Ah ah, c'est les mêmes photos, le même fond il n'y a que le drapeau et l'interlocuteur qui change !! ! Allez pour la prochaine, le propose "Les aventures de Xi Jinping au en Albanie"
La Chine exporte pour la première fois un tram en Afrique
French.china.org.cn | Mis à jour le 27. 08. 2014 | Mots clés : Afrique, Chine
Le 26 août, le premier tram chinois destiné à être exporté en Ethiopie est sorti de la ligne d'assemblage d'un atelier de Changchun. C'est la première fois que la Chine vend son tram à l'Afrique. Ce dernier, capable de rouler à une vitesse de 70 km/h, desservira la première ligne de tram d'Addis Abeba, qui sera très prochainement mise en service.
http://www.dakaractu.com/Visite-d-u...eulent-accelerer-la-realisation-d_a73804.htmlVisite d’une délégation ministérielle à Beijing : Le Sénégal et la Chine veulent accélérer la réalisation d’infrastructures
BEIJING (Chine) - Une délégation sénégalaise composée de ministres, de conseillers, de responsables de projets et de directeurs de structures publiques séjourne depuis dimanche à Beijing. L’objectif de ce voyage d’une semaine est de rencontrer des hommes d’affaires et des responsables de sociétés chinoises afin de finaliser ou d’examiner des projets d’infrastructures de grande envergure.
Le ministre de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, conduit, à Beijing, une délégation de ministres, de conseillers, de responsables de projets et de directeurs de structures publiques. Parmi les officiels sénégalais qui sont en Chine pour une semaine, figurent le ministre en charge du Plan Sénégal émergent (Pse), Abdoul Aziz Tall, le ministre du Tourisme, Abdoulaye Diouf Sarr, le secrétaire d’Etat au réseau ferroviaire, Abdou Ndéné Sall, le directeur de l’Apix, Mountaga Sy, la directrice de la Pharmacie nationale d’approvisionnement, Annette Anta Seck, le président du conseil d’administration et le directeur général de Sénégal Airlines, Abdourahmane Ndiaye et Mayoro Racine, le conseiller du Premier ministre, Sogué Diarisso, etc. L’un des objectifs de la visite est de concrétiser les accords signés entre le Sénégal et la Chine lors de la visite du président Macky Sall du 19 au 22 février derniers. Il s’agit aussi de nouer d’autres partenariats qui permettraient de réaliser les projets du Plan Sénégal émergent.
Hier, la délégation sénégalaise a eu des entretiens avec des hommes d’affaires et des responsables de sociétés chinoises à qui de nombreux projets ont été soumis. Au siège du China Railways Group Limited, la première entreprise chinoise de construction d’infrastructures, il a été longuement question de projets de lignes ferroviaires, de routes, d’autoroutes… Le directeur du département Afrique et chargé du marketing, Wang Xinping, a expliqué à la délégation sénégalaise les atouts de son entreprise qui est leader dans son domaine en Chine et qui figure au 102ème rang parmi les 500 plus grandes entreprises dans le monde, selon le magazine Fortune. Visiblement impressionné par les réalisations de China Railways en Chine et un peu partout dans le monde (autoroutes, ponts, aéroports, ports…), le ministre de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, a salué cette expertise qui pourrait bien contribuer à la réalisation des grands projets du gouvernement sénégalais.
Projet d’habitat social d’environ 15.000 logements
Les projets prioritaires sont classés en plusieurs volets, selon les explications du directeur général de l’Apix, Mountaga Sy. Il s’agit d’abord des projets ferroviaires parmi lesquels le plus immédiat semble être la voie ferrée qui va relier Dakar au nouvel aéroport international Blaise Diagne (Aibd) sur une distance de 50 km. Les études de préfaisabilité ont été faites et le tracé connu. Il y a aussi le tramway dont l’objectif est d’améliorer la mobilité à Dakar et qui aura trois lignes pour un trajet de 35 km. « Pour ce projet, le tracé est connu, mais il n’y a pas encore d’études de faisabilité », a expliqué M. Sy aux responsables de China Railway. La réhabilitation et la construction de nouvelles voies pour le chemin de fer Dakar-Bamako (750 km) fait aussi partie des projets ferroviaires.
