Je vais vous raconter, l'histoire d'un homme vivant d'amour et d'eau fraiche, de chatte, de coup de reins, de bite molle, de bite dur, emprutant les sentier au sein de la montagne huangshan, tout en ecoutant, agnes obel ou schubert l'histoire d'avoir la verge bien dur ohhhhhhoho. Que de jours pluvieux et de brume embelissant la beauter des lieux. Peu de monde ce jours la, deux sac trop charger, qui me baiser bien le dos. J'avais oublier ma couverture, coussin, matelas, j'essayer en vitesse de descendre toute les bouteilles d'eau, pour enlever du poids, mais je faisait que pisser apres. J'aimer bien observer ma pisse voltiger au dessus des falaises, mon penis prennez le grand air, je regarder le jet ce dissoudre dans la brume, tentant en vain de suivre ca trajectoire sans basculer. Je savais pas ou j'aller, pas de carte, rien puis j'etais trop flemmard, ensuite calculer les trajectoire c'est pas mon fort. Je prefere m'echouer au gres du vent, comme une merde.
Essayant de rejoindre un telepherique pour m'approcher du sommet, je penser que c'etait le bon, pourquoi j'ai ecouter encore une fois, une chinoise, a chaque fois je me fait niquer. Revenant au debut, repartant, glandant de si de la, le temps la nuit s'approche, j'ai jamais monter de tente, rien graille depuis un moment, on me dit que a guanggua ding, un truc du genre je pourrais planter ma tente. Je marche tout le long, putain d'escalier, mes sacs sont lourd de futiliter, pourquoi, je suis brouiller dans ma tete. Mes jambes ce derobe parfois, je m'arrete et fume quelque clope, j'essaye de communiquer avec les oiseaux en sifflant, aucune reponse est c'est fils de pute me regarde bete.
J'arrive pas loin de l'hotel, enfin ya de quoi graille, je sors mes nouilles deguelasse, charge mon telephone, pense a ma petite nana loin de moi, a ses magnifique fesse,sein,yeux, cheveux tellement long que j'ai pas de mal a les saisir tout en la baisant, rien qu'a la regarder je suis heureux, je sais que je peut mourir en paix. qu'est ce que j'ai envie de baiser bordel, puis j'englouti mes nouilles, retourne dehors. Je tente alors de mettre ma tente mais y fait de plus en plus noir, un chinois me prend en pitier et m'aide, pour le reste j'ai trop la flemme,ecrire ca d'une traite ma trop fatiguer, je vais me griller une clope et peut etre me taper une branlette avant de pioncer, la suite promet ce ne son que les premises, je tente de vendre du reve ohhh.