Ce n'est pas un jugement, juste une incompréhension de ma part, rien à voir.
Concilier vie de famille et travail?
- Auteur de la discussion audi752004
- Date de début
Intéressant ce sujet...
Perso, c'est mon épouse qui est expat'.
Je travaille tranquilou de la maison, un peu de trading, quelques containers par-ci par là mais un emploi du temps très léger comparé à mon rythme d'il y a 1 an en FRance.
Pas de Ayi pour les enfants (seulement ménage), complètement superflue puisque j'ai le temps de m'en occuper.
Ça a été dur de ne pas avoir de vie professionnelle au départ, de sortir du moule, de penser aux "qu'en dira-t-on?". Bon, mon épouse et moi-même faisons un gros travail d'équipe ceci dit et elle voit sa réussite pro à 50% comme la mienne aussi car nous partageons tout. Au final, l'entente est parfaite sur le sujet, elle a même tendance à me dire de profiter.
Donc, au delà de l'exemple donné en allant travailler, c'est cette entente entre les parents qui est le plus important pour un enfant.
La vie sociale on peut l'avoir autrement que par son boulot.
Et puis, ENORME avantage d'être dispo : on peut faire faire les devoirs. Pour un gamin qui entre en CP, ça peut avoir son importance d'avoir un parent qui le fait travailler et surtout lui faire apprécier les vertus des devoirs. C'est maintenant que les bonnes habitudes se prennent.
Important aussi pour le petit (2 ans 1/2 en arrivant), un peu déboussolé avec toutes ses langues (2 à la maison + anglais à l'école + chinois) en arrivant.
Une fois passé ce cap de la 1ère année, je recommencerai à bosser car j'en ai besoin intellectuellement parlant. Mais au moins aurais-je pris le temps de tout mettre sur les rails : c'est un privilège selon moi que de pouvoir être présent pour ses enfants lors des moments de transitions.
Perso, c'est mon épouse qui est expat'.
Je travaille tranquilou de la maison, un peu de trading, quelques containers par-ci par là mais un emploi du temps très léger comparé à mon rythme d'il y a 1 an en FRance.
Pas de Ayi pour les enfants (seulement ménage), complètement superflue puisque j'ai le temps de m'en occuper.
Ça a été dur de ne pas avoir de vie professionnelle au départ, de sortir du moule, de penser aux "qu'en dira-t-on?". Bon, mon épouse et moi-même faisons un gros travail d'équipe ceci dit et elle voit sa réussite pro à 50% comme la mienne aussi car nous partageons tout. Au final, l'entente est parfaite sur le sujet, elle a même tendance à me dire de profiter.
Donc, au delà de l'exemple donné en allant travailler, c'est cette entente entre les parents qui est le plus important pour un enfant.
La vie sociale on peut l'avoir autrement que par son boulot.
Et puis, ENORME avantage d'être dispo : on peut faire faire les devoirs. Pour un gamin qui entre en CP, ça peut avoir son importance d'avoir un parent qui le fait travailler et surtout lui faire apprécier les vertus des devoirs. C'est maintenant que les bonnes habitudes se prennent.
Important aussi pour le petit (2 ans 1/2 en arrivant), un peu déboussolé avec toutes ses langues (2 à la maison + anglais à l'école + chinois) en arrivant.
Une fois passé ce cap de la 1ère année, je recommencerai à bosser car j'en ai besoin intellectuellement parlant. Mais au moins aurais-je pris le temps de tout mettre sur les rails : c'est un privilège selon moi que de pouvoir être présent pour ses enfants lors des moments de transitions.
C'est ta conclusion pas la mienne
, je vois pas l'interet de passer une ou deux heures par jours à faire le ménage c'est ni gratifiant ni valorisant
c'est marrant t'es passé a homme/femme qui ne travaille pas à de grosses feignasse (féminin pluriel donc forcement pas d'homme dans le groupe )
mes félicitations .
, je vois pas l'interet de passer une ou deux heures par jours à faire le ménage c'est ni gratifiant ni valorisant
c'est marrant t'es passé a homme/femme qui ne travaille pas à de grosses feignasse (féminin pluriel donc forcement pas d'homme dans le groupe )
mes félicitations .
Je décris la façon dont je me sentirais si je ne bossais pas et vivait sur l'argent de mon conjoint, en aucun cas je juge les autres.heu, quand même un petit peu, non
je vois pas ça négativement mais si je pense que c'est un jugement.
On a tous des points de vue dont l'opposé nous paraît négatif ou malapproprié. Et il y a des manières de se questionner ou d'affirmer ses propres vérités qui ne peuvent éviter le jugement de manière indirecte.
Intéressant le point de vue de MMVL (surtout que ce soit masculin).
J'aime bien la manière de considérer que parfois (les transitions par ex, certains moments de la vie) il faut savoir donner un peu plus de temps aux enfants (peut-être pas qu'à eux d'ailleurs).
On est un peu dans une époque où c'est la course à remplir son emploi du temps (je dis même pas course à l'argent) et il semble que ce soit synonyme de vie sociale. De même la qualité de l'apport au sein d'une famille semble passer obligatoirement par un statut social acquis par un poste pro (là encore pas tjrs l'argent). Ce que je dis n'oppose pas spécialement activité pro / non activité pro : prendre le temps de vivre / prendre le temps d'être humain / de s'écouter / de se poser.
On a tous des points de vue dont l'opposé nous paraît négatif ou malapproprié. Et il y a des manières de se questionner ou d'affirmer ses propres vérités qui ne peuvent éviter le jugement de manière indirecte.
Intéressant le point de vue de MMVL (surtout que ce soit masculin).
J'aime bien la manière de considérer que parfois (les transitions par ex, certains moments de la vie) il faut savoir donner un peu plus de temps aux enfants (peut-être pas qu'à eux d'ailleurs).
On est un peu dans une époque où c'est la course à remplir son emploi du temps (je dis même pas course à l'argent) et il semble que ce soit synonyme de vie sociale. De même la qualité de l'apport au sein d'une famille semble passer obligatoirement par un statut social acquis par un poste pro (là encore pas tjrs l'argent). Ce que je dis n'oppose pas spécialement activité pro / non activité pro : prendre le temps de vivre / prendre le temps d'être humain / de s'écouter / de se poser.
Dernière édition:
Crois-moi que quand on est mère/père au foyer, on bosse!!!
On n'est pas rémunéré, certes, mais on travaille!
A l'éducation des enfants, à leur épanouissement personnel .Ben oui, quand a besoin de parler, de communiquer, c'est plus agréable de le faire avec un de ses parents, si ce n'est les 2 , et cela ne peut parfois pas attendre le soir tard (en général heure de retour du parent salarié) ou le week-end. A l'aide aux devoirs, etc....
La ayi est effectivement un vrai confort pour le mémage, car quand on est au foyer, on peut avoir plein de choses bien plus interesssantes et épanouissantes à faire que de faire le ménage. De plus, quand les enfants sont petits, cela peut etre très utile pour pouvoir s'aérer les méninges régulièrement.
Quand à la question de l'argent, je n'estime pas vivre aux crochets de mon homme: je m'occupe du foyer, des enfants, je fais donc largement ma part du boulot. Lui-meme rétorque régulièrement à quiconque me demande ce que je fais dans la vie " elle est mère au foyer, elle s'occupe de nos enfants et travaille donc 10 fois plus que moi".
Maintenant, si je me cantonnais à rester à la maison à cuisiner et à faire le ménage quand les enfants ne sont pas là, je sais qu'il trouverait ca très triste pour moi. Tout le monde a besoin d'avoir des interets à l'extérieur.
Et pour ce qui concerne la vie sociale, mon époux s'est toujours très bien entendu avec ses collègues que nous voyons hors boulot, mais nous avons noté, avec mes amies expats, que nos hommes ont justement besoin de nous pour ce qui concerne la vie sociale, car c'est nous qui nous rencontrons entre nous, faisons connaissance, nous revoyons avec les hommes, du coup, ils ont une vraie vie sociale.
Tout ceci sans vouloir juger les femmes qui décident de bosser.
En revanche, j'avoue etre ravie quand je rencontre un homme au foyer. je trouve ca super!
J'en connais un qui avait laché un tres bon boulot dans son pays pour suivre sa femme qui venait de decrocher le "boulot de ses reves". Eh bien ca, c'est super! De retour dans leur pays, ils ont chacun un boulot.
On n'est pas rémunéré, certes, mais on travaille!
A l'éducation des enfants, à leur épanouissement personnel .Ben oui, quand a besoin de parler, de communiquer, c'est plus agréable de le faire avec un de ses parents, si ce n'est les 2 , et cela ne peut parfois pas attendre le soir tard (en général heure de retour du parent salarié) ou le week-end. A l'aide aux devoirs, etc....
La ayi est effectivement un vrai confort pour le mémage, car quand on est au foyer, on peut avoir plein de choses bien plus interesssantes et épanouissantes à faire que de faire le ménage. De plus, quand les enfants sont petits, cela peut etre très utile pour pouvoir s'aérer les méninges régulièrement.
Quand à la question de l'argent, je n'estime pas vivre aux crochets de mon homme: je m'occupe du foyer, des enfants, je fais donc largement ma part du boulot. Lui-meme rétorque régulièrement à quiconque me demande ce que je fais dans la vie " elle est mère au foyer, elle s'occupe de nos enfants et travaille donc 10 fois plus que moi".
Maintenant, si je me cantonnais à rester à la maison à cuisiner et à faire le ménage quand les enfants ne sont pas là, je sais qu'il trouverait ca très triste pour moi. Tout le monde a besoin d'avoir des interets à l'extérieur.
Et pour ce qui concerne la vie sociale, mon époux s'est toujours très bien entendu avec ses collègues que nous voyons hors boulot, mais nous avons noté, avec mes amies expats, que nos hommes ont justement besoin de nous pour ce qui concerne la vie sociale, car c'est nous qui nous rencontrons entre nous, faisons connaissance, nous revoyons avec les hommes, du coup, ils ont une vraie vie sociale.
Tout ceci sans vouloir juger les femmes qui décident de bosser.
En revanche, j'avoue etre ravie quand je rencontre un homme au foyer. je trouve ca super!
J'en connais un qui avait laché un tres bon boulot dans son pays pour suivre sa femme qui venait de decrocher le "boulot de ses reves". Eh bien ca, c'est super! De retour dans leur pays, ils ont chacun un boulot.
D'après ta définition, dès lors que l'on exprime son opinion sur quelque chose, cela revient à juger. Je ne trouve pas que cette définition soit exacte, mais bon, ce n'est pas grave.
@tite chinoise : je pense avant tout que c'est un point de vue personnel. Nous pourrions discuter pendant des heures que nous ne serions jamais d'accord. L'important dans tout ça est de se sentir bien dans ce que l'ont fait.
j'ai mêem été voir ton lien - c'est ça non ?
Porter sur quelqu'un, quelque chose un jugement de valeur
Il semble que pour toi juger revienne à faire une critique affirmative sous forme de jugement de valeur. Pour moi, un questionnement ou une affirmation inversée reveint au même - c'est juste indirect mais l'effet est aussi efficace.
Enfin, comme tu dis chacun ses expériences, ressentis, opinions ... . il n'y a pas de vérité absolue.