Concernant le volet des chemins de fer, le secrétaire d’Etat au réseau ferroviaire, Abdou Ndéné Sall, a fourni d’autres explications. Selon lui, avec la livraison de l’aéroport Blaise Diagne prévu en juillet 2015, il faut faire vite afin que la voie ferrée qui va relier cette infrastructure à Dakar en 34 minutes soit rapidement réalisée. « Nous voulons démarrer le projet avec un partenaire capable de réagir rapidement », a-t-il souhaité. Il a révélé que le Sénégal peut mobiliser une partie du financement et que les autorités sont à la recherche d’un partenaire technique qui pourra terminer les études de faisabilité et commencer les travaux dès le début de l’année 2015.
Parmi les projets présentés, figure le port minéralier qui va se situer à 18 km de l’Aibd et qui servira à recueillir le minerai de fer du Falémé et de le convoyer sur Dakar, soit une distance de plus de 700 km. « Le coût global du projet est de 736 millions de dollars. Les études de faisabilité sont faites et nous sommes à la recherche de partenaires pour sa réalisation », a dit le directeur de l’Apix. Il a également cité le port sec de Kaolack, à près de 200 km de Dakar. Dans le volet routier, figurent l’autoroute Thiès-Tivaouane-Saint-Louis sur une distance de 190 km, celle qui va relier Thiès, Mbour et Kaolack sur 150 km et l’autoroute Thiès-Diourbel-Touba dont le trajet fera 125 km. La Cité des affaires, prévue à l’actuel aéroport de Dakar-Yoff, a également fait l’objet d’une présentation, de même que le projet d’habitat social d’environ 15.000 logements et celui d’une quinzaine de résidences universitaires. « Certains de ses projets ont déjà fait l’objet de protocoles signés avec des entreprises chinoises », a tenu à rappeler le ministre Aly Ngouille Ndiaye. Il a cité l’autoroute Thiès-Touba qui pourrait même être financé par Eximbank Chine. Cependant, il n’y a pour le moment aucun engagement concernant le tramway de Dakar. « Pour les autres projets, des entreprises chinoises seront en compétition », a-t-il expliqué.
Le directeur du département Afrique et chargé du marketing de China Rrailway, Wang Xinping, s’est dit intéressé par la Cité des affaires et les projets de chemin de fer pour lesquels sa société a une vaste expertise qui va du design à la conception finale. Il a déclaré qu’une idée de Bot (Built, operate and transfer) pourrait même être envisagée concernant certains projets, mais qu’une évaluation économique devrait d’abord être effectuée. M. Xinping a demandé à Aly Ngouille Ndiaye de lui désigner des interlocuteurs avec qui China Railways pourra s’adresser pour que les contacts puissent se concrétiser rapidement. A partir d’aujourd’hui, la délégation sénégalaise se rendra dans des villes de l’intérieur où elle va rencontrer d’autres responsables de grandes firmes chinoises
http://www.afrik.com/la-contribution-de-la-chine-au-developpement-des-telecommunications-en-afriqueLa contribution de la Chine au "développement des télécommunications en Afrique"
mercredi 27 août 2014 / par Fouâd Harit
La Chine a joué un rôle prépondérant dans la croissance des télécoms en Afrique, mettant ainsi un terme au monopole des géants occidentaux.
L’industrie des télécommunications en Afrique a connu ces dernières années une évolution renversante, notamment avec l’augmentation du nombre d’utilisateurs et une baisse des frais d’Internet. Et la Chine est loin d’avoir été simple spectatrice dans cette croissance africaine des télécommunications, jugée comme la plus rapide du monde. « La Chine, permet un meilleur développement de cette industrie en Afrique », a révélé M. Hamadoun Toure, secrétaire général de l’association internationale des télécommunications, rapporte Afrique Inside.
« On doit le développement des télécommunications en Afrique, au partenariat avec des entreprises chinoises, ces dernières détenant la moitié des parts du marché africain en tant que fournisseur. Dans certains pays africains, ce taux s’élève même à 70% » a indiqué Zhao Houlin, vice-secrétaire général de l’association internationale des télécommunications.
Les Chinois ont ainsi cassé le monopole en Afrique détenu depuis des années par les géants des télécoms occidentaux et ont contribué à faire baisser le prix des communications, selon un rapport rendu public par une structure américaine en 2011.
Un milliard d’utilisateurs en 2015
Le nombre d’utilisateurs de téléphones mobiles en 2012 a atteint 761 millions. Ce chiffre devrait atteindre plus d’un milliard en 2015, alors qu’en 2020, 80% des Africains auront accès à Internet, d’après les prévisions de la Conférence des informations et des technologies des télécommunications en Afrique, qui s’est tenue l’année dernière.
