Sinon la brosse a chiotte (Jospin) ne me manque absolument pas...
Je ne fais allusion qu'à la capacité à s'exprimer en public. Il a beau avoir le charisme d'une botte de poireaux, il parle mieux que nos 2 derniers présidents réunis.
Sinon la brosse a chiotte (Jospin) ne me manque absolument pas...
Pourquoi c'est curieux venant de forumeurs vivants a l'etranger?Pour le moment, les resultats du sondage sont interressants: + de 17 % des votants aderent aux idees du FN ? (sans compter les + de 6% qui ne se sentent pas concernes, donc qui aderent sans s'en rendre compte)
Curieux comme resultat, j'imaginais un score proche de 0 pour des forumeurs vivants a l'etranger !
Pourquoi c'est curieux venant de forumeurs vivants a l'etranger?
Pour le moment, les resultats du sondage sont interressants: + de 17 % des votants aderent aux idees du FN ? (sans compter les + de 6% qui ne se sentent pas concernes, donc qui aderent sans s'en rendre compte)
Parce que les gens qui vivent à l'étranger sont confrontés à d'autres cultures, que ça leur ouvre les yeux et que la diversité fait d'eux des gens meilleurs. Alors qu'à l'inverse les électeurs du FN sont des fils de putes de cul-terreux à l'esprit étroit qui ne sont jamais sortis du trou à merde qui leur sert village.Pourquoi c'est curieux venant de forumeurs vivants a l'etranger?
Quelque part je me demande si la politique n'est pas une façade masquant les réels enjeux du pouvoir qui sont avant tout économiques. En effet inutile de démontrer la puissance et l'influence des lobbys industriels sur la sphère légale, right?
Politiquement, le champs d'expression citoyenne est très limité, mais sur le plan économique, chaque euro que nous dépensons (ou pas) est un bulletin de vote en soi.
De même sur le plan culturel, les contenus télévisuels, multimédia, radio, de presse, et autres offres culturelles vers lesquels nous nous orientons peuvent être considérés comme autant de choix représentatifs d'un asservissement ou d'un militantisme.
La démocratie n'est plus une notion politique, mais économique, si chacun prend conscience de son influence individuelle sur l'économie, alors la représentation politique ne pourra que changer d'elle-même.
Je suis prêt a réapprendre, juste pour une double ration de punch...
Et BTW, par rapport a l'autre post c'est moi qui me suit mal exprimé (en gros une mauvaise vanne). Y'a pas de problème la dessus.
Quelque part je me demande si la politique n'est pas une façade masquant les réels enjeux du pouvoir qui sont avant tout économiques. En effet inutile de démontrer la puissance et l'influence des lobbys industriels sur la sphère légale, right?
Politiquement, le champs d'expression citoyenne est très limité, mais sur le plan économique, chaque euro que nous dépensons (ou pas) est un bulletin de vote en soi.
De même sur le plan culturel, les contenus télévisuels, multimédia, radio, de presse, et autres offres culturelles vers lesquels nous nous orientons peuvent être considérés comme autant de choix représentatifs d'un asservissement ou d'un militantisme.
La démocratie n'est plus une notion politique, mais économique, si chacun prend conscience de son influence individuelle sur l'économie, alors la représentation politique ne pourra que changer d'elle-même.
Pas mal le double troll avec les campagnardsParce que les gens qui vivent à l'étranger sont confrontés à d'autres cultures, que ça leur ouvre les yeux et que la diversité fait d'eux des gens meilleurs. Alors qu'à l'inverse les électeurs du FN sont des fils de putes de cul-terreux à l'esprit étroit qui ne sont jamais sortis du trou à merde qui leur sert village.
Lisez les journaux, merde.
Moi je vote Coluche Voila Voir la pièce jointe 55647
Le fils du président de la Commission aurait bénéficié de passe-droits, selon la presse portugaise. Luís Barroso, 31 ans, a été engagé par la Banque centrale du Portugal sans devoir passer d'entretien, contrairement aux autres candidats.
pour memoire , lorsque l'election de Coluche a semblé reelement possible , son garde du corps a été assasiné , ce qui a calmé Coluche et il s'est retiré de la course. egalement l'accident qui a causé la mort de Coluche lorsqu'il a percuté en moto un camion de gendarmerie qui manoeuvrait a toujours laissé des doutes....
Si quelqu'un se leve serieusement pour contrer le pouvoir jusqu'a present , d'une maniere ou d'une autre , on ne le laisse pas faire , je reste convaincu par exemple que DSK s'est fait pieger, et je ne parle pas dans les autres pays il y a les meme coups bas ...
tout ca ca me rappelle le film le parrain " je vais te faire une offre que tu ne peux pas refuser ... tu laisses tomber ou c'est une balle dans la tete ..."
copier-coller?Pour marquer simplement non pas le mécanisme même de la relation entre pouvoir, droit et vérité, mais l'intensité du rapport et sa constance, disons ceci : nous sommes astreints à produire la vérité par le pouvoir qui exige cette vérité et qui en a besoin pour fonctionner ; nous avons à dire la vérité, nous sommes contraints, nous sommes condamnés à avouer la vérité ou à la trouver. Le pouvoir ne cesse de questionner, de nous questionner ; il ne cesse d'enquêter, d'enregistrer ; il institutionnalise la recherche de la vérité, il la professionnalise, il la récompense. Nous avons à produire la vérité comme, après tout, nous avons à produire des richesses, et nous avons à produire la vérité pour pouvoir produire des richesses. Et d'un autre côté, nous sommes également soumis à la vérité, en ce sens que la vérité fait loi ; c'est le discours vrai qui, pour une part au moins, décide ; il véhicule, il propulse lui-même des effets de pouvoir.
Ou la vérité donne la force, ou la vérité déséquilibre, accentue les dissymétries et fait pencher finalement la victoire d'un côté plutôt que de l'autre : la vérité est un plus de force, tout comme elle ne se déploie qu'à partir d'un rapport de force.
Mais la notion de la vérité s'est tellement abaissée que si vous dites la vérité, on vous accuse de vouloir étonner ou scandaliser. Ce qui manque à l'esprit, c'est la hardiesse et la nuance, l'une excluant l'autre ; et l'une et l'autre sont nécessaires à l'appréhension et à l'expression de la vérité.
Si l'on se mettait à se dire tout haut les vérités, la société ne tiendrait pas un seul instant ; elle croulerait de fond en comble avec un épouvantable fracas comme le temple des Philistins sous les bras de Samson, comme ces galeries souterraines des mines ou ces passages périlleux des montagnes où il ne faut pas élever la voix sous peine d'avalanches.