La question n'est pas de s'adapter au niveau de vie, mais de voir si le produit vendu au même prix qu'en France satisfait aux mêmes exigences
- de qualité.
- de marge
Je ne suis pas un grand fan de chez Paul (on préfère faire le pain à la maison!), qui reste pour moi une boulangerie que je trouve en France à côté des Carrouf' et dans les aéroports......... Bref, pas vraiment le côté traditionnel tel que je l'entends... De plus, je ne suis pas un spécialiste du contrôle de gestion des boulangeries ou de l'appareil de production, mais si la structure de coût est identique, ou du moins, si les gains engendrés par les coûts salariés compensent au même plan des coûts de matières premières / fixes plus élevés (c'est une supposition, la location au Portman n'est peut être pas au même prix que le Grand Littoral de Marseille...), alors pourquoi demanderait-on à ce brave Paul de rogner sa marge pour démocratiser des produits que sa charte de qualité (si elle existe?) lui impose?
Enfin, tout ça pour dire, que le problème pour Paul n'est pas de s'adapter au niveau de vie des chinois, mais garantir la même rentabilité à la filiale chinoise qu'une autre filiale étrangère...
Dura capitalis lex, sed lex, et argentus à la fin du moisus voulus par l'actionarus.
- de qualité.
- de marge
Je ne suis pas un grand fan de chez Paul (on préfère faire le pain à la maison!), qui reste pour moi une boulangerie que je trouve en France à côté des Carrouf' et dans les aéroports......... Bref, pas vraiment le côté traditionnel tel que je l'entends... De plus, je ne suis pas un spécialiste du contrôle de gestion des boulangeries ou de l'appareil de production, mais si la structure de coût est identique, ou du moins, si les gains engendrés par les coûts salariés compensent au même plan des coûts de matières premières / fixes plus élevés (c'est une supposition, la location au Portman n'est peut être pas au même prix que le Grand Littoral de Marseille...), alors pourquoi demanderait-on à ce brave Paul de rogner sa marge pour démocratiser des produits que sa charte de qualité (si elle existe?) lui impose?
Enfin, tout ça pour dire, que le problème pour Paul n'est pas de s'adapter au niveau de vie des chinois, mais garantir la même rentabilité à la filiale chinoise qu'une autre filiale étrangère...
Dura capitalis lex, sed lex, et argentus à la fin du moisus voulus par l'actionarus.