Cette impressionnante évolution est due à la réforme sur les télécommunications menée dans plusieurs pays, l’ouverture du marché et l’entrée des géants internationaux dans ce secteur, et ce, en plus des soutiens et aides accordés par des pays étrangers. D’ailleurs, plusieurs centres de recherche et des filiales de Nokia, Siemens et Vodafone fleurissent un peu partout sur le continent, d’après le journal East African.
Mais la Chine n’est pas le seul pays à s’intéresser au secteur des télécommunications en Afrique. Des compagnies du Japon, du Brésil ou encore de l’Inde ont elles aussi affiché leurs objectifs d’investir dans le continent.
http://www.solidariteetprogres.org/actualites-001/la-chine-construira-le-canal.htmlLa Chine construira le canal interocéanique du Nicaragua
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Karel Vereycken
mercredi 27 août 2014
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Creuser, après le canal de Panama, un deuxième canal interocéanique reliant le Pacifique à l’Atlantique. Au XIXe siècle, Napoléon III, engagé à construire une « Amérique Latine » pour contrer l’influence des protestants américains, en rêvait. Aujourd’hui, avec l’aide des pays des BRICS, c’est le Nicaragua, qui en lance la construction. Lors du sommet des BRICS à Fortaleza au Brésil cet été, c’est la Russie et surtout la Chine qui ont exprimé leur volonté de faire avancer le projet.
Rappelons que déjà en juin 2013, une première entente entre la Chine et le Nicaragua s’était concrétisée lorsque le président Daniel Ortega avait accordé une concession de 50 ans à la Hongkong Nicaragua Canal Development (HKND), un consortium chinois qui s’est engagé à investir 40 milliards de dollars (29,5 milliards d’euros). Et, avec le projet final voté par l’Assemblée nationale nicaraguayen le 8 juillet, les travaux pourront démarrer comme prévu en décembre 2014, se terminer en 2019 et permettre au canal d’entrer en fonction en 2020.
Long de 278 km, le canal ambitionne de capter 5 % du commerce mondial, contre 3 % actuellement pour le canal de Panama. Il aura une capacité de 5100 navires par an, qui mettront 30 heures pour rallier l’Atlantique au Pacifique, sur un parcours de 278 kilomètres. Plus de cent ans après celui de Panama qui fait 77 km, le canal du Nicaragua surpassera également celui de Suez long de 163km. Il fera de 230 à 520 mètres de large et 27,6 mètres de profondeur, ce qui lui permettra d’accueillir des monstres flottants, les « post-Panamax » d’une longueur de 455 mètres.
Le 8 juillet, Dong Yungsong, l’ingénieur de l’entreprise chinoise qui pilotera le projet a présenté le tracé. Le canal partira de l’embouchure du fleuve Brito, sur la côte Pacifique, passera par le lac Cocibolca, puis par les affluents Tule et Punta Gorda, qui débouchent sur la mer des Caraïbes, a-t-il précisé, en garantissant qu’il s’agissait de l’option la plus respectueuse de l’environnement. La préservation des ressources en eau potable se pose, car le lac Cocibolca, où passeront les navires, est le deuxième plus grand lac d’eau douce d’Amérique du Sud après le Titicaca.
Ce qui est également prévu, c’est de doubler le canal par un « canal sec » (ferroviaire) entre les deux océans ainsi que la construction d’un aéroport, de deux ports, de deux zones franches et d’un oléoduc. On chiffre à 40 000 les emplois qui pourraient être crées et multiplier par deux ou trois le PIB du Nicaragua, l’un des pays les plus pauvres d’Amérique centrale.
http://www.lenouveleconomiste.fr/ce-temps-les-affaires-continuent-23786/La Chine vient d’achever la construction d’un pipeline en Irak…
Comme d’autres, elle n’a qu’un intérêt dans la région : la paix pour y développer un commerce mutuellement profitable
Par Philippe Barret
Deux sociétés chinoises, la China National Petroleum Corporation et la China National Offshore Oil Corporation, viennent d’annoncer la fin de la construction d’un pipeline dans le sud de l’Irak, pour permettre l’exportation de pétrole, via le golfe Arabo-Persique. Cet ouvrage, long de 272 kilomètres, permet de relier les champs pétrolifères d’Halfaya et de Burzugan, dans la province de Missan, au port d’Al-Fao. Les deux champs pétrolifères sont exploités en coopération avec les deux compagnies pétrolières chinoises. Halfaya à lui seul produit 106 000 barils de pétrole par jour. Cette production devrait s’élever à plus de 500 000 barils d’ici à cinq ans. Le pipeline permet d’acheminer vers la mer 50 millions de tonnes par an.
