Je me rappelle ses sketchs, en vinyl. Effectivement je le pensais deja parti. Alors salut l'artiste et merci.
Dick Rivers est mort, le jour même de son 74e anniversaire...
http://www.purepeople.com/article/d...e-jour-meme-de-son-74e-anniversaire_a327716/1
Haut en couleur. C'est ce qui caractérisait le mieux les rôles comiques de Jean-Pierre Marielle. Mais cela ne doit pas éclipser la profondeur de certaines de ses compositions dans des rôles dramatiques. Et puis il y a cette voix, chaude et caverneuse, qui depuis des décennies a fait le bonheur des imitateurs.
"Les César ? J'en ai rien à foutre, je ne suis pas un acteur de tombola. L'important, c'est devant la caméra. C'est servir un auteur, en découvrir un nouveau"
Jean-Pierre Marielle est mort... Un moment d'égarement, sans doute
Haut en couleur. C'est ce qui caractérisait le mieux les rôles comiques de Jean-Pierre Marielle. Mais cela ne doit pas éclipser la profondeur de certaines de ses compositions dans des rôles dramatiques. Et puis il y a cette voix, chaude et caverneuse, qui depuis des décennies a fait le bonheur...www.franceinter.frJean-Pierre Marielle — Wikipédia
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... un enfant de Suzhou, quelque part...L'architecte Bei Yu Ming, architecte du musée de Suzhou, est mort à l'âge de 102 ans
Il n'aura pas eu le temps de concourir pour Notre Dame...L'architecte Ieoh Ming Pei, concepteur de la pyramide du Louvre, est mort à l'âge de 102 ans
L'architecte américain d’origine chinoise Ieoh Ming Pei est mort dans la nuit du mercredi 15 au jeudi 16 mai, à l'âge de 102 ans, a annoncé, jeudi son fils au New York Times (en anglais). Il est à l'origine de multiples édifices de styles différents aux États-Unis et en Chine, mais il est resté célèbre pour avoir conçu la pyramide du Louvre. Il a également été l'architecte de la Banque de Chine à Hong Kong.
A l'occasion des 30 ans de la pyramide du Louvre, au printemps, franceinfo s'était plongé dans les archives. Car l'édifice, inauguré en 1989, a vu le jour dans la douleur, dans une bataille acharnée et des hurlements à "la profanation culturelle".
La légitimité de Ieoh Ming Pei était également questionnée. "'Que vient faire ici ce Chinois d’Amérique avec son modèle archéomoderne d’inspiration égyptienne ?'", s'interrogeaient certains critiques, relevait un journaliste de France 3, soulignant "la petite musique xénophobe". Mais 30 ans après, l'œuvre de Ieoh Ming Pei est unanimement célébrée comme une réussite.
On doit aussi à cet architecte la conception du bâtiment est de la National Gallery of Art de Washington, une des ailes du Boston Museum of Fine Arts ainsi que la John Fitzgerald Kennedy Library de Dorchester, dans le Massachusetts.
Né en avril 1917 à Canton, fils d'un riche banquier, Ieoh Ming Pei avait quitté sa patrie en 1935 pour aller étudier l'architecture aux Etats-Unis. Devenu américain, il avait fondé son propre studio en 1955. Il a été couronné en 1983 du prix Pritzker, le "Nobel" de l'architecture.
L'architecte Ieoh Ming Pei, concepteur de la pyramide du Louvre, est mort à l'âge de 102 ans
Le fils de cet architecte, qui a réalisé de nombreux édifices marquants, l'a annoncé jeudi au "New York Times".www.francetvinfo.fr
Il y était farouchement opposé. Fin juillet 1976, Niki Lauda, fer de lance de l'écurie Ferrari, menait la fronde avec d'autres pilotes pour ne pas prendre part au Grand Prix d'Allemagne. Et pour cause : en ces temps où les pilotes de F1 flirtaient avec la mort chaque week-end de compétition, impossible d'assurer la sécurité autour du mythique tracé du Nürburgring, déjà considéré comme l'un des plus dangereux au monde. Avec ses 22,8 km, sa centaine de virages, ses montées et ses descentes à n'en plus finir qui obligent à retenir son souffle et à prier que la monoplace reste sur la piste, le circuit faisait peur, même aux pilotes.
