Champagne – James Bond’s royal flush
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Extrait choisi ( epilogue ) ... Ces trois histoires forment une brève chronologie des champagnes préférés de James Bond : Taittinger et la variété dans les livres (1953-1966) ; Dom Pérignon dans les premiers films (1962-1978) ; Bollinger dans les films 1979-2021.
Bien que le monopole de Bollinger sur Bond soit géré avec beaucoup de goût, il est difficile d’ignorer la profondeur supplémentaire que Fleming a apporté à ses livres en utilisant une variété de vins et de spiritueux. La variété l'a aidé à développer des personnages et une atmosphère. Pour nous qui regardons en arrière avec nostalgie, cela rend également plus clairement compte de l’époque à laquelle (et pour laquelle) il écrivait. Un exemple classique est le camée rose de Pommery dans Goldfinger, expliqué dans un article à suivre. Veuve Clicquot, « Clicquot Rosé » et Krug apparaissent également dans les livres, chacun apportant son propre niveau de panache pour soutenir l'intrigue.
Mais revenons à 2021, à nos adieux à Daniel Craig, et à une question brûlante. Pas « qui est le prochain James Bond ? », ni même « que boira le prochain James Bond ? » (il est peu probable que le permis de remplissage de Bollinger soit révoqué de si tôt). La vraie question est : le futur Bond boira-t-il de l’alcool ? Son alcool pourrait-il suivre ses amphétamines et ses cigarettes ? Peut-être que les habitudes coûteuses de consommation d’alcool passeront aux mains des méchants. Dans ce cas, que boira le prochain méchant de Bond ? Peut-être que Moët-Hennessy jouera sa nouvelle carte, l'As de pique, et reviendra à la table de 007 après 40 ans d'absence.
Si Bond arrête de boire du champagne, ses ennemis auront finalement porté un coup dur ; ils lui auront volé son champagne, son confort, sa part de réconfort. Cela pourrait arriver, et ce serait un signe clair des temps. Mais ce ne seraient pas de très bons moments, n’est-ce pas ? Et ce ne serait pas vraiment Bond.
Champagne – James Bond’s royal flush
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