Les travaux pour la construction de ce pipeline ont commencé en avril 2013, à un moment où la situation en Irak n’était pas aussi instable qu’aujourd’hui, et pourtant déjà pleine de dangers. A commencer par les mines répandues sur le parcours du chantier. Heureusement pour les entreprises chinoises, la partie méridionale de l’Irak, où elles opèrent, est massivement peuplée de chiites et a été jusqu’à présent épargnée par la guerre civile et religieuse qui déchire la pays. Ailleurs, comme la plupart des entreprises occidentales, depuis plusieurs mois, les entreprises chinoises ont rapatrié leurs personnels.
Lien retiréPékin va envoyer 700 soldats au Soudan du Sud
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Soldats de l’Armée populaire de libération. | REUTERS/JOE CHAN.
La Chine a accepté d’envoyer environ 700 soldats au Soudan du Sud dans le cadre de la mission de maintien de la paix des Nations Unies (MINUSS), a annoncé le ministre des Affaires étrangères, Barnaba Marial Benjamin.
« Nous serons heureux de recevoir les 700 soldats de la République populaire de Chine dans le cadre de la MINUSS », s’est félicité M. Benjamin.
« Pour la première fois de son histoire la Chine enverra 700 soldats dans le cadre de la MINUSS pour s’engager dans le renforcement de la paix dans notre pays, la protection des civils, ainsi que la protection des infrastructures importantes et améliorer le processus de paix, » a –t-il ajouté.
Un accord économique et technique a été signé entre les deux pays, cependant aucune date n’a encore été retenue pour le déploiement des troupes chinoises.
La Chine qui est un investisseur majeur dans l’exploitation du pétrole sud-soudanais, est désireuse de protéger ses intérêts dans le pays.
En Juin, la Chine a suscité une condamnation internationale pour avoir fourni à Juba des armes et des munitions d’une valeur de plusieurs millions de dollars.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a approuvé un déploiement additionnel de 5, 500 casques bleus au Soudan du Sud en décembre de l’année dernière suite à l’éclatement de violents conflits dans le pays.
je viens de tomber sur tes treads , je vais pas te mettre un like a chaque fois mais plutot un gros bisou en une foisLien retiré
je viens de tomber sur tes treads , je vais pas te mettre un like a chaque fois mais plutot un gros bisou en une fois
Lien retiréAccord d'échange de devises entre l'Argentine et la Chine, pour 11 mds USD
Le 07/09 à 20:32
L'Argentine et la Chine ont scellé un accord d'échange de devises qui permet au pays sud-américain de pouvoir disposer de quelque 11 milliards de dollars pour ses réserves de changes en cas d'urgence, a annoncé dimanche la banque centrale argentine dans un communiqué.
L'accord a été scellé lors d'une rencontre entre le président de la banque centrale argentine, Juan Carlos Fábrega, et son homologue chinois, Zhou Xiaochuan, dans la ville suisse de Bâle, dans le cadre de la réunion bimestrielle de la Banque des règlements internationaux (BRI).
Les présidents des deux banques centrales "ont analysé les mécanismes pour activer (cet accord) qui permettra de débloquer par tranches, en accord avec les exigences des deux pays, un montant total pouvant atteindre 11 milliards de dollars", selon le communiqué.
L'Argentine se doit d'augmenter le montant de ses réserves de devises, qui ont chuté de 52 milliards de dollars début 2011 à 29 milliards début 2014, le pays ayant dû puiser dans ses économies pour régler les achats de carburants à l'étranger et rembourser sa dette.
Le président de la banque centrale chinoise a par ailleurs transmis à "M. Fábrega le soutien de son pays à l'Argentine dans la controverse suscitée par un jugement des tribunaux new-yorkais avec les détenteurs de dette (argentine) qui n'ont pas participé aux restructurations (de cette dette) de 2005 et 2010", selon le communiqué.
Le conflit entre l'Argentine et des fonds "vautours", qui a débouché sur un Lien retiré partiel du pays début août, a dû être arbitré par un juge américain dont la légitimité a été contestée tout au long d'un processus judiciaire flou et incertain.
