est-ce que tu es sûr que t'as pas parlé à un "
vendeur dans une pépinière" plutot qu'un pépiniériste?
il y a une énorme différence ici
tu es peut être tombé sur un petit caissier ou un type qui met les articles en rayon, sans plus...
ça ma fait rappelé un jour, je me promenais de l'autre bout du village, quand j'ai vu qu'il y avait comme une Scierie, en pénétrant pour regarder dans quel conditions était leur travail , j'ai vu qu'il y avait une personne qui vendait des planches, j'ai pensé de suite que je pouvais me faire une table campagnarde, puis en regardant de plus près, j'ai vu un tronc d'arbre, plutôt un billot, bien noueux, plein de bosse, est tordu, de suite j'ai voulu l’acquérir pour en faire un pilier de décoration, la tête de ce billot pour en faire une table basse à thé. J'ai discuté le prix avec celui qui vendait les planches, payé pour réservé, et j'ai été chercher dans la rue un peut plus loin , un gars qui avait un tricycle avec une benne derrière. Quand je suis revenu 5 minutes plus tard et alors que je chargeais le billot, un autre type s’amène et me cri dessus, je lui dit que je l'ai payé et que je l'emporte, mais c'est qu'il me demande à qui je l'ai payé et qu'il est le "laoban" de cette endroit, je regarde de partout cherchant mon premier interlocuteur, puis je le décrit. Une discussion, plutôt une gueulante à la chinoise s'engage, quand quelqu'un d'autre arrivant de nul part et lui dit qu'il avait tout vu de loin que je l'avais acheté, c'était ouvrier qui était sorti de son coin ou il venait de piquer une ronflette. Puis le patron m'a demander combien j'avais payé ce bout de bois, le mesurant dans tous les sens pour en calculer le volume et le nombre de planches qu'il pouvait en tirer. quand je lui ai dit le prix il a gueulé encore plus fort, apparemment il devait en tirer plus que ce que le prix que je l'ai payé. Je restais sur mes positions à le prendre au prix que je l'avais payé. Quand je vis re-rentré dans la cour le premier type en question, lui montrant au "laoban" le type celui ci se mis à faire demis tour et à pressé le pas pour partir, le "laoban" lui criait après et se mis à lui courir au cul. Moi j'ai profité de ce moment pour partir avec mon billot.
J'ai maintenant une table à thé en bois et un pilier pour mettre ma cage du mainate dessus.
comme quoi que le vendeur n'est pas forcement à celui qui faut acheter.
un proverbe dit bien, vaut mieux s’adresser à Dieu qu'à ces seins (Saints).