Bonjour
Un beau rêve et un beau défit pour la Chine, mais qui ne risque pas de causer des insomnies aux deux géants, Airbus et Boeing ne resteront pas les bras croisés, certes avec le temps il fallait bien que le chine se lance dans l’aviation civile tout comme la Russie avec le MS-21 (projet qui a 13 ans déjà).
Concernant les commandes du C919, elles sont surtout chinoises, six compagnies aériennes chinoises ont passé des commandes, ce qui représente 25 % du nombre total de commandes tout comme le ARJ21 qui est une copie presque conforme du McDonnell Douglas MD-90 pour laquelle COMAC a obtenu une licence de fabrication. Cela explique sa ressemblance avec l’avion américain. (le biréacteur n’est toujours pas certifié à ce jour) Le ARJ 21 (Advanced Regional Jet associé au nombre 21 représentant le 21e siècle.) accuse un retard de 8 ans (sortie d’usine 2007 à ce jour).
Alors sans être pessimiste, l’eau va encore couler longtemps sous les ponts avant de voir le ciel international envahit par Comac C919, C929 ou C939.Mais le ciel est vaste, il y a donc de la place pour un troisième grand acteur d’autant que les besoins en avions neufs sont immenses.
Un beau rêve et un beau défit pour la Chine, mais qui ne risque pas de causer des insomnies aux deux géants, Airbus et Boeing ne resteront pas les bras croisés, certes avec le temps il fallait bien que le chine se lance dans l’aviation civile tout comme la Russie avec le MS-21 (projet qui a 13 ans déjà).
Concernant les commandes du C919, elles sont surtout chinoises, six compagnies aériennes chinoises ont passé des commandes, ce qui représente 25 % du nombre total de commandes tout comme le ARJ21 qui est une copie presque conforme du McDonnell Douglas MD-90 pour laquelle COMAC a obtenu une licence de fabrication. Cela explique sa ressemblance avec l’avion américain. (le biréacteur n’est toujours pas certifié à ce jour) Le ARJ 21 (Advanced Regional Jet associé au nombre 21 représentant le 21e siècle.) accuse un retard de 8 ans (sortie d’usine 2007 à ce jour).
Alors sans être pessimiste, l’eau va encore couler longtemps sous les ponts avant de voir le ciel international envahit par Comac C919, C929 ou C939.Mais le ciel est vaste, il y a donc de la place pour un troisième grand acteur d’autant que les besoins en avions neufs sont immenses.