Le montant d'une échéance de 539 millions de dollars a été versé sur le compte habituel par lequel transitent les remboursements, mais la somme est retenue par Bank of New York (BoNY), l'agent fiduciaire, à la demande du juge américain Thomas Griesa.
http://www.temoignages.re/internati...e-entre-les-deux-geants-asiatiques,79961.htmlUne coopération propice entre les deux géants asiatiques
Visite du président de la Chine en Inde
8 septembre 2014, par Céline Tabou
Après des années de relations diplomatiques et militaires tendues, l’Inde et la Chine pourraient mettre fin à leur conflit, gelé depuis 1962, pour privilégier une coopération économique et commerciale, propice dans un contexte de crise économique.
La prochaine visite en septembre de Xi Jinping en Inde devrait marquer un tournant dans les relations sino-indiennes, sur le plan économique et commercial. Les deux pays rivaux sur le plan territorial et économique devront s’allier pour pouvoir faire face à la crise financière internationale, qui tire leurs croissances vers le bas.
Consolidation des échanges
La prochaine visite du président chinois Xi Jinping en Inde est scrutée par les observateurs après les tensions ravivées l’an dernier par un incident survenu à la frontière séparant le Ladakh indien du Tibet chinois. Une cinquantaine de soldats de l’Armée populaire de libération ont pénétré le 15 avril, sur une vingtaine de kilomètres à l’intérieur de ce que les Indiens considèrent comme leur territoire.
Cet évènement a relancé le contentieux territorial entre les deux pays. Depuis l’indépendance de l’Inde, en 1947, les deux pays se disputent le tracé précis de leur frontière himalayenne, celui-ci avait d’ailleurs entraîné une guerre entre les deux géants en 1962. L’Inde est défaite par la Chine, depuis, un statut quo a été mit en place.
Invité par le nouveau Premier ministre indien Narendra Modi, le président chinois Xi Jinping devrait se rendre en Inde ce mois-ci, dans le but de « renforcer les relations entre les deux pays », avait annoncé en mai 2014, le ministère indien des Affaires étrangères. Le Premier ministre indien souhaite « exploiter le potentiel complet de notre partenariat stratégique et de coopération avec la Chine », dans un contexte bilatéral propice, étant donné les engagements croissants entre les deux pays.
Du côté chinois, « la Chine et l’Inde sont voisins, et aussi partenaires pour le développement partagé. Elles travaillent toutes à la réalisation du beau rêve de développement du pays et de renouveau de la nation », a indiqué le porte-parole du Ministère des Affaires étrangères, Qin Gang, lors d’un point presse le 3 septembre. Pour ce dernier, « la Chine et l’Inde ont une volonté accrue d’approfondir et d’élargir davantage leur coopération amicale dans tous les domaines » économique, commercial, investissement et construction d’infrastructures.
Une relation nécessaire
L’économie du monde reste fragile et morose, dans certains endroits, poussant les deux pays à se rapprocher. La Chine est le premier partenaire commercial de l’Inde avec des échanges bilatéraux de 70 milliards de dollars. Mais le déficit commercial de l’Inde avec la Chine a atteint 29 milliards de dollars en 2012, alors qu’il n’était que de 1 milliard en 2001-2002.
Cette situation a poussé Narendra Modi à s’assurer un meilleur accès au marché chinois. Les deux pays comptent établir des échanges commerciaux de 100 milliards de dollars en 2015. Concernant « les inquiétudes indiennes sur le déficit commercial, la Chine souhaite que davantage de produits indiens puissent avoir accès au marché chinois », avait indiqué Li Keqiang lors de sa visite en Chine en 2013.
Rattrapé par la crise économique et financière internationale, la Chine et l’Inde doivent composer ensemble, pour pouvoir relancer leurs économies. D’un côté, la majeure partie des exportations de l’Inde vers la Chine sont des matières premières, principalement des minerais, et de l’autre, la Chine exporte une large gamme de produits manufacturés sophistiqués, principalement machines et équipements de télécommunications.
L’Inde, contrairement à la Chine n’a pas pu éviter le choc. La croissance de son PIB est de 4,7% pour 2013/2014 et de 3,8% en 2013 contre 9% il y a dix ans. De son côté, Pékin est parvenue à se maintenir au-dessus de la barre des 7%, avec 7,7% en 2013. Raison pour lesquelles, les deux pays font tout pour développer leur coopération, sans tenir compte des différents.
