Pour ses détracteurs, qu’on trouve principalement dans les rangs de la droite et de l’extrême droite, il s’agit au contraire d’une intrusion intolérable dans la vie privée des familles.
Source:
Le Parlement adopte définitivement la « loi anti-fessée »
La proposition de loi, votée au Sénat, signe la fin du droit de correction, hérité du XIXe siècle et qui est encore invoqué dans la jurisprudence.www.lemonde.fr
Extrait:
"
- Le premier concerne la définition de l’autorité parentale, telle que caractérisée dans l’article 371 du code civil, en précisant désormais qu’elle « s’exerce sans violences physiques ou psychologiques ».
- Le deuxième introduit « la prévention des violences éducatives ordinaires » dans le code de l’action sociale et des familles, en créant une obligation de formation pour les assistantes maternelles.
- Le troisième article prévoit la remise d’un état des lieux sur la question par le gouvernement, à une date initialement fixée au 1er septembre 2019 (et qui devrait être modifiée compte tenu des délais).
Ou on realise que non, que neni, il ne s'agit pas de la fessee, genre la grosse, excessive, qui laisse les fesses rouges pour la journee, mais de tout en n'importe quoi, et que rien n'est caracterise...
He ben, l'ete va etre dur.. Evidemment coller des mandales a un gosse, ca ne se fait pas, encore moins le blesser d'aucune maniere que ce soit, la loi existe deja... mais avec ces evolutions, il ne manquerait plus que mon petit con essaie de foutre les doigts dans la prise, que je l'engueule (ie: violence psychologique) et lui mette une tape sur la main (violence physique).. Manque de bol, la voisine derriere ses rideaux me voit.. Boom, a la DDASS.
A propos de la Suède, Phitleb aurait pu nous éclairer, :
Je ne suis pas Phitleb, mais j'ai vécu en Suède... et j'en ai vu des vertes et des pas mûres.
En public, les parents n'osent rien... le gosse fait une crise au supermarché pour que les parents achètent un truc, et là j'ai vu deux solutions : ceux qui cèdent illico en achetant le truc, et ceux qui emmènent le gamin le plus vite possible en dehors du magasin pour fuir le public en laissant leurs courses en plan.
Ca donne envie, hein ?
La dame l'explique dans la video "la violence entraine la violence, m'voyez" et "definir les formes que doit prendre l'education, c'est le devoir de l'etat"
Je pense que les enfants comprennent très vite la contradiction inhérente au fait de punir un enfant qui se bat avec ses camarades à l’école ou qui tape son petit frère, mais à le frapper lui pour le punir.Mais ensuite, comment faire comprendre à l’enfant, qui imite, que cette violence exercée contre lui (quel que soit son degré), il ne peut pas lui-même l’appliquer à d’autres ? "Moi, je peux te taper. Toi, tu tapes personne ! Si tu tapes, je te tape ! T'as compris !!"
Et ensuite, si le but, c’est d’éduquer, et si la violence est perçue comme étant un outil pédagogique, pourquoi seuls les parents auraient le droit d’y avoir recours, et pas les enseignants par exemple ? « Y’a que moi qui ai le droit de taper mon enfant !!! »
Je n’arrive pas à voir comment justifier une pensée telle que celle-là : « Les adultes ont le droit de violenter (avec une certaine retenue) des enfants à des fins éducatives. Par contre, dès qu’ils ont atteint leur majorité (donc quand leur corps est devenu robuste, contrairement à celui des enfants), plus personne ne peut s’en prendre à eux physiquement, même si leur éducation est défaillante, car toute forme de violence est prohibée dans la société ».
Ce qu’il manque dans le séquençage « je crie, je mets une tape », c’est la partie raisonnement, et donc éducation, de l’enfant. Oui, les enfants peuvent comprendre vite (si on leur explique longtemps…)
Lire les articles pour lesquels @Résistons a mis des liens m’a laissé un peu perplexe, parce qu’ils sont construits autour d’opinions, de particuliers ou de psys, qui sont pour certains médecins, mais ça reste un avis. J’ai très vite parcouru le net pour voir s’il y avait des études faites sur le sujet de la fessée et de ses conséquences, et le nom d’Elizabeth Gerschoff est apparu. Elle fait des compilations d’études sur le sujet de la violence éducative. Dans cette interview, elle discute de son travail. C’est assez intéressant il me semble. Le passage où les intervenants parlent d’un parent frappant un enfant qui était en train de taper son petit frère, et cela pour qu’il arrête, m’a fait sourire… « Arrête de taper ton frère !! Paf, dans la gueule »
Donc en gros, on est d'extrême droite si on décide de donner une fessée à son gamin !
On est nazi si on le prive de sortie !
On est un tortionnaire à la mode stalinienne si on le met au coin !
bah quand ton gamin deviens adulte c'est là que tu risque de t'en prendre une en retour hahaPar contre, dès qu’ils ont atteint leur majorité (donc quand leur corps est devenu robuste, contrairement à celui des enfants), plus personne ne peut s’en prendre à eux physiquement, même si leur éducation est défaillante, car toute forme de violence est prohibée dans la société ».
Si ce n'est pas les parents qui eduquent leurs enfants, ca doit etre qui?....lois anti education et bon sense...
d'autres societes investissent dans l'education et le capital humain, et les FM detruisent la societe Francaise.
De ce qu'on m'a raconte j'etais comme ca aussi etant gamin. Je dis que c'est ce qu'on m'a raconte parce que moi par contre j'en garde que de tres tres vagues souvenirs, mais la technique de "on t'enferme dans ta chambre jusqu'a ce que tu te calmes", apparemment j'y ai eu droit sur base reguliere, de meme que d'autres types d'exclusions du meme genre.10 ans c'est trop tard. Il faut commencer dès le début. J'avais lu que si un gosse n'est pas discipliné à 6 ans, c'est foutu. Chez nous, la petite à deux mois faisaient ses caprices jusqu'à 1h du mat pour ne pas dormir. La maman : "oh, baobei, mama bao...". Le père : " rouste ! dans la pièce d'à côté, porte fermée. Tu pleures tant que tu veux, nous on dort. Salut !" Les caprices n'ont pas duré longtemps, et pas besoin de fessées.