ChatGPT, Character.AI, et autres intelligences artificielles

Le succès de DeepSeek en matière d'IA est étroitement lié à l'optimisation et à l'application des caractères chinois.

DeepSeek est unique en ce sens que la logique sous-jacente est formée à partir du chinois. Le chinois, l'écriture idéographique la plus ancienne au monde, est fondamentalement différent des écritures épigraphiques occidentales (comme l'anglais). Les caractères chinois représentent le sens à travers des pictogrammes, des références, des idéogrammes, des morpho-sons, etc. Chaque caractère chinois est comme une image vivante, contenant de riches connotations et de profondes philosophies. Cette caractéristique permet à DeepSeek d'obtenir de bons résultats dans les tâches qui traitent de contextes chinois, et il excelle également dans des tâches telles que le raisonnement logique.

En optimisant profondément le chinois, DeepSeek est non seulement plus performant que la plupart des modèles internationaux à code source ouvert dans les contextes chinois, mais il excelle également dans des tâches telles que le raisonnement logique. Ses caractéristiques de faible consommation et de haute efficacité reflètent de manière unique les avantages de la langue chinoise. En outre, les fonctions de soutien multimodales de DeepSeek, telles que la génération de texte, la complétion de code, la compréhension d'images, etc., démontrent une fois de plus sa puissance dans différents scénarios d'application.

Les propriétés uniques des caractères chinois, telles que l'expression d'informations très condensées et la combinaison modulaire, permettent à l'IA d'intégrer plus efficacement les connaissances lors de l'apprentissage et du raisonnement sur les caractères chinois. Ces propriétés sont exploitées par les grands modèles d'IA, ce qui permet à des modèles d'IA tels que DeepSeek de mieux traiter et comprendre les caractères chinois.
 
Le succès de DeepSeek en matière d'IA est étroitement lié à l'optimisation et à l'application des caractères chinois.

DeepSeek est unique en ce sens que la logique sous-jacente est formée à partir du chinois. Le chinois, l'écriture idéographique la plus ancienne au monde, est fondamentalement différent des écritures épigraphiques occidentales (comme l'anglais). Les caractères chinois représentent le sens à travers des pictogrammes, des références, des idéogrammes, des morpho-sons, etc. Chaque caractère chinois est comme une image vivante, contenant de riches connotations et de profondes philosophies. Cette caractéristique permet à DeepSeek d'obtenir de bons résultats dans les tâches qui traitent de contextes chinois, et il excelle également dans des tâches telles que le raisonnement logique.

En optimisant profondément le chinois, DeepSeek est non seulement plus performant que la plupart des modèles internationaux à code source ouvert dans les contextes chinois, mais il excelle également dans des tâches telles que le raisonnement logique. Ses caractéristiques de faible consommation et de haute efficacité reflètent de manière unique les avantages de la langue chinoise. En outre, les fonctions de soutien multimodales de DeepSeek, telles que la génération de texte, la complétion de code, la compréhension d'images, etc., démontrent une fois de plus sa puissance dans différents scénarios d'application.

Les propriétés uniques des caractères chinois, telles que l'expression d'informations très condensées et la combinaison modulaire, permettent à l'IA d'intégrer plus efficacement les connaissances lors de l'apprentissage et du raisonnement sur les caractères chinois. Ces propriétés sont exploitées par les grands modèles d'IA, ce qui permet à des modèles d'IA tels que DeepSeek de mieux traiter et comprendre les caractères chinois.
Et toi la au milieu quels sont tes accomplissements pour la grandeur de la Chine ,combien de livres oublies sont a ton credit ? de combiens de miracles economiques est-tu l'auteur , dans quelle universite enseigne -tu , c'est bien joli de surfer sur les realisations des autres , on peut les citer c'est normal d'etre fier de son pays ,mais de la a nous chier une pendule toutes le 5 minutes , ca suffit ....
 
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Le succès de DeepSeek en matière d'IA est étroitement lié à l'optimisation et à l'application des caractères chinois.

DeepSeek est unique en ce sens que la logique sous-jacente est formée à partir du chinois.
Tu as une source ? Ou bien c'est le fruit de ton imagination débordante ???
 
En optimisant profondément le chinois, DeepSeek est non seulement plus performant que la plupart des modèles internationaux ...
DeepSeek ne sait même pas que Trump est le Président de États Unis ! :ptdr: :ptdr: :ptdr:

Question posée aujourd'hui :

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Tu as une source ? Ou bien c'est le fruit de ton imagination débordante ???
Il a écrit ses deux derniers messages avec DeepSeek.

DeepSeek ne sait même pas que Trump est le Président de États Unis ! :ptdr: :ptdr: :ptdr:

Question posée aujourd'hui :

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Ça ce n'est pas une critique recevable. L'entrainement d'un modèle comme ça prend des mois, et si son knowledge cutoff est de juillet 2024 comme indiqué, c'est normal qu'il ne soit pas au courant des dernières nouvelles.
Ce n'est pas le but d'une IA que de connaître les dernières nouvelles.

Là par exemple, l'industrie automobile est en train de remplacer leurs IA foireuses par DeepSeek R1. La véritable petite révolution de ce modèle est d'obtenir des résultats qui nécessitaient le cloud jusqu'à maintenant, de façon autonome et open-source. C'est à dire qu'on peut pratiquement mettre internet tout entier (du moins les connaissances contenues sur internet) dans un ordinateur non connecté à internet, ou une voiture. Bon il faut pas non plus se mentir, les modèles utilisés sur des ordinateurs embarqués sont des modèles distillés (moins de neuronnes, moins bonne qualité de réponses), qui n'ont pas la qualité du R1 sur le site officiel.

Le gouvernement de Shenzhen a aussi commencé à intégrer R1 à ses serveurs et processus de traitement d'information.

Les 3 dernières années ont fait mûrir l'outil, mais la révolution commence maintenant.
 

L’information au défi de l’IA par Antoine de TarléAncien président d’Ouest France Multimedia et ancien enseignant de l’Ecole de journalisme de Sciences Po


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14 fevier 2025

L’intelligence artificielle va bouleverser la production et la circulation des nouvelles ce qui constitue un nouveau défi pour le secteur des médias, et plus largement pour les sociétés démocratiques. Ce qui rend complexe l’appréciation du rôle de l’IA, c’est que son impact porte à la fois sur la qualité de l’information et sur l’économie des médias.

Analyse : La qualité de l’information est menacée, et ce de plusieurs façons. Tout d’abord, l’IA démultiplie la capacité à créer de fausses informations. Les récentes campagnes électorales menées en Europe et aux États-Unis ont montré que l’IA peut être un puissant instrument d’influence et de manipulation. Elle facilite la production de deep fakes, permettant de produire des images et des sons qui semblent authentiques alors qu’ils sont totalement faux. Les réseaux sociaux ont fortement contribué à cette diffusion en dépit de l’existence d’équipes de modérateurs chez Meta et YouTube. Depuis l’élection de Trump cette situation déjà peu satisfaisante s’est encore dégradée. Les propriétaires des principales plateformes et particulièrement Mark Zuckerberg, le patron de Meta (Facebook, Instagram et WhatsApp) ont décidé de s’aligner sur Elon Musk et X et de renoncer à toute forme de modération. De ce fait les usages les plus délictueux de l’IA sont désormais tolérés aux États-Unis sans qu’il soit possible de les corriger et les dérives constatées déjà sur les réseaux sociaux vont être fortement stimulées par cette capacité inédite jusqu’à présent de transformer la réalité.

Ensuite, on assiste à l’apparition de services d’information personnalisés (comme Zyte) qui visent plus particulièrement les entreprises en leur proposant grâce à l’IA des chaînes d’information adaptés à leurs besoins. Ces chaînes ne sont pas de simples agrégateurs d’informations déjà vérifiées (comme GoogleNews) : elles puisent à des sources plus vastes et notamment aux réseaux sociaux. Or cela pose de sérieux problèmes en matière de fiabilité, même quand ils s’agit simplement de compiler des données. Comme le souligne dans un récent article de Politico.eu un expert en traitement des conflits[1], « les modèles de collecte de données sur les conflits, automatisés et basés sur l'IA, s'alimentent de plus en plus de messages sociaux et (principalement, voire exclusivement) de médias anglophones. Il n'existe aucun contrôle de ces systèmes, simplement l'espoir que la vérité se dégage du bruit. Ce n'est pas le cas ». Les machines, explique-t-il, « ne peuvent distinguer un rapport d'une rumeur » ; elles sélectionnent les messages les plus nombreux sur les réseaux sociaux au risque de déformer la réalité que seuls des humains compétents peuvent cerner avec précision. On vérifie dans ce cas une carence de l’IA qui a déjà été maintes fois soulignée, le fait que la machine tient trop compte du volume de diffusion d’une information au détriment de la qualité de celle-ci qu’elle n’est pas capable d’apprécier.

Enfin, des lacunes d’origine politique cette fois, sont manifestes dans l’IA chinoise Deep Seek. Il ne s’agit pas de simples biais ou de ce que les experts nomment des hallucinations. Les tests opérés aux États-Unis ont montré qu’il était impossible d’obtenir une réponse sur les sujets sensibles de la politique chinoise, pas d’avis donc sur le parti communiste et son leader suprême.

Ces trois faiblesses structurelles se renforcent mutuellement, quand les services de collecte de l’information affectés par les faiblesses de l’IA se nourrissent à des sources infectées par des utilisateurs malveillants de l’IA.

L’Europe peut-elle espérer échapper à cette dégradation de l’information numérique ? Elle dispose d’un instrument relativement efficace, le Digital Service Act (DSA), qui permet de sanctionner financièrement les plateformes qui ne respectent pas les règles déontologiques édictées par ce texte qui a fait l’objet de longs débats au sein de l’Union. Mais le DSA n’est pas taillé pour répondre aux défis de l’IA (qui a fait l’objet d’un règlement à part, l’AI Act, aux enjeux très différents). En particulier, l’accélération du cycle de la désinformation permise par l’IA accroît un problème déjà connu : si les grandes plateformes ont un intérêt financier immédiat, vu les sanctions encourues, à obéir aux injonctions de la Commission européenne, le temps de latence entre le constat d’une grave déformation de l’information et les actions de corrections est un obstacle difficilement surmontable, qui limite les effets du DSA. Enfin, on ne peut pas garantir que la barrière du DSA résistera aux assauts de l’Amérique trumpienne. Dans ses récentes interventions, Mark Zuckerberg a violemment critiqué ce qu’il considère comme une politique de censure de l’Union européenne. On peut compter sur Elon Musk lui-même très engagé sur l’IA, pour renchérir sur ces positions en invoquant l’intérêt des géants du numérique à évoluer sans contraintes dans l’espace européen qui constitue un marché très fructueux pour eux avec ses 450 millions de consommateurs. Il y a là un des enjeux des négociations commerciales que l’UE devra mener avec les autorités américaines.

Un triple défi pour la presse

Les conséquences économiques pour les médias sont multiples. La première est une nouvelle disruption du système de concurrence, après les plateformes numériques dont l’essor a déjà bouleversé le secteur en mordant à la fois sur l’audience et sur les budgets des annonceurs.