Li Keqiang a explique que son pays aller soutenir « les entreprises chinoises pour qu’elles augmentent leurs investissements en Inde et aideront les produits indiens à avoir accès au marché chinois », a-t-il promis. Ce dernier a ajouté que l’Inde et la Chine étaient « d’énormes marchés au potentiel gigantesque ».
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/20...chine-pourrait-exploiter-les-terres-rares.phpGrèce:la Chine pourrait exploiter les terres rares
La Grèce estime disposer d'indices encourageants sur ses réserves en terres rares et a discuté mardi avec une délégation chinoise des possibilités de coopérer pour exploiter ces métaux essentiels à la fabrication de produits de haute technologie.
- Home ECONOMIE Flash Eco
- Par Lefigaro.fr avec AFP
- Mis à jour le 09/09/2014 à 18:56
- Publié le 09/09/2014 à 18:52
L'agence rapporte que le ministre de l'Environnement, Yannis Maniatis, a rencontré mardi à Athènes une délégation d'officiels et entrepreneurs chinois avec lesquels a été évoquée une possible coopération dans la recherche exploratoire puis dans l'exploitation de ces métaux.
La Chine est aujourd'hui en situation de quasi-monopole avec plus d'un tiers (35%) des réserves accessibles, et 97% du marché des terres rares comme le cérium ou le lithium.
Les entreprises de l'UE sont obligées d'importer 100% de leurs besoins pour 14 de ces éléments minéraux, stratégiques pour la production de produits tels que les ampoules LED, les systèmes de motorisation hybride des voitures, les téléphones portables ou les éoliennes.
http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRL6N0RQ0WV20140925Chine et Espagne vont signer des accords pour 3 mds d'euros
jeudi 25 septembre 2014 09h07
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SHANGHAI, 25 septembre (Reuters) - La Chine et l'Espagne vont signer une série d'accords commerciaux d'un montant de trois milliards d'euros (3,8 milliards de dollars) lors d'une visite du chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy.
Au total 14 contrats seront signés en marge du sommet prévu jeudi à Shanghai, a indiqué un membre de la délégation espagnole sans fournir de précisions sur leur contenu.
Mariano Rajoy doit rencontrer notamment le président chinois Xi Jinping et son homologue Li Keqiang avec l'espoir de convaincre les dirigeants de la deuxième économie mondiale d'investir en Espagne.
S'exprimant lors d'une réunion d'hommes d'affaires chinois et espagnols, Rajoy a expliqué que l'économie de son pays retrouvait le chemin de la croissance après la crise de la dette dans la zone euro.
Il a notamment cité les secteurs de l'alimentation et des biens de consommation courante comme ceux dans lesquels les entreprises chinoises et espagnoles pourraient accentuer leur coopération.
L'Espagne est l'une des rares économies de la zone euro à progresser cette année. Son rythme de croissance au deuxième trimestre est le plus fort depuis 2008 après une période où ont alerné récession et croissance faible.
La Chine annonce de nouveaux projets d’infrastructures pour le Sénégal
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La République populaire de Chine envisage de lancer plus de projets d’infrastructures au Sénégal pour mieux approfondir les relations d’échanges entre les deux pays, a annoncé lundi, son ambassadeur, Xia Huang.
‘’Nous allons lancer plus de projets d’infrastructures, encourager davantage d’entreprises chinoises à y investir et monter plus d’échanges humains et culturels, de sorte que la coopération bilatérale aille toujours en s’approfondissant et que l’amitié sino-sénégalaise soit ancrée dans les veines des deux peuples’’, a-t-il dit.
Xia Huang s’exprimait à l’occasion du 65-ème anniversaire de la proclamation de la République populaire de Chine qui sera célébrée mercredi. En prélude de cet événement, une troupe artistique de la province du Fujian (Chine) s’est produite en spectacle au Grand Théâtre de Dakar.
‘’Le peuple sénégalais, quant à lui, s’adonne à l’expansion économique et au décollage du pays grâce au Plan Sénégal Emergent’’, a indiqué Xia Huang, soulignant que les deux peuples ''sont étroitement unis par des objectifs identiques''.
Selon lui, la coopération sino-sénégalaise gagnera en envergure et en qualité. ‘’ Et, ce sera une coopération plus orientée vers l’amélioration du bien-être des populations sénégalaises et qui répondra mieux aux impératifs du développement socio-économique du Sénégal.’’
‘’La coopération sino-sénégalaise, qui est marquée par un bénéfice mutuel, une approche gagnant-gagnant, et orientée vers un développement en commun et prospérité partagée, avancera à pas de géant’’, a assuré Xia Huang.
La Chine convoite de plus en plus le nickel de Nouvelle-Calédonie
AFP 3 OCTOBRE 2014 À 19:59
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Une image de mars 2007, en Nouvelle-Calédonie, la construction du site de l'usine de Goro Nickel qui a commencé sa production en 2009 (Photo Marc Le Chelard. AFP)
Alors que l’Indonésie interdit depuis début 2014 toute exportation de minerai de nickel brut, la Chine, premier consommateur mondial, se tourne vers la Nouvelle-Calédonie, où l’appétit de Pékin suscite des inquiétudes.
En septembre, le mineur calédonien Maï Kouaoua Mines (MKM) a annoncé la signature d’un accord de principe avec le groupe chinois JinPei (Pékin), en vue de produire annuellement 10.000 tonnes de ferronickel à compter de 2018, puis 30.000 tonnes.
JinPei va entrer à hauteur de 49% dans MKM, qui possède des mines en Nouvelle-Calédonie, tandis que l’usine métallurgique, qui sera construite au Vanuatu, paradis fiscal à 540 km au nord-est du Caillou, sera détenue à 51% par MKM et à 49% par les Chinois. JinPei injecte un milliard d’euros dans le projet.
«La Chine est devenue le premier producteur et le premier consommateur de nickel au monde. La Nouvelle-Calédonie doit s’ouvrir», a déclaré à l’AFP Didier Grosgurin, directeur général de MKM.
«Nous exporterons un million de tonnes de minerai par an à très faible teneur (1,2 à 1,7%) qu’on ne pouvait pas valoriser jusqu’alors. C’est une très belle opportunité», a-t-il ajouté.
Depuis janvier 2014, l’Indonésie, qui veut contraindre les compagnies minières à raffiner sur place pour maximiser les retombées économiques, a interdit les exportations de minerai brut.
«La fermeture de l’Indonésie a créé des conditions intéressantes pour la Nouvelle-Calédonie. Il faut profiter de cet effet d’aubaine», a indiqué Alain Terrien, responsable du projet MKM/JinPei.
Métal non ferreux aux cours volatils, le nickel est indispensable à la fabrication d’acier inoxydable. Il est présent dans quantité d’objets de la vie quotidienne (casseroles, évier, pièces de monnaie).
- La Chine avance ses pions -
Actuellement, la Nouvelle-Calédonie exporte environ 4,5 millions de tonnes de minerai par an, essentiellement à destination du Japon, de la Corée du Sud et de l’Australie et produit 53.000 tonnes de ferronickel. Deux usines métallurgiques de taille mondiale sont en outre en phase de montée en puissance.
Fin 2011, un autre mineur calédonien, la Société Minière du Sud Pacifique (SMSP), à capitaux publics, a lui signé un accord avec le chinois Jinchuan pour construire en Chine une usine métallurgique de 30.000 tonnes, par le biais de la création de deux co-entreprises.
L’intérêt de Pékin pour le nickel de Nouvelle-Calédonie, archipel en cours de décolonisation où un référendum sur l’indépendance doit avoir lieu au plus tard en 2018, suscite cependant des inquiétudes.
«La Chine cherche des matières premières et elle avance progressivement ses pions. Evidemment la Nouvelle-Calédonie l’intéresse et elle a mis un pied dans la porte», a déclaré à l’AFP, Edouard Léoni, docteur en droit public.
Selon lui, cette avancée sera d’autant plus aisée que les élus calédoniens ne parviennent pas à s’entendre pour définir une politique minière à l’échelle du pays.
«L’absence de schéma stratégique industriel est un problème. Pendant ce temps, les industriels agissent, eux n’ont pas le temps d’attendre», a assuré l’expert.
Député UDI de Calédonie, Philippe Gomes se montre également méfiant sur la stratégie de la Chine, «devenue depuis les années 2000 un partenaire majeur de l’Océanie, qui investit lourdement dans des pays tels que Fidji, le Vanuatu ou les îles Salomon, dépourvus de ressources naturelles».
«Comment pourrait-elle, dans ce contexte, se désintéresser de la Nouvelle-Calédonie, qui détient les deuxièmes réserves au monde de nickel, dont elle a cruellement besoin ? Elle est aux aguets !» a-t-il déclaré.
SUITELa Chine et le Tadjikistan s'engagent à coopérer en matière d'énergie, de transport et d'agriculture
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BEIJING, 8 novembre (Xinhua) -- La Chine renforcera sa coopération avec le Tadjikistan en matière d'énergie, de transport et d'agriculture et accélérera la construction des gazoducs Chine-Asie centrale, a annoncé samedi le Premier ministre chinois Li Keqiang.
Nos relations bilatérales ont atteint un niveau sans précédent, a indiqué M. Li, lors de sa rencontre avec le président tadjik Emomali Rahmon, qui est actuellement à Beijing pour assister à un dialogue sur le renforcement de la connectivité.
M. Li a noté que la Chine possédait des avantages en termes de qualité et de coût dans le domaine de la construction ferroviaire et a espéré que le Tadjikistan utiliserait les normes chinoises et travaillerait avec la Chine pour promouvoir la construction ferroviaire dans le pays.
SUITELa Chine promet d'investir 42 milliards de dollars au Pakistan
AFP
paru le 08 nov. 2014 à 18:38
La Chine a promis samedi au Pakistan d'investir 42 milliards de dollars au Pakistan, principalement dans le domaine de l'énergie, en échange de l'engagement d'Islamabad à aider Pékin à lutter contre ce que la Chine qualifie de menaces terroristes dans l'ouest de son territoire.
Le Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif a supervisé la signature d'accords et de memorandums concernant principalement le secteur de l'énergie lors d'un entretien avec le président chinois Xi Jinping à Pékin.
(...)
"Les contrats signés entre la Chine et le Pakistan se montent à 42 milliards de dollars. L'intégralité de l'investissement est faite par la Chine", a déclaré M. Amir Zamir, porte-parole du ministère du plan et du développement.
"Il n y a pas de prêt ou d'aide pour les projets énergétiques, mais un investissement intégral par les Chinois", a-t-il dit à l'AFP.
SUITELa Chine promet 40 milliards de dollars pour établir un Fonds de la route de la Soie
Source: Xinhua 09.11.2014 09h23
Le président chinois Xi Jinping a déclaré samedi, lors d'une réunion de dialogue sur le renforcement de la connectivité et l'amélioration de la coopération avec les pays voisins, que la Chine allouerait 40 milliards de dollars pour établir un Fonds de la route de la Soie.
M. Xi a formulé cet engagement alors qu'il avançait une proposition en cinq points visant à promouvoir le développement interconnecté dans la région Asie-Pacifique lors de sa rencontre avec les dirigeants du Bangladesh, du Cambodge, du Laos, de la Mongolie, du Myanmar, du Pakistan et du Tadjikistan.
Des représentants de la Commission économique et sociale pour l'Asie et le Pacifique des Nations Unies et de l'Organisation de Coopération de Shanghai ont également participé à la réunion.
L'objectif de ce fonds est de "briser le goulot d'étranglement dans la connectivité" en Asie, a déclaré M. Xi.
SUITE
Obama en Asie pour rallier ses alliés face à une Chine réveillée
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09/11/2014 | 03:54
par David Brunnstrom et Randy Fabi
Barack Obama se rend dimanche en Asie où il s'attachera à réaffirmer le rôle des Etats-Unis dans la région alors que certains alliés de Washington se montrent moins empressés à tenir tête à une Chine devenue influente économiquement.
Ce déplacement intervient à un moment délicat pour le président démocrate dont la marge de manoeuvre politique est désormais réduite avec la perte de la majorité au profit des républicains dans les deux chambres du Congrès.
Durant son séjour, Barack Obama assistera au forum de Coopération économique Asie-Pacifique (Apec) les 10 et 11 novembre à Pékin et au sommet de l'Asie de l'Est (EAS) le 13 novembre en Birmanie. Ces entretiens les plus importants seront peut-être ceux qu'il aura avec son homologue chinois Xi Jinping les 11 et 12 novembre.
SUITELa Chine et le Canada signent un accord de swap de devises
Publié le 2014-11-09 à 07:50 | french.xinhuanet.com
BEIJING, 8 novembre (Xinhua) -- La banque centrale chinoise a signé un accord de swap de devises d'un montant de 200 milliards de yuans (32,79 milliards de dollars) avec la banque centrale du Canada.
L'accord de trois ans pourra être prolongé si les deux parties en conviennent, a indiqué la Banque populaire de Chine dans un communiqué publié sur son site Internet.