Mars, et ça repart...

ce qui serait encore plus drôle, cela serait que la vie vienne de Mars,
Imaginez.. de lointains ancêtres martiens arrivent a envoyer des briques de vie sur la Terre car ils savent Mars condamnée a breve échéances.
Des millénaires plus tard, leurs descendants foutent en l'air leur planète d'accueil ( la Terre ) et envisagent de terraformer Mars comme alternative..
Le gag ! ;)
je ne sais pas comment vous expliquer mon design.
Quelques mots clés:
sur la Terre: bactéries (micro-organismes) - pouvoir décomposer les minéraux - pouvoir libérer de l’oxygène - bien qu’en quantités limitées, mais surprenantes.
 
je ne sais pas comment vous expliquer mon design.
Quelques mots clés:
sur la Terre: bactéries (micro-organismes) - pouvoir décomposer les minéraux - pouvoir libérer de l’oxygène - bien qu’en quantités limitées, mais surprenantes.
merci. Moi mieux comprendre maintenant :grin:

si c'est sur la Terre, alors très bien. encore faut il avoir des roches martiennes sous la main.
 
merci. Moi mieux comprendre maintenant :grin:

si c'est sur la Terre, alors très bien. encore faut il avoir des roches martiennes sous la main.
des roches martiennes, je ne le pense pas un grand probleme, certains rochers+mineraux sont similaires sur la Terre et sur le Mars.
Le principal est qu’il faut trouver un endroit sur terre (Que pensez-vous du grand Désert du sahara?), ou construire un laboratoire. Ils doivent être similaires ou identiques que les conditions atmosphériques, les conditions climatiques, le rayonnement solaire et d’autres facteurs.:eek:
 
Avec un niveau de bruit enregistré extrêmement bas, l’instrument SEIS embarqué sur @InSight est à ce jour le sismomètre le plus sensible déployé dans le système solaire par une mission spatiale.


Pour améliorer la qualité des données collectées, l’objectif est de réduire l’effet des « craquements » thermiques induits par les cycles jour/nuit sur le câble reliant l’instrument à l’atterrisseur. Pour cela, ce câble doit être recouvert d’une couche isolante.

voir la suite dans le thread Twitter du CNES.
Et oui, Twitter sert aussi à cela.
 
La sonde chinoise entre dans l'histoire en se posant sur Mars

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L'atterrisseur transportant le premier rover chinois sur Mars s'est posé avec succès sur la planète rouge tôt samedi matin, heure de Pékin.

Communique : C'est la première fois que la Chine fait atterrir une sonde sur une planète autre que la Terre.
Tianwen-1, composé d'un orbiteur, d'un atterrisseur et d'un rover, a été lancé depuis le site de lancement de vaisseaux spatiaux de Wenchang, sur la côte de la province insulaire de Hainan, dans le sud de la Chine, le 23 juillet 2020. Il s'agit de la première étape de l'exploration planétaire de la Chine dans le système solaire, avec pour objectif de réaliser la mise en orbite, l'atterrissage et le rover sur la planète rouge en une seule mission.
Le nom Tianwen, qui signifie "Questions au ciel", provient d'un poème écrit par l'ancien poète chinois Qu Yuan (environ 340-278 avant J.-C.). Le premier rover chinois sur Mars est nommé Zhurong, d'après le dieu du feu dans la mythologie chinoise ancienne, ce qui fait écho au nom chinois de la planète rouge : Huoxing (la planète du feu).

Le vaisseau spatial est entré dans l'orbite de Mars en février après un voyage de près de sept mois dans l'espace, et a passé plus de deux mois à surveiller les sites d'atterrissage potentiels.
Aux premières heures de samedi, le vaisseau spatial a commencé à descendre de son orbite de stationnement, et la capsule d'entrée contenant l'atterrisseur et le rover s'est séparée de l'orbiteur vers 4 heures du matin.

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Après environ trois heures de vol, la capsule d'entrée s'est précipitée vers la planète rouge et est entrée dans l'atmosphère de Mars à une altitude de 125 km, amorçant ainsi la phase la plus risquée de toute la mission.
Tout d'abord, la forme aérodynamique spécialement conçue de la capsule d'entrée a décéléré avec la friction de l'atmosphère martienne. Lorsque la vitesse du vaisseau spatial est passée de 4,8 km par seconde à environ 460 mètres par seconde, un énorme parachute couvrant une surface d'environ 200 mètres carrés a été déployé pour continuer à réduire la vitesse à moins de 100 mètres par seconde.

Le parachute et le bouclier extérieur du vaisseau spatial ont ensuite été largués, exposant l'atterrisseur et le rover, et la rétrofusée de l'atterrisseur a été mise à feu pour ralentir encore la vitesse du vaisseau jusqu'à presque zéro.
À environ 100 mètres au-dessus de la surface martienne, le vaisseau s'est mis en vol stationnaire pour identifier les obstacles et mesurer les pentes de la surface. En évitant les obstacles, il a sélectionné une zone relativement plate et est descendu lentement, se posant en toute sécurité avec ses quatre pattes tampons.

La descente de l'engin dans l'atmosphère martienne, qui a duré environ neuf minutes, a été extrêmement compliquée en l'absence de contrôle au sol et a dû être effectuée par l'engin de manière autonome, a déclaré Geng Yan, un responsable du Centre d'exploration lunaire et du programme spatial de la CNSA.

"Chaque étape n'avait qu'une seule chance, et les actions étaient étroitement liées. S'il y avait eu la moindre faille, l'atterrissage aurait échoué", a déclaré Geng.

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Lien retiré

:bravo:
 
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La sonde chinoise entre dans l'histoire en se posant sur Mars

L'atterrisseur transportant le premier rover chinois sur Mars s'est posé avec succès sur la planète rouge tôt samedi matin, heure de Pékin.

Communique : C'est la première fois que la Chine fait atterrir une sonde sur une planète autre que la Terre.
Tianwen-1, composé d'un orbiteur, d'un atterrisseur et d'un rover, a été lancé depuis le site de lancement de vaisseaux spatiaux de Wenchang, sur la côte de la province insulaire de Hainan, dans le sud de la Chine, le 23 juillet 2020. Il s'agit de la première étape de l'exploration planétaire de la Chine dans le système solaire, avec pour objectif de réaliser la mise en orbite, l'atterrissage et le rover sur la planète rouge en une seule mission.
Le nom Tianwen, qui signifie "Questions au ciel", provient d'un poème écrit par l'ancien poète chinois Qu Yuan (environ 340-278 avant J.-C.). Le premier rover chinois sur Mars est nommé Zhurong, d'après le dieu du feu dans la mythologie chinoise ancienne, ce qui fait écho au nom chinois de la planète rouge : Huoxing (la planète du feu).

Le vaisseau spatial est entré dans l'orbite de Mars en février après un voyage de près de sept mois dans l'espace, et a passé plus de deux mois à surveiller les sites d'atterrissage potentiels.
Aux premières heures de samedi, le vaisseau spatial a commencé à descendre de son orbite de stationnement, et la capsule d'entrée contenant l'atterrisseur et le rover s'est séparée de l'orbiteur vers 4 heures du matin.

Après environ trois heures de vol, la capsule d'entrée s'est précipitée vers la planète rouge et est entrée dans l'atmosphère de Mars à une altitude de 125 km, amorçant ainsi la phase la plus risquée de toute la mission.
Tout d'abord, la forme aérodynamique spécialement conçue de la capsule d'entrée a décéléré avec la friction de l'atmosphère martienne. Lorsque la vitesse du vaisseau spatial est passée de 4,8 km par seconde à environ 460 mètres par seconde, un énorme parachute couvrant une surface d'environ 200 mètres carrés a été déployé pour continuer à réduire la vitesse à moins de 100 mètres par seconde.

Le parachute et le bouclier extérieur du vaisseau spatial ont ensuite été largués, exposant l'atterrisseur et le rover, et la rétrofusée de l'atterrisseur a été mise à feu pour ralentir encore la vitesse du vaisseau jusqu'à presque zéro.
À environ 100 mètres au-dessus de la surface martienne, le vaisseau s'est mis en vol stationnaire pour identifier les obstacles et mesurer les pentes de la surface. En évitant les obstacles, il a sélectionné une zone relativement plate et est descendu lentement, se posant en toute sécurité avec ses quatre pattes tampons.

