Bonjour.
Désirant apporter des mots supplémentaires partant du fait que cela se passe ici .Le même conflit est reproductif a l`infini dans tous le pays .. Ce débat entre la différence existentielle du mandarin, du cantonnais, natif du Nord , natif du Sud de la Chine ..n`est ni plus- ni moins et je le souligne souvent : du racisme intellectuel.
Ton point de vue helios99, le démontre aisément par son contenu. Je rejoins les auteurs signalant que les règles d`une administration gérant au mieux les intérêts d`un public afin que celui-ci puisse vivre dans un espace propre et sécurisé doivent être respectées. Sachant que les limites de gestion d`idées vont souvent delà, la dérive n`ai jamais bien loin.
Ma question.( suite a la vidéo/métro)
-Mais n`est-il pas aussi légal et démocratique que de pouvoir commettre une erreur humaine et d`imposer son ego incontrôlable ou son instant animal de base, afin de se faire une place dans une chine populaire qui confond pourvoir et savoir, être et paraitre ?
Je me réponds : oui et non, allons donc pour une réponse de Normand, mais ou s`arrêté l`erreur humaine ou le libre-arbitre si ce dernier à pourvoir de décision ?
Des interrogations infinies que la quête d`une réponse parfaite m`épuise déjà tant le décorticage des points vues risquent d`être long et épuisant.
Ma pensée.
Mandarins ou cantonais leurs différences sont aussi solides que la grand muraille de Chine dont certaines parties de leurs cohabitations s`effritent avec le temps sans jamais s`écrouler mais s`affaissant sur la certitude de connaitre et d`insuffler avec insistance certains points de vues; mais le `mélangisme` des gens a ces limites ce pays.
Si l`on prendre le problème de conflit linguistique, le reproche des uns et des autres est sans fin voir même sans fondement constructif, en raison d`un passé colonialiste sous pavillon anglais pour certain et un passé de privation pour les autres. Il est difficile d`être a la fois a droite et a gauche au même moment, un choix s`impose.Pas toujours réaliste pour l`esprit .
Ma vision
La colonisation anglaise a apportée une certaine vision a la population hongkongaise, a contre cœur parfois et a certains moments, mais cette imposition a eu un impact sur la vie en générale et la prise de conscience que être et savoir son deux choses distinctes. Le savoir impose le respect a la connaissance .Que l`un va a la rencontre de l`autre .
Pour le mandarin en visite ou pas ,cela lui semble burlesque, car il est et demeure dans le même pays et il côtoie son peuple : chinois .Je suis chinois, je demeure et se n`est pas une frontière politique qui m`empêchera de respirer le même air et de jouir des plaisirs de faire ce que je veux ou je veux ,l`ère de l`imposition et de la privation est fini. Je pense donc je suis .
L`évolution sociale dans la même région n`a pas pris en compte que l`être humain comprends les choses mais ne les accepte pas obligatoirement.
Confucius : un bien être pour le PCC
-Chapitre Yan Yuan
- Le duc Ji Kang demanda à Confucius quels étaient les principes d'un bon gouvernement : ' Et si j'éliminais simplement les méchants afin que les bons obtiennent justice?
-' Confucius lui répondit : ' Votre tâche est de diriger, pas de tuer ! Si vous chercher réellement le bien, alors votre peuple se tournera vers le bien : la vertu d'un prince noble est semblable au vent, la vertu du petit peuple à l'herbe – lorsque le vent passe sur l'herbe, l'herbe s'incline' "
Pour Confucius, la vertu d'un dirigeant se divise en deux parties.
1) La première concerne le caractère moral du dirigeant.
-Comment peut-il peut voir ses propres erreurs et les corriger et comment bien traiter ses semblables. ?
2)La deuxième partie concerne les relations du dirigeant avec son peuple.
-La confiance du peuple dans le gouvernant est, selon Confucius, capitale, bien plus importante qu'une armée et que le ravitaillement de la population.
Selon ses enseignements, la vertu du dirigeant garantit tout d'abord l'ordre social dans le pays. Pour gagner la confiance du peuple, le dirigeant doit suivre les principes de ses ancêtres : "la chose la plus importante est l'amour du peuple".
Quant à la question de ce qu'il faut faire lorsque la moralité du peuple ne peut plus être maintenue, Confucius traite du problème dans le chapitre Yao il explique : " tuer les gens avant de les avoir instruits, c’est être cruel."
Vivant à la période Chun-Qiu, un temps chaotique avec de profonds conflits sociaux, il a reconnu que la seule défense des valeurs morales n'était pas suffisante pour garantir une société idéale: Punir doit rester une possibilité.
Pour ceux qui veulent lire : Les entretiens de Confucius: je peux founir un PDF 968ko
sinon il est ici: Lien retiré
* Juste pour répondre car je pense que certains vont me demander quelles différence entre les deux :
-le savoir est une démarche intellectuelle et horizontale, lié aux domaines analytiques et établit sur une réalité observable et mesurable.
-la connaissance est une approche unitaire et fusionnelle de l’homme avec son environnement, sans limitations aucunes par la réalité et sans exclusion.
J`ai fais un long mais tant de choses à débattre que l`on a du mal a l`écrire en une phrase, chose possible certes : un con est un con : Non il est différent. Mais ou le con s`arrête : Jamais car le con détient une certaine folie qui n`as aucune limite pour son bien être. C`est du LSD a l`état pur sans risque de manque...loulou