Dans un monde fictif et magnifique, la population n'a pour catégorisation distinctive que la couleur de ses cheveux, t'as les blonds, les bruns, les roux, les vert, les rouges, les noirs et ces catégories sont la conséquences de multitudes de hasard génétiques et adaptations environnementale.
Or il s'avère à Haircolor World que durant une période d'industrialisation forte et prédominante sur le continent les Roux ont réussis à s'assurer une avance sur le reste des groupes, ce succès est multi-factoriel, mais n'empêche, les Roux sont quand même content d'être sur un continent tempéré et d'avoir à leur disposition multitudes d'animaux dont il est possible de faire de la domestication et élevage, ce qui n'est pas le cas de tous les autres coloris.
À priori, peu de choses distingue un individu d'un autre si ce n'est sa couleur de cheveux, mais il est vrai que les constructions culturelles ont fait de sorte à ce que des distinctions fictives puisses se construire socialement, aussi, après cette période d'industrialisation forte, les Roux ont décidés que ce serait sans doutes pas trop mal de venir voir les autres coloris histoire de leur montrer comment qu'on fait des boucles aussi saillante que les leurs et voir si y'avait pas moyens de trouver des ingredients à après shampoings .
Cela ce passe mal, certains coloris ont pas envie d'avoir de boucles, dont les blonds qui trouvent cela ridicule au possible et argumentent que leur chevelures dorée est un aspect de leur culture inaliénable. Même si certains blonds s'en branlent un peu d'avoir ou non des boucles. En revanche, les avancées sur le shampoings débouchent sur des besoins en minéraux et ressources naturelles assez important pour les Roux, qui veulent garder un peu de leur avance malgré que le monde commence doucement à s'égaliser.
Certains Blonds n'aiment pas cela, ils l'ont en travers de la gorge et des dizaines d'années de domination Rousse n'a eu pour effet que d’agréger nombre de frustrations envers eux. Certains reviennent à des valeurs Blonde d'entant, parfois même archaïques pour construire leur identité. Tandis que les Blonds vivant sur le continent Roux, eux, essaient tant bien que mal de se faire des boucles pour faire comme tout le monde.
Une période passe, et le monde s'est bien complexifié, cela fait déjà deux générations que des Blonds vivent chez les Roux et le monde est tel que la plus part des gens s'accordent à dirent que la couleur de Cheveux ne défini pas les individus.
Sauf qu'un groupe de Blonds de chez Blondiland en décide autrement en venant exploser le salon de coiffure le plus important de New Ginger City. Ultime pied de nez à l’impérialisme Roux et conséquence de generations de haines transmises par des groupuscules n'ayant pas digéré certaines attaques lointaines chez les copains Châtain clair, venant d'un pays peu développé mais aux cultures pour certaines semblable aux Blonds avec des usages similaires en ce qui concerne les coiffures.
Le monde sombre alors dans une paranoia envers les blonds, catégorisées comme étant des Châtain clair au moindre doute, tant la similarité physique et les origines culturelles semblent similaire. Souvent, les Blonds eux commençaient pourtant à s'intégrer dans les sociétés Rousses mais les individus étant ce qu'ils sont et ayant les peurs qu'ils ont, suspicieux par nature, n'arrivent pas toujours à voir au delà de la couleur de cheveux et continuent à les considérer comme de possible Chatain Clair, au cas-ou.
De ce rejet de la société Rousse, beaucoup de Blonds font le dos ronds et ferment leur gueules, continuent à se faire des boucles pour bien passer en société. D'autre en revanchent, se sentant défini en fonction de leur caractéristiques souffrent d'une frustration intenses, ne comprenant pas pourquoi la société les rejettes alors qu'ils font tout bien comme il faut.
C'est alors qu'une nouvelle tendance née chez les Chatain Clair, que de revenir à l'art ancestral de la tresse. A priori cet art n'était ni perdu ni en train de mourir, seulement beaucoup de Blonds et de Chatain clair ne le faisaient plus ou considéraient cela comme simple attribut culturel ne les définissant pas plus que cela.
Par frustration et comme le monde commençaient doucement à considérer que tout les blonds et les Chatains clair étaient quoi qu'il arrive adepte de la tresse certains finir par écouter les prêcheur de tresses, les seuls à leur ouvrir les bras et à leur donner une définition de leur individualité qui n'était plus une condition de sous individu, mais bien les descendant de la race noble des tresseux.
D'un coup, comme cela, le problème n’était plus la couleur des cheveux mais la façons dont on les arrangeaient. Or, il s'avère que les Roux continuaient à dominer une partie du monde et à vouloir que leur domination ne puisse être amoindrie, quelque guerre d'antipéliculaire plus tard on dit aux Blonds et Chatains clair que le problème n’était pas la couleur mais leur tresses.
Certains arguèrent que leur frères tresseux de pays tiers se faisaient mettre sur le coins des couettes par les Roux en toute impunité et soudain, une impression de collectif commença a s'exacerber chez certains Blonds et Chatains Clair, qui après tout étaient déjà considérés comme des tresseux, autant y aller à fond et considérer que si un tresseux ailleurs était attaqué, c'était sans doutes une personne bien plus proche que ces Roux qui de toutes façons les voyaient comme de potentiel exploseurs de salons de coiffures.
Alors vint le Roux un peu plus bavard que les autres qui dît à ses comparses que le problème était bien la tresse, qu'ils n'avaient qu'à voir ce qu'ils faisaient aux femmes par chez eux en leur obligeant à porter des scandales-chaussettes (et aux blonds d’interjeter que chez eux, c'est pas tous les pays de la Tresse, en vain dans un coin).
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