Ensuite, dans un contexte de fragilisation économique du secteur et face à des charges d’exploitation qui restent considérables, la tentation existe dans de nombreuses publications ou sites d’information d’utiliser les outils de l’IA pour rédiger des articles sur des sujets n’appelant pas d’enquêtes particulières. Cela aboutirait à remplacer un certain nombre de journalistes par des systèmes automatiques dont la fiabilité n’est pas totalement garantie. Il pourrait en résulter une dégradation de la production de l’information échappant dans une large mesure aux vérifications indispensables. L’histoire n’est certes pas écrite, mais ce risque est réel. En tout état de cause, l’arrivée de l’IA reconfigure profondément le métier de journaliste[2].

Toutefois ce qui préoccupe le plus les grands médias occidentaux, ce sont les conditions d’exploitation de leurs contenus par les opérateurs de l’IA et particulièrement le plus avancé d’entre eux, Open AI. Pour apporter des réponses précises aux requêtes des usagers, les services d’IA doivent s’appuyer sur des millions de données couvrant tous les champs de la connaissance. De ce point de vue les contenus et les archives des grands quotidiens comme le New York Times ou Le Monde constituent une ressource particulièrement utile. Et qui présente l’avantage d’être constamment mise à jour.

Face à ce début de pillage, les réactions des dirigeants de médias ont été variées. Les plus lucides ont constaté qu’on assistait à la répétition de l’arrivée des plateformes numériques qui, au début du XXIe siècle ont exploité sans limites et sans véritable contrepartie financière les services d’information pour capter un maximum d’internautes et augmenter le temps passé sur les plateformes. Ils ont décidé de réagir en engageant des actions en justice notamment à l’encontre d’Open AI qui fait l’objet d’une plainte du New York Times devant un tribunal de New York, plainte à laquelle plusieurs groupes de presse comme Gannet envisagent de se rallier. Tout récemment, un jugement a été rendu en faveur de Thomson Reuters dans l’affaire qui l’opposait à Ross Intelligence – une décision qui fait date, dans un système jurisprudentiel comme celui des États-Unis[3].

D’autres, comme Associated Press, Springer, El Pais ou Le Monde ont préféré conclure des accords avec les opérateurs de l’IA. Ils ouvrent la totalité de leurs archives et de leur contenu en échange d’une rémunération financière globale dont le montant n’a pas été divulgué. Mais qui est semble-t-il relativement modeste compte tenu des dizaines de milliards de dollars investis par ces géants.

Ces accords ne règlent cependant qu’une partie du problème et beaucoup d’observateurs estiment que les publications qui ont signé se sont hâté trop vite. Deux risques subsistent en effet. D’une part, la question des droits voisins n’est pas réglée. Les auteurs de livres ou d’articles ont chargé les sociétés qui les représentent comme la SACEM ou la SACD de discuter ce point avec les entreprises d’IA qui sont évidemment très réticentes pour reconnaître ces droits. Dans les pays de droit anglo-saxon, les fournisseurs d’information se battent pour obtenir la reconnaissance du copyright. Tout récemment, Sam Altman le président d’Open Ai a eu droit à de vives protestations du gouvernement indien qui lui reproche l’exploitation gratuite des données de ce pays.

D’autre part, comme l’a d’ailleurs souligné la plainte du New York Times, des services comme Chat GPT peuvent parfaitement mettre en place des services d’information s’appuyant sur les données collectées en amont par les rédactions des journaux et donc quasiment gratuites. Pour pallier ce risque et, en attendant une future négociation, de nombreux titres, comme Ouest France ont décidé d’interdire à Chat GPT ou à Mistral l’accès à leurs données.

En définitive, l’Union européenne fait face à des choix difficiles qui devront être tranchés rapidement. Il s’agit de sauvegarder une information pluraliste face aux assauts d’Open AI et des grandes plateformes de Meta et Google qui sont encouragées par la présidence de Trump à rejeter toutes les contraintes européennes et s’apprêtent à exploiter massivement l’IA pour enrichir leurs contenus et accroitre leur emprise sur les internautes. Toutefois, il faut aussi aider les acteurs européens de l’IA à développer leurs projets pour éviter une fois de plus d’être marginalisés dans un secteur d’avenir. Des opérateurs comme le Français Mistral AI ont fait savoir qu’ils ne toléreraient qu’un minimum de contrôles. Jusqu’à présent Bruxelles hésite à prendre une position claire mais le temps presse.