La descente de l'engin dans l'atmosphère martienne, qui a duré environ neuf minutes, a été extrêmement compliquée en l'absence de contrôle au sol et a dû être effectuée par l'engin de manière autonome, a déclaré Geng Yan, un responsable du Centre d'exploration lunaire et du programme spatial de la CNSA.

"Chaque étape n'avait qu'une seule chance, et les actions étaient étroitement liées. S'il y avait eu la moindre faille, l'atterrissage aurait échoué", a déclaré Geng.


Lien retiré

:bravo:
Ce sont les controles compliques, il faut de la precision. !:):bravo:
 
Le nom "天问"=«Les questions au Ciel» est un long poème écrit par le poète Chinois-Qu Yuan durant la Période des royaumes combattants (770 a.c. — 221 a.c.).
.Le poème pose toujours, depuis les phénomènes naturels tels que la séparation du Ciel et de la Terre, les changements du Yin et du Yang, le soleil, la Lune et les étoiles, des questions sur les mythes et les légendes, et même sur les histoires historiques telles que la férocité &s ages et la montée et la chute des gouverneurs. Le langage est particulier, la structure de la phrase est dominée par les quatre mots, sans mot auxiliaire à la fin de la phrase, avec une section en quatre phrases, une rime pour chaque phrase, le rythme étant naturellement harmonisés. Tout le poème pose des questions sur les phénomènes du ciel et de la terre, de la nature et de la vie humaine, et son contenu est étonnant. il montre la personnalité intime, active et imaginaire de l'auteur, une grande erudition et un talent artistique étonnant.
je fais une petite presentation de l'origine de ce nom et son auteur, pour une connaissance interessante! :grin:
 
Le nom "天问"=«Les questions au Ciel» est un long poème écrit par le poète Chinois-Qu Yuan durant la Période des royaumes combattants (770 a.c. — 221 a.c.).
.Le poème pose toujours, depuis les phénomènes naturels tels que la séparation du Ciel et de la Terre, les changements du Yin et du Yang, le soleil, la Lune et les étoiles, des questions sur les mythes et les légendes, et même sur les histoires historiques telles que la férocité &s ages et la montée et la chute des gouverneurs. Le langage est particulier, la structure de la phrase est dominée par les quatre mots, sans mot auxiliaire à la fin de la phrase, avec une section en quatre phrases, une rime pour chaque phrase, le rythme étant naturellement harmonisés. Tout le poème pose des questions sur les phénomènes du ciel et de la terre, de la nature et de la vie humaine, et son contenu est étonnant. il montre la personnalité intime, active et imaginaire de l'auteur, une grande erudition et un talent artistique étonnant.
je fais une petite presentation de l'origine de ce nom et son auteur, pour une connaissance interessante! :grin:
Bonsoir Paul
On peut egalement citer Zhou Xingsi (470-521) dans la periode de la Dynastie Liang ( 502-549 ) ( One Thousand Characters ) , illustre par les calligraphies de Wang Xizhi (321/379 AD) ... Je vais me procurer " Les questions au Ciel " .... Merci

Le Classique des Mille Caractères 千字文 (qiānzìwén) est un poème chinois utilisé comme amorce à l'enseignement des caractères chinois pour les enfants. Il contient exactement mille caractères uniques .

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Bonsoir Paul
On peut egalement citer Zhou Xingsi (470-521) dans la periode de la Dynastie Liang ( 502-549 ) ( One Thousand Characters ) , illustre par les calligraphies de Wang Xizhi (321/379 AD) ... Je vais me procurer " Les questions au Ciel " .... Merci

Le Classique des Mille Caractères 千字文 (qiānzìwén) est un poème chinois utilisé comme amorce à l'enseignement des caractères chinois pour les enfants. Il contient exactement mille caractères uniques .

Tu es admirable.
Vous en connaissez beaucoup sur la culture chinoise, je ne sais même pas qu’il y a Le Classique des Mille Caractères 千字文 (qiānzìwén).:)
 

China's Tianwen-1 probe sends back Mars landing visuals

Deux photos et deux vidéos capturées par la sonde martienne chinoise Tianwen-1 pendant et après le premier atterrissage du pays sur la planète rouge ont été publiées par l'Administration spatiale nationale de Chine (CNSA) mercredi.

