Deux films m'ont profondément marqué :
- Printemps, été, automne, hiver, printemps, etc... de Kim Ki Duk
qui se passe de commentaire.
- My father, my lord, de David Volach
ou l'importance de ne pas prendre les paroles du (des) Père(s) à la Lettre...
Récemment, deux bons gros navets : The book of Elie, l'anti-film par excellence ; et Avatar, technique éblouissante au service d'un ramassis de clichés.