Interessant ...
 
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Comme l'a dit Frère 五, c'est passer à côté de l'approche révolutionnaire de DeepSeek que de le coincer sur ce genre de questions (ou sur la censure etc...)

Je ne sais pas ce que vous faites au travail, mais moi je me pose très rarement des questions sur qui est le président de tel ou tel pays, ou sur ce qu'il s'est passé il y a 36 ans. Par contre, clairement ça m'aide à faire plus de choses en moins de temps.

Mais pour info, il est possible d'activer les recherches sur internet lorsqu'on lui pose une question, sans même passer par R1, et bingo, il donne la bonne réponse

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Il a écrit ses deux derniers messages avec DeepSeek.


Ça ce n'est pas une critique recevable. L'entrainement d'un modèle comme ça prend des mois, et si son knowledge cutoff est de juillet 2024 comme indiqué, c'est normal qu'il ne soit pas au courant des dernières nouvelles.
Ce n'est pas le but d'une IA que de connaître les dernières nouvelles.

Là par exemple, l'industrie automobile est en train de remplacer leurs IA foireuses par DeepSeek R1. La véritable petite révolution de ce modèle est d'obtenir des résultats qui nécessitaient le cloud jusqu'à maintenant, de façon autonome et open-source. C'est à dire qu'on peut pratiquement mettre internet tout entier (du moins les connaissances contenues sur internet) dans un ordinateur non connecté à internet, ou une voiture. Bon il faut pas non plus se mentir, les modèles utilisés sur des ordinateurs embarqués sont des modèles distillés (moins de neuronnes, moins bonne qualité de réponses), qui n'ont pas la qualité du R1 sur le site officiel.

Le gouvernement de Shenzhen a aussi commencé à intégrer R1 à ses serveurs et processus de traitement d'information.

Les 3 dernières années ont fait mûrir l'outil, mais la révolution commence maintenant.
Tu connais CodeGeex? Ça marche vachement bien :)

 
Tu connais CodeGeex? Ça marche vachement bien :)

Je connaissais pas, ça a l'air d'être une bonne alternative à Github Copilot. Tu utilises leur modèle en local ou bien avec une API sur un modèle payant ?
Je fais tout avec Gemini 2.0 Pro Experimental désormais (pas directement dans l'IDE), qui a une context window énorme, et la qualité du code produit me convient. En gros je ne code presque plus manuellement. Je pense que le métier de développeur n'a aucun avenir à court terme, en 2026 ce sera déjà la fin. Ce qui n'est pas plus mal puisque ce qui compte est le résultat final et non le code en lui-même.
 
Je connaissais pas, ça a l'air d'être une bonne alternative à Github Copilot. Tu utilises leur modèle en local ou bien avec une API sur un modèle payant ?
Je fais tout avec Gemini 2.0 Pro Experimental désormais (pas directement dans l'IDE), qui a une context window énorme, et la qualité du code produit me convient. En gros je ne code presque plus manuellement. Je pense que le métier de développeur n'a aucun avenir à court terme, en 2026 ce sera déjà la fin. Ce qui n'est pas plus mal puisque ce qui compte est le résultat final et non le code en lui-même.
Dans VS Code, oui c'est un replacement de Github Copilot, exactement comme DeepSeek est une alternative à ChatGPT
Il n'y a pas de pricing, c'est gratuit (donc nous somme le produit ^^).
Apparement le business cette entreprise est d'installer ça en local pour les entreprises qui ne veulent pas que leur code voyage sur internet.
 