Un accident terrifiant
Pourtant, à une voix près, ces derniers décidèrent d'y participer, malgré le danger et la pluie persistante qui s'abattait sur le tracé. Compétiteur, Niki Lauda – qui vient de perdre la vie à 70 ans – s'est rapidement replongé dans la course et parvient le samedi à signer le 2e temps des qualifications, derrière James Hunt avec qui il se bat pour le titre mondial. Le duel entre les deux hommes, feuilleton d'alors, est devenu avec le temps l'une des plus belles pages de l'histoire de la discipline, qu'Hollywood s'est chargé de raconter aux jeunes générations (avec le film Rush, sorti en 2013).
Lors de la course, un mauvais départ oblige Lauda à se battre pour revenir sur la tête de course. Dans une courbe rapide, il perd soudainement le contrôle de sa monoplace et heurte violemment le rail de sécurité. La voiture rebondit et prend feu. Les pilotes qui parviennent à le dépasser arrêtent leur monoplace pour venir le secourir. Touché gravement au visage et aux mains, affaibli par des gaz nocifs, il est transporté à l'hôpital. Il y reçoit l'extrême-onction, réservée aux catholiques en fin de vie. « C'est la vision de ce prêtre penché sur mon lit qui m'a donné la force de me battre », a-t-il confié quelques années plus tard.
Trois titres et une compagnie aérienne
Lauda, qui était jusqu'alors présenté comme un pilote froid et arrogant, devient un rescapé. Blessé, celui qui a déjà été champion du monde en 1975 revient dans les paddocks quarante jours après son accident, à Monza en Italie. Son visage porte les stigmates de l'intensité des flammes et d'épais bandages recouvrent son corps. Les observateurs y voient une folie, les tifosi – fans jusqu'au bout des ongles de Ferrari – un miracle.
Il s'incline pour le titre mondial lors de l'unique manche, au Japon, avant de devenir champion du monde un an plus tard en 1977. Son troisième et ultime sacre aura lieu en 1984 au volant d'une McLaren. Entre ses deux titres, Niki Lauda s'est lancé avec abnégation dans son autre passion : l'aviation civile. Fort d'un nom connu dans le monde entier, ce pilote d'avion chevronné fonde en 1979 une compagnie, Lauda Air, qui desservira pendant plus de 30 ans une quinzaine de destinations, de la Grèce à Hong Kong depuis son Autriche natale.
Un habitué des paddocks et un fin businessman
Le triple champion du monde n'en oublie pas la F1 pour autant. Jeune retraité, il devient conseiller pour Ferrari (de 1993 à 1995), patron de l'éphémère écurie Jaguar (2000) puis président non exécutif de Mercedes depuis 2012, rôle qu'il occupait jusqu'à aujourd'hui. Niki Lauda ne manque pas une course et fait partie des figures de la plus prestigieuse des disciplines automobiles. Toujours affublé d'une casquette, il répondait sans rechigner à la presse du monde entier en mêlant avec malice, sagesse et franchise, quitte à égratigner parfois certains pilotes ou dirigeants d'écurie.
Depuis le début des années 2000, Niki Lauda s'est également affirmé comme un businessman hors pair : il a vendu Lauda Air à Air Berlin en 2011. En janvier 2018, il parvient à récupérer la compagnie, doublant le groupe IAG-Vueling. Deux mois plus tard, il cède 75 % de ses parts à Ryanair, tout en restant codirigeant de la compagnie, renommée LaudaMotion.
Une existence marquée par la douleur
Mais la vie de Niki Lauda, devenu le vieux sage respecté par toute une discipline, reste jalonnée par la douleur. Ce père de quatre enfants a dû faire face en tant que patron de Lauda Air au crash d'un de ses vols entre Bangkok et Vienne, en mai 1991, pour une défaillance technique. Les 230 passagers y perdirent la vie.
Toute sa vie, sa fragilité pulmonaire lui a constamment rappelé ce maudit accident d'août 1976. Il a également subi deux greffes de reins en 1997 et en 2005, puis en 2018, où il est opéré en urgence à l'hôpital général de Vienne. Longtemps, son absence marquera les paddocks : cela fait plus d'un demi-siècle que la Formule 1 s'est habituée à écrire son histoire aux côtés de sa légende vivante et de son « phoenix », Niki Lauda.
Ouais mais là on touche le fond ....Considerant que l'on trouve de tout sur ce thread: