :
Stéphane Defraine a fait avec ces nouveaux clients comme avec les plus anciens, racontant sa vigne, ses raisins, sa vendange : «Vendre du vin, cela n’a aucun intérêt en soi, il faut qu’il y ait un partage.»
STP Steph va expliquer ça à tes voisins du haut...
Euh non je laisse le dernier mot à Lili malpoli que je suis :
«Ça manque d’ambiance»
Viens en Bourgogne , ma chère, le vin produit y est le meilleur du monde, le climat y est humide, les bambous y poussent à foison , je t’emmènerai sur la butte de Thil où y érigé un des plus vieux château de France où tu pourras y admirer Vézelay, pas un vulgaire tas de caillou comme ce château de
Grand-Mouëys, nous voguerons sur le canal de Bourgogne afin de nous rendre dans la capitale des Ducs, où nous y mangerons un boeuf bourguignon accompagné d'une côte de Beaune, vu que tu n'apprécies guère le fromage comme bp de tes camarades, nous passerons directement au dessert avec une tarte au cassis délicatement accompagné d'un crémant de Bourgogne.