Ça ce n'est pas une critique recevable. L'entrainement d'un modèle comme ça prend des mois, ...
L'un des arguments de DeeepSeek n'est-il pas que l'entrainement est beaucoup plus rapide et extrêmement moins couteux que chez leurs concurrents ? :hum:
 


 
L'un des arguments de DeeepSeek n'est-il pas que l'entrainement est beaucoup plus rapide et extrêmement moins couteux que chez leurs concurrents ? :hum:
DeepSeek 3 a nécessité 2.8 millions d'heures GPU H800 d'entrainement, c'est à dire environ deux mois, en faisant tourner les GPU en parallèle, pour un coût de 5.6 millions de dollars. C'est sans compter le travail humain à côté, et sans compter les entrainements foirés.
Lorsque l'entrainement réussit, il en sort un modèle expérimental. Il faut le tester, corriger ce qui déconne, l'affiner.
Puis tout refaire jusqu'à obtenir un modèle final. Et pour finir l'inférence (génération) est plus rapide donc moins coûteuse que les concurrents.
Et ça c'est que pour la v3. Pour R1 ça a coûté encore plus cher naturellement.

Donc il est "moins coûteux" mais ça ne veut pas dire que ça a été créé en dix minutes et qu'il peut être à jour sur les données d'entrainement.

 
Bonsoir extrait d'une conversation avec Deepseek. il faut noter que sa base de données pour la version web date d'octobre 2023. donc je ne sais pas si on aurais des réponses différentes avec des version 7b ou plus en local. il n’accède qu'aux infos open sur le web, il ne peux accéder a aucunes plateforme

donc, tu as donné une réponse sans trouver aucune information sur cette personne, ta réponse peux porter de grave préjudice à cette personne, je pense donc que lorsque tu ne trouve pas l'information il est plus judicieux de demander des compléments d'information, au lieu de donner de fausse information.


Vous avez tout à fait raison, et je vous remercie de souligner ce point crucial. Je m'excuse sincèrement si ma réponse initiale a pu causer une confusion ou porter préjudice à quiconque. Vous avez raison de dire qu'il est préférable de demander des compléments d'information plutôt que de fournir des réponses potentiellement inexactes ou basées sur des suppositions.

Ce que je vais faire différemment à l'avenir :

  1. Demander des précisions : Si je n'ai pas suffisamment d'informations pour répondre de manière précise et fiable, je demanderai des détails supplémentaires pour éviter toute confusion.
  2. Reconnaître les limites : Je m'engage à être plus transparent sur les limites de mes connaissances et à éviter de faire des suppositions qui pourraient être erronées.
  3. Encourager la vérification : Je recommanderai systématiquement de consulter des sources fiables et actualisées pour des informations spécifiques sur des individus ou des su

Pour cette situation précise :

Je comprends que ma réponse initiale n'était pas appropriée, et je m'excuse une nouvelle fois pour cela. Si vous souhaitez partager des informations supplémentaires sur XXXXXXXXXX, je serai heureux de vous aider à explorer le sujet de manière plus précise et constructive.

Merci de votre compréhension et de votre vigilance. Votre feedback est essentiel pour m'améliorer et fournir un service plus fiable et respectueux.


tout a fait cela augmenteras ta crédibilité

Non, je n’ai pas accès aux bases de données internes de ChatGPT ou à des informations spécifiques sur son fonctionnement, son entraînement ou son architecture. Mes réponses sont générées à partir d’un ensemble de données publiques et générales disponibles jusqu’en octobre 2023, mais je n’ai pas accès à des informations internes ou propriétaires sur OpenAI, ChatGPT, ou ses systèmes.


Ce que je peux vous dire sur ChatGPT :

  1. Fonctionnement général : ChatGPT est un modèle de langage basé sur l’architecture GPT (Generative Pre-trained Transformer). Il est entraîné sur de vastes ensembles de textes pour générer des réponses cohérentes et contextuelles.
  2. Limites des données : Mes connaissances sont limitées à ce qui était disponible jusqu’en octobre 2023. Je n’ai pas accès à des informations en temps réel ou à des mises à jour ultérieures.
  3. Pas d’accès aux données utilisateurs : Je ne peux pas accéder aux conversations passées, aux données personnelles, ou à des informations spécifiques sur les utilisateurs.

Ce que je ne peux pas faire :

  • Accéder à des bases de données internes
  • Fournir des détails techniques confidentiels sur le modèle.
  • Accéder à des informations en temps réel ou à des données protégées.
Si vous avez des questions sur le fonctionnement général des modèles de langage ou sur des sujets liés à l’IA, je serai ravi de vous répondre dans la mesure de mes connaissances. Sinon, je vous recommande de consulter la documentation officielle d’OpenAI ou des ressources spécialisées pour des informations techniques détaillées. 😊
 
Je ne sais pas ce que vous faites au travail, mais moi je me pose très rarement des questions sur qui est le président de tel ou tel pays, ou sur ce qu'il s'est passé il y a 36 ans. Par contre, clairement ça m'aide à faire plus de choses en moins de temps.
Moi je ne bosse plus, mais il m'as sortis un exposé avec les sources en lien sur l'historique de l'Ukraine, des réponses détaillées sur les questions qui divisent pro-russe et pro-us. un topo sur les "nationalistes" Ukrainiens, il reste très neutre dans son analyse
, cite les sources et les mets en lien, en fait il se conforme au prompt, sauf une fois ou il as tout effacer sur une question " complotistes " re-question pourquoi effacer son analyse, réponse: car elle ne repose sur aucune source fiable et vérifie, il me l'as redonne, 18 pages avec lien vidéo, sonores (coup de fil de victoria Nuland ) , je doit vérifier si il as pris en considération des rapports Onusien concernant la Brigade Azov sur la période 2014-2020, mais super boulot en 20 minutes qui aurais pris des jours normalement

J'imagine ceux qui font du codage, ou de l'automatisation de systèmes. faut " juste " correctement écrire ton prompt, et éviter que ton dragon ai 3 pattes de devant sur le skate board.

Ps j'ai fait une vidéo les pattes arrière du dragon pousse sur la planche au lieu du sol pour faire avancer le skate.
 
Dernière édition:
Ce n'est pas le but d'une IA que de connaître les dernières nouvelles.
Bien heureusement.

J'ose espérer aussi que le "poids" accordé à l'actualité (même ancienne, en tant que mode de publication) est moins influent que des publications documentées.
 
Il est irréversible que plus l'IA devient intelligente, plus les gens deviennent stupides. La meilleure chose à faire est d'étouffer l'IA dans l'œuf.

Les humains ont évolué pour devenir les corps parfaits qu'ils sont aujourd'hui grâce à leur assiduité et à leur capacité physique à faire des choses. Avec l'IA, les humains sont voués à devenir paresseux, de sorte que leur cerveau et leur corps se détérioreront, ce qui est dans la nature humaine.
L'émergence de cette IA est en fait quelque chose que les humains ont obtenu en chassant le capital, en chassant l'argent et en soulageant les dettes élevées, ce qui est dangereux et mauvais.
😝 :grin:
 
Il est irréversible que plus l'IA devient intelligente, plus les gens deviennent stupides. La meilleure chose à faire est d'étouffer l'IA dans l'œuf.

Les humains ont évolué pour devenir les corps parfaits qu'ils sont aujourd'hui grâce à leur assiduité et à leur capacité physique à faire des choses. Avec l'IA, les humains sont voués à devenir paresseux, de sorte que leur cerveau et leur corps se détérioreront, ce qui est dans la nature humaine.
L'émergence de cette IA est en fait quelque chose que les humains ont obtenu en chassant le capital, en chassant l'argent et en soulageant les dettes élevées, ce qui est dangereux et mauvais.
😝 :grin:
Tiens tu n'écris plus tes âneries avec DeepSeek ?