Chine : les jeunes de plus en plus obèses à cause du mode de vie occidental
- Auteur de la discussion Orang Malang
- Date de début
marcou
Dieu suprême
C'est un topique qui va devenir obèse sans prendre de poids...
Ouais. Hors de propos et erroné.
Encore un pan de la science moderne qui s'écroule.
Lien retiré
The 1st law of thermodynamics explains human metabolism: the conversion of food into energy that is used by the body to perform activities.
http://muller.lbl.gov/TRessays/22-ThePhysicsDiet.htm
Want to lose weight? Easy! Just remember the first law of thermodynamics: conservation of energy.
https://www.sciencebasedmedicine.org/calories-thermodynamics-and-weight/
the laws of thermodynamics apply to people too. This means that weight management must be a function of calories in (the total calories consumed by a person) – calories out (the total caloric expenditure, including metabolic processes, waste heat, exercise, and others). Thermodynamics must be obeyed and so if one wishes to lose weight they must burn more calories than they consume.
(remarque ouais, ce serait bien si on devenait incandescent après chaque repas, tellement qu'on dégagerait de chaleur)
Désolé d'insister, mais ce n'est absolument pas ce que toi tu disais quand tu as mentionné le premier principe de la thermo (tu es parti sur une histoire de matière qui ne se créée pas à partir de rien).
Maintenant, qu'il y ait un bilan énergétique global pour le corps humain, c'est une évidence, mais comme le disent eux même les articles que tu cites, il y a diverses manières pour le corps de gérer un apport énergétique (effort, température, graisse), et la répartition entre ces diverses formes de "stockage" est totalement indépendante du 1er principe.
EDIT:
Et justement, le 1er principe te dit qu'en principe c'est tout à fait possible
Dernière édition:
quand on pense a tous ces bouquins sur les regimes qui ne servent a rien alors qu'il suffirait de lire ce topic... apres il faudrait le comprendre! mais bon, en posant (poliment) les bonnes questions...
@Xiao Hai : je viens de relire ton post initial et je m'aperçois que je t'ai peut-être fait dire autre chose que ce que tu voulais dire, et qu'il y a juste un problème de ponctuation à la con. J'avais lu "il reste que la matière ne se crée pas à partir de rien: Première loi de thermodynamique...." (ce qui est pour le coup faux), alors qu'en fait tu voulais peut-être plutot dire "...Première loi de thermodynamique: Si on mange plus que ce qu'on a besoin, on grossit.", ce qui est pour le coup correct (si tant est que "besoin" est un mot fourre-tout pour dire "tout le reste": régulation thermique plus énergie mécanique fournie par tous les efforts)
Dans ce cas mea culpa (et pour le coup j'étais doublement HS)
Dans ce cas mea culpa (et pour le coup j'étais doublement HS)
Dernière édition:
Et nos amis les bêtes? On attend l'avis de nos précieux experts sur ce sujet:
Si les labradors sont obèses, ce n'est pas de leur faute, mais celle de la génétique (article de 20min)
Si les labradors ont tendance à être obèses, ce n’est pas entièrement lié à leur gloutonnerie. Une variation génétique expliquerait la tendance à l’obésité chez l’une d’une des races de chien préférées dans nombre de pays, selon une équipe internationale de chercheurs dont les travaux étaient publiés ce mardi.
Dans les pays développés, de 34 à 59 % des chiens sont en surpoids. Comme chez l’humain, le surpoids des animaux risque de réduire leur espérance de vie, d’affecter leur mobilité, de les rendre diabétiques ou de provoquer une maladie cardiaque, selon ces chercheurs. Ceux-ci soulignent que les labradors sont apparemment nettement plus prédisposés à l’embonpoint.
Pour cette étude publiée dans la revue Lien retiré, ils ont étudié 310 chiens qui ont été pesés et examinés indépendamment par des vétérinaires.
L’équipe a également évalué « le degré d’intérêt de ces chiens pour la nourriture » en recourant à un questionnaire dans lequel leurs propriétaires ont décrit leurs comportements.
Ces scientifiques ont ensuite déterminé qu’une variante du gène appelé POMC était particulièrement liée au surpoids et à l’obésité ainsi qu’à l’appétit chez les labradors et les retrievers à poil plat. Selon eux, environ un labrador sur quatre (23 %) serait porteur d’au moins une copie de cette variante génétique.
Chez ces deux races, chaque copie de cette mutation de ce gène se traduit par un excès de poids de 1,9 kilo en moyenne.
« Il s’agit d’une variante génétique particulièrement fréquente chez les labradors et elle a un effet notable sur ces chiens qui en sont porteurs », précise Eleanor Raffan, vétérinaire de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, principale auteur.
Selon elle, « il est probable que cela aide à expliquer pourquoi les labradors sont plus enclins à être en surpoids par rapport à d’autres races canines ».
Les labradors sont des chiens loyaux, intelligents et toujours prêts à faire plaisir à leur maître, qui sont relativement faciles à dresser, pointe Dr Giles Yeo, un chercheur de l’Université de Cambridge, un des co-auteurs de cette recherche.
Il relève que la nourriture est souvent utilisée comme récompense pendant le dressage et les labradors porteurs de cette variante génétique pourraient être encore plus motivés par cette gâterie.
Mais « c’est à double tranchant, car si les chiens avec cette mutation sont peut-être plus faciles à dresser cela accroît aussi le risque de les rendre obèses », relève le professeur Yeo.
Si les labradors sont obèses, ce n'est pas de leur faute, mais celle de la génétique (article de 20min)
Si les labradors ont tendance à être obèses, ce n’est pas entièrement lié à leur gloutonnerie. Une variation génétique expliquerait la tendance à l’obésité chez l’une d’une des races de chien préférées dans nombre de pays, selon une équipe internationale de chercheurs dont les travaux étaient publiés ce mardi.
Dans les pays développés, de 34 à 59 % des chiens sont en surpoids. Comme chez l’humain, le surpoids des animaux risque de réduire leur espérance de vie, d’affecter leur mobilité, de les rendre diabétiques ou de provoquer une maladie cardiaque, selon ces chercheurs. Ceux-ci soulignent que les labradors sont apparemment nettement plus prédisposés à l’embonpoint.
Pour cette étude publiée dans la revue Lien retiré, ils ont étudié 310 chiens qui ont été pesés et examinés indépendamment par des vétérinaires.
L’équipe a également évalué « le degré d’intérêt de ces chiens pour la nourriture » en recourant à un questionnaire dans lequel leurs propriétaires ont décrit leurs comportements.
Ces scientifiques ont ensuite déterminé qu’une variante du gène appelé POMC était particulièrement liée au surpoids et à l’obésité ainsi qu’à l’appétit chez les labradors et les retrievers à poil plat. Selon eux, environ un labrador sur quatre (23 %) serait porteur d’au moins une copie de cette variante génétique.
Chez ces deux races, chaque copie de cette mutation de ce gène se traduit par un excès de poids de 1,9 kilo en moyenne.
« Il s’agit d’une variante génétique particulièrement fréquente chez les labradors et elle a un effet notable sur ces chiens qui en sont porteurs », précise Eleanor Raffan, vétérinaire de l’Université de Cambridge au Royaume-Uni, principale auteur.
Selon elle, « il est probable que cela aide à expliquer pourquoi les labradors sont plus enclins à être en surpoids par rapport à d’autres races canines ».
Les labradors sont des chiens loyaux, intelligents et toujours prêts à faire plaisir à leur maître, qui sont relativement faciles à dresser, pointe Dr Giles Yeo, un chercheur de l’Université de Cambridge, un des co-auteurs de cette recherche.
Il relève que la nourriture est souvent utilisée comme récompense pendant le dressage et les labradors porteurs de cette variante génétique pourraient être encore plus motivés par cette gâterie.
Mais « c’est à double tranchant, car si les chiens avec cette mutation sont peut-être plus faciles à dresser cela accroît aussi le risque de les rendre obèses », relève le professeur Yeo.
Je viens de regarder une vidéo TED d'une neurologiste : http://www.ted.com/talks/sandrine_thuret_you_can_grow_new_brain_cells_here_s_how
Apparemment ne pas manger entre les repas permet d’accroître la neurogenèse, c'est à dire la création de nouveaux neurones, ceci ayant un lien direct avec l'humeur.
Inversement manger des trucs trop gras sont favorables à la dépression. Et attention : réduire son apport calorique de 30% accroît la neurogenèse.
Donc par déduction, plus on grossit, plus on déprime, plus on mange parce qu'on est triste, plus on grossit.
L'obésité est peut-être la conséquence d'une dépression, la voilà la fameuse maladie.
Apparemment ne pas manger entre les repas permet d’accroître la neurogenèse, c'est à dire la création de nouveaux neurones, ceci ayant un lien direct avec l'humeur.
Inversement manger des trucs trop gras sont favorables à la dépression. Et attention : réduire son apport calorique de 30% accroît la neurogenèse.
Donc par déduction, plus on grossit, plus on déprime, plus on mange parce qu'on est triste, plus on grossit.
L'obésité est peut-être la conséquence d'une dépression, la voilà la fameuse maladie.