Communique : L'atterrisseur transportant un rover de la mission Tianwen-1 a touché la partie sud d'Utopia Planitia, une vaste plaine de l'hémisphère nord de Mars, le 15 mai, devenant ainsi la première sonde du pays à se poser sur une planète autre que la Terre.

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La première photo, une image en noir et blanc, a été prise par une caméra d'évitement d'obstacles installée à l'avant du rover martien. L'image montre qu'une rampe de l'atterrisseur a été prolongée jusqu'à la surface de Mars. Le terrain sur lequel avance le rover est clairement visible sur l'image, et l'horizon de Mars semble courbé en raison de l'objectif grand angle.

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La deuxième image, une photo couleur, a été prise par la caméra de navigation vers l'arrière du rover. On y voit les panneaux solaires et l'antenne du rover dépliés, et le sol rouge et les roches de la surface martienne sont clairement visibles sur l'image.
La sonde a également renvoyé deux vidéos prises par une caméra de l'orbiteur, montrant comment l'atterrisseur et le rover se sont séparés de l'orbiteur pendant l'atterrissage.
Tianwen-1, composé d'un orbiteur, d'un atterrisseur et d'un rover, a été lancé le 23 juillet 2020. Il s'agissait de la première étape de l'exploration planétaire de la Chine dans le système solaire, avec pour objectif de réaliser la mise en orbite, l'atterrissage et le rover sur la planète rouge en une seule mission.

Après avoir atterri samedi dernier, l'atterrisseur et le rover ont établi la communication avec la Terre.
Le 17 mai, l'orbiteur est entré en orbite pour relayer la communication entre le rover et la Terre, et a renvoyé des images et des données du rover.

Le rover se prépare maintenant à descendre de l'atterrisseur sur la surface martienne, a déclaré la CNSA.


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Dernière édition:
Ce probe va-t-il trouver les éléments chimiques qui n’existent pas sur Terre?
 
Ce probe va-t-il trouver les éléments chimiques qui n’existent pas sur Terre?

Peut etre , les echantillons vont peut etre en reveler de nouveaux ? :hum:

LA PROCHAINE ÉTAPE DES MISSIONS SUR MARS : PERCER LES SOUS-SOLS ?

Extrait : « Le sous-sol est l'une des limites de l'exploration de Mars. Nous avons étudié latmosphère, cartographié la surface (…) et atterri sur la planète rouge à une demi-douzaine dendroits, et ce travail continue de nous en dire long sur le passé de la planète. Mais si nous voulons creuser la possibilité d'une vie actuelle, le sous-sol sera très certainement là où les choses se passent » souligne Jack Mustard, codirecteur de l’étude. Mais pas besoin d’imaginer de gigantesques infrastructures à l’image des plateformes pétrolières, poursuit-il. Les nouvelles petites sondes perceuses à bord des rovers Curiosity et Perseverance représentent sans doute une avancée technologique (encore en voie de développement) qui nous permettront peut-être d’atteindre les profondeurs nécessaires pour mener des recherches en quête de la vie martienne…

Le sol martien​

Extrait : Le spectromètre rayons X à fluorescence (XUF) des atterrisseurs Viking a permis d'obtenir pour la première fois la composition élémentaire du sol martien, dont on a ensuite déduit la nature des roches martiennes. Cet appareil irradie les échantillons à étudier avec des rayons X provenant de deux sources radioactives (55 Fe et 109Cd). Les échantillons répondent à cette excitation en émettant de la lumière (par fluorescence), dont l'analyse permet de remonter à leur composition.

Les résultats, exprimés en oxyde, sont précis à quelques dixièmes de pour cent. Le sol de Mars est principalement composé d'oxydes de silicium (44 %) et d'oxydes de fer (17 %). Les oxydes de fer jouent deux rôles importants sur Mars. Premièrement, ils sont responsables de la couleur rouille caractéristique de la surface martienne (hématite principalement, mais aussi ferrihydrite). Ensuite, le sol doit ses étonnantes propriétés électriques et magnétiques à la présence de deux oxydes de fer hautement magnétique, la magnétite (Fe3O4) et la maghémite (gFe2O3). Ce dernier possède la même formule chimique que l'hématite, mais diffère de cet oxyde par sa structure cristalline. La maghémite peut se former par l'altération aqueuse de magnétite, et peut également apparaître suite à l'altération de la nontronite (voir plus loin).

Composition du sol martien​


Composition (exprimée en oxydes)
Sol de Chryse Planitia (Viking 1)
Sol d'Utopia Planitia (Viking 2)
Sol d'Ares Vallis (Pathfinder)
SiO2​

44 %​
43,0 %​
48,6 %​
Al2O3​

7,3 %​
7,0 %​
8,6 %​
Fe2O3​

17,5 %​
17,3 %​
16,5 (% FeO)​
MgO​
6,0 %​
6,0 %​
7,8 %​
CaO​
5,7 %​
5,7 %​
5,7 %​
K2O​
0,15 % (au maximum)​
0,15 % (au maximum)​
0,6 %​
TiO2​
0,6 %​
0,5 %​
0,9 %​
SO3​
6,7 %​
7,9 %​
5,9 %​
Cl​
0,8 %​
0,4 %​
0,6 %​
Na2O​
?​
?​
2,4 %​
MnO​
?​
?​
0,4 %​
 
Dernière édition:
ce tableau des elements est similaire a ceux de la Terre! Pas interessant! :grin:
 
La Chine prévoit de lancer la première mission avec équipage vers Mars en 2033

La Chine vise à lancer sa première mission habitée vers Mars en 2033 et à construire une base sur la planète rouge lors des missions suivantes, selon le chef du principal fabricant de fusées du pays.

Communique : Wang Xiaojun, directeur de l'Académie chinoise de technologie des lanceurs (CALT), a exposé ces plans dans un discours par liaison vidéo lors de la Conférence mondiale sur l'exploration spatiale (GLEX 2021) qui s'est tenue du 14 au 17 juin à Saint-Pétersbourg.

Wang a d'abord passé en revue la mission Tianwen-1, la première mission chinoise sur Mars qui a réussi à se mettre en orbite, à se poser et à se déplacer en une seule fois, avant de dévoiler une feuille de route en trois étapes pour la future expédition du pays sur Mars.
Première étape, lors de la phase de préparation technologique, la Chine enverra des robots sur Mars pour des tâches telles que le retour d'échantillons, la surveillance de sites possibles pour la future base et la construction de systèmes permettant d'utiliser les ressources sur place.

Selon Xu Hongliang, porte-parole de l'administration spatiale nationale chinoise, une mission aller-retour sans équipage destinée à collecter des échantillons sur Mars devrait avoir lieu vers 2030.

Pour que l'homme puisse habiter sur Mars, les équipages devront être capables d'utiliser les ressources de la planète, par exemple en extrayant l'eau qui se trouve sous sa surface, en produisant de l'oxygène sur place et en produisant de l'électricité.

Dans un deuxième temps, des missions avec équipage seront lancées et une base martienne sera construite. Les lancements de missions avec équipage vers Mars sont prévus pour 2033, 2035, 2037, 2041 et au-delà, selon Wang.
La troisième étape du plan prévoit des flottes de vaisseaux spatiaux faisant la navette entre la Terre et Mars et le développement à grande échelle de la planète rouge.

Le propulseur nucléaire est une option importante pour les missions d'exploration habitée de Mars, selon M. Wang.
Parallèlement, la Chine étudie également "Sky Ladder", un nouveau système de transport spatial pour les missions martiennes, a déclaré Wang, sans plus de précisions.

Au cours de la phase initiale des missions habitées vers Mars, le système de transport comprendra plusieurs véhicules tels que des fusées porteuses, des fusées navettes Terre-Mars, des véhicules d'atterrissage et d'ascension vers Mars. Différents types de vaisseaux spatiaux porteurs seront utilisés à différentes étapes des missions.


On va deja aller sur la lune dans un premier temps ! Chaque chose en son temps , une chose est cependant certaine les cerveaux cogitent a fond dans le domaine du spatial en Chine , tout comme chez leurs homologues aux Etats Unis !
 
La Chine prévoit de lancer la première mission avec équipage vers Mars en 2033

La Chine vise à lancer sa première mission habitée vers Mars en 2033 et à construire une base sur la planète rouge lors des missions suivantes, selon le chef du principal fabricant de fusées du pays.

Communique : Wang Xiaojun, directeur de l'Académie chinoise de technologie des lanceurs (CALT), a exposé ces plans dans un discours par liaison vidéo lors de la Conférence mondiale sur l'exploration spatiale (GLEX 2021) qui s'est tenue du 14 au 17 juin à Saint-Pétersbourg.

Wang a d'abord passé en revue la mission Tianwen-1, la première mission chinoise sur Mars qui a réussi à se mettre en orbite, à se poser et à se déplacer en une seule fois, avant de dévoiler une feuille de route en trois étapes pour la future expédition du pays sur Mars.
Première étape, lors de la phase de préparation technologique, la Chine enverra des robots sur Mars pour des tâches telles que le retour d'échantillons, la surveillance de sites possibles pour la future base et la construction de systèmes permettant d'utiliser les ressources sur place.

Selon Xu Hongliang, porte-parole de l'administration spatiale nationale chinoise, une mission aller-retour sans équipage destinée à collecter des échantillons sur Mars devrait avoir lieu vers 2030.

Pour que l'homme puisse habiter sur Mars, les équipages devront être capables d'utiliser les ressources de la planète, par exemple en extrayant l'eau qui se trouve sous sa surface, en produisant de l'oxygène sur place et en produisant de l'électricité.

Dans un deuxième temps, des missions avec équipage seront lancées et une base martienne sera construite. Les lancements de missions avec équipage vers Mars sont prévus pour 2033, 2035, 2037, 2041 et au-delà, selon Wang.
La troisième étape du plan prévoit des flottes de vaisseaux spatiaux faisant la navette entre la Terre et Mars et le développement à grande échelle de la planète rouge.

Le propulseur nucléaire est une option importante pour les missions d'exploration habitée de Mars, selon M. Wang.
Parallèlement, la Chine étudie également "Sky Ladder", un nouveau système de transport spatial pour les missions martiennes, a déclaré Wang, sans plus de précisions.

Au cours de la phase initiale des missions habitées vers Mars, le système de transport comprendra plusieurs véhicules tels que des fusées porteuses, des fusées navettes Terre-Mars, des véhicules d'atterrissage et d'ascension vers Mars. Différents types de vaisseaux spatiaux porteurs seront utilisés à différentes étapes des missions.


On va deja aller sur la lune dans un premier temps ! Chaque chose en son temps , une chose est cependant certaine les cerveaux cogitent a fond dans le domaine du spatial en Chine , tout comme chez leurs homologues aux Etats Unis !
C’est ambitieux. Je ne crois pas trop à 2033, mais ça montre bien la volonté de la Chine de prendre le leadership dans la conquête spatiale. Et surtout j’ai l’impression qu’on verra le premier pas humain sur mars de notre vivant, alors que je pensais que c’était presque impossible il y a quelques années.
 
C’est ambitieux. Je ne crois pas trop à 2033, mais ça montre bien la volonté de la Chine de prendre le leadership dans la conquête spatiale. Et surtout j’ai l’impression qu’on verra le premier pas humain sur mars de notre vivant, alors que je pensais que c’était presque impossible il y a quelques années.

C'est pas ELon Musk qui prevoyait d'envoyer quelqu'un sur Mars en 2022?
 
C’est ambitieux. Je ne crois pas trop à 2033, mais ça montre bien la volonté de la Chine de prendre le leadership dans la conquête spatiale. Et surtout j’ai l’impression qu’on verra le premier pas humain sur mars de notre vivant, alors que je pensais que c’était presque impossible il y a quelques années.
Parles pour toi ! :(
 
Devant la maison où je vis en Arabie Saoudite, c'est un Mars, des pierres et des grains de sable rouges. Pas une seule plante. Si, des plantes sans racines qui roulent au vent. Il fait chaud à midi et froid à minuit!
Si vous dites que ce n’est pas encore Mars, qu’est-ce qui resterait Mars? :grin: :dead: