Mars, et ça repart...

Mieux encore, mettez un oiseau ou un serpent dans la station spatiale pendant 6 mois et on verra ce que ca donne.
😀
Moi, je propose qu’on t’envoie en orbite autour de Mars pendant 10 ans.
L'interêt scientifique sera limité (pour ne pas dire nul), mais au moins pendant ce temps tu ne publieras pas de conneries sur BonjourChine.
 
Moi, je propose qu’on t’envoie en orbite autour de Mars pendant 10 ans.
L'interêt scientifique sera limité (pour ne pas dire nul), mais au moins pendant ce temps tu ne publieras pas de conneries sur BonjourChine.
Mon ami, tu es déçu, Il y a du wifi la-bas, sinon on ne peut pas atterrir sur Mars.
😁😁
 
C'est pas assez cruel. Moi je propose plutot qu'on l'envoi a Strasbourg pendant 10 ans. Ca va le calmer :grin:
Ça lui serait certainement très utile et il apprendrait beaucoup de choses, mais c'est trop cruel pour les Strasbourgeois.
 
La Chine lancera la prochaine sonde lunaire vers 2024

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29 septembre 2023

La prochaine sonde lunaire chinoise Chang'e-6 sera lancée vers 2024 comme prévu, avec des tâches de développement connexes actuellement en cours, a déclaré vendredi l'Administration nationale de l'espace de Chine (CNSA).

Communique : Selon le programme d'exploration lunaire du pays, la mission Chang'e-6 collectera des échantillons de la face cachée de la Lune. Elle a pour objectif d'atterrir dans le bassin du pôle Sud-Aitken sur la face cachée afin d'explorer et de collecter des échantillons lunaires de différentes régions et de différents âges.

Pour soutenir les communications entre la face cachée de la Lune et la Terre, la Chine prévoit de lancer son nouveau satellite relais Queqiao-2, ou Magpie Bridge-2, au cours du premier semestre 2024, a indiqué la CNSA.

La sonde lunaire Chang'e-6 transportera des charges utiles provenant de France, d'Italie, du Pakistan et de l'Agence spatiale européenne, notamment un détecteur d'ions négatifs et un détecteur de gaz radon.


 
Dernière édition:
:grin:
Les plans de la Chine concernant l'échantillonnage de la face arrière de la Lune et les alunissages habités semblent solides et suivent le plan étape par étape. Il semble que la Chine et la Russie vont coopérer pour construire ensemble un laboratoire lunaire, et à l'intérieur de ce laboratoire, il y aura quelqu'un pour le poursuivre pendant longtemps, ce qui est très excitant. 😁😀
 
La Chine invite la communauté internationale à collaborer à la mission de la sonde lunaire Chang'e-8

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3 octobre 2023

L'Administration nationale de l'espace de la Chine (CNSA) offre des opportunités de coopération internationale sur les charges utiles qui seront intégrées à la mission d'exploration lunaire Chang'e-8, dont le lancement est prévu vers 2028.

Communique : La mission Chang'e-8 est ouverte à tous les pays et organisations internationales pour une collaboration au niveau de la mission, du système ou de la machine unique afin d'encourager davantage de découvertes originales majeures, selon un communiqué de la CNSA publié lundi.

La CNSA a également annoncé l'appel d'offres lors du Congrès international d'astronautique qui se tient actuellement à Bakou, en Azerbaïdjan.

La mission Chang'e-8, tâche clé de la quatrième étape de la sonde lunaire chinoise, permettra de renforcer la détection et la recherche géologique lunaire, l'observation de la Terre à partir de la Lune, l'analyse d'échantillons lunaires in situ et l'utilisation des ressources, ainsi qu'une petite expérience d'écosystème terrestre fermé sur la surface de la Lune, selon la CNSA.

La préférence sera donnée aux offres de coopération internationale au niveau de la mission impliquant une sonde collaborative et une interaction entre deux engins spatiaux.

Le développement conjoint de robots lunaires capables d'effectuer des opérations de base sur la surface de la lune, d'autres charges utiles scientifiques complémentaires et des projets scientifiques hautement innovants seront également privilégiés.

L'atterrisseur de la sonde Chang'e-8 fournira une charge utile de 200 kg, mais tout module autonome destiné à la collaboration au niveau des systèmes et des machines individuelles doit peser moins de 100 kg.

La date limite de soumission des propositions de coopération internationale pour Chang'e-8 est fixée au 31 décembre 2023. Les sélections préliminaires et finales seront achevées respectivement en avril et en septembre de l'année prochaine, comme prévu.

La sonde Chang'e-8 constituera, avec la sonde Chang'e-7, le modèle de base d'une station de recherche lunaire. La sonde Chang'e-7 devrait être envoyée dans l'espace vers 2026 afin de procéder à l'exploration des ressources du pôle sud de la Lune.

La Chine enverra quant à elle la sonde Chang'e-6 sur la Lune vers 2024 pour collecter des échantillons de sa face cachée, comme prévu. Elle transportera des charges utiles provenant de France, d'Italie, du Pakistan et de l'Agence spatiale européenne, notamment un détecteur d'ions négatifs et un détecteur de gaz radon.

La mission Chang'e-5, lancée en 2020, était la dernière mission du pays sur la Lune. Sa sonde a récupéré un total de 1 731 grammes de sol lunaire sur la face cachée.

Lors de son congrès actuel à Bakou, l'Académie internationale d'astronautique a décerné les lauriers 2023 à l'équipe Chang'e-5. Le concepteur en chef de l'équipe, Hu Hao, a annoncé que les échantillons de sol lunaire seraient bientôt ouverts à des applications internationales dans le cadre d'enquêtes .


 
😁😀, Le lancement pourrait avoir lieu dans 2 ou 3 jours.
C’est ce que l’humanité devrait lancer, et non lancer des guerres.
 
Shenzhou 17 s'arrime avec succès à la station spatiale.
😁😀
 

SpaceX : les deux étages de son immense fusée Starship ont explosé

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18 novembre 2023

La fusée géante de 120 mètres de haut s'est arrachée du sol ce samedi dans l'extrême sud du Texas, aux Etats-Unis. Après avoir réussi leur séparation, les deux étages de l'engin ont explosé. Or, ce deuxième vol d'essai de Starship était très scruté par la Nasa, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune, dans le cadre de sa mission Artemis 3 programmée en 2025.

Communique : Coup dur pour la Nasa et SpaceX, l'entreprise spatiale du milliardaire Elon Musk. Les deux étages de son immense fusée Starship ont explosé peu après leur séparation réussie ce samedi, a annoncé l'entreprise dans le flux vidéo en direct du deuxième lancement test de cette fusée, la plus puissante jamais construite. Or, ce deuxième vol d'essai était très scruté par l'agence spatiale américaine, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune.

L'étage de propulsion Super Heavy et ses 33 moteurs, et le vaisseau Starship, placé au-dessus et qui donne son nom à la fusée entière, ont connu un « désassemblage rapide non-planifié » selon les termes de l'entreprise. « Ce que nous estimons pour le moment, c'est que le système automatique de terminaison de vol sur le second étage semble s'être déclenché très tard dans la poussée », a expliqué une commentatrice sur le flux vidéo.

Pour Laura Seward Forczyk, analyste du secteur spatial, « ce fut un succès partiel fantastique ». Ce lancement a « dépassé mes attentes », explique-t-elle auprès de l'AFP. La fusée géante de 120 mètres de haut s'était arrachée du sol peu après 07H00 locales (13H00 GMT) depuis la base de SpaceX à Boca Chica, dans l'extrême sud du Texas, aux Etats-Unis.

Premier vol soldé par une gigantesque explosion

Le premier vol test de Starship s'était terminé au printemps en une gigantesque explosion avant la séparation des deux étages. Le 20 avril, la fusée avait décollé pour la première fois dans sa configuration complète. Mais plusieurs moteurs n'avaient pas fonctionné, et SpaceX avait volontairement fait exploser la fusée au bout de quatre minutes.

Le décollage avait propulsé un nuage de poussière jusqu'à plusieurs kilomètres du pas de tir, lui-même fortement endommagé. Des morceaux de béton avaient été catapultés sous la puissance des moteurs, et un incendie s'était déclenché dans un parc régional voisin. Le régulateur aérien américain (FAA) avait ouvert une enquête, avant de finalement donner son feu vert mercredi pour un deuxième vol.

Si le système de séparation avait été changé pour ce deuxième essai, le plan de vol était, lui, resté le même qu'en avril dernier : le vaisseau devait faire un tour « presque complet de la Terre » et amerrir dans le Pacifique, au large des côtes d'Hawaï, avait décrit le milliardaire. Il ne devait pas atteindre techniquement l'orbite terrestre, mais se situer « juste en-dessous ».

Le retour sur la Lune en 2025, de plus en plus irréaliste

Pour l'entreprise, l'explosion de prototypes est moins problématique en matière d'image qu'elle le serait pour la Nasa et ses fonds publics, selon les experts. Enchaîner les tests selon un processus d'itération rapide lui permet ainsi d'accélérer le développement de ses engins.

Mais le développement de Starship ne semble malgré tout pas assez rapide pour coller aux plans de l'agence spatiale américaine, qui a passé contrat avec SpaceX. Une version modifiée de l'engin doit servir d'alunisseur afin de déposer, pour la première fois depuis 1972, des astronautes sur la surface lunaire. Cette mission, nommée Artémis 3, est officiellement prévue en 2025. Une date qui semble de fait de plus en plus irréaliste.

Au-delà de ce nouvel imprévu pour la reconquête de la Lune, des associations s'inquiètent de l'impact environnemental de cette initiative. Plusieurs d'entre elles poursuivent ainsi la FAA en justice, accusée d'avoir mal évalué l'impact environnemental de la nouvelle fusée. « Nous craignons que ce deuxième lancement crée une fois de plus des dommages environnementaux importants », a déclaré à l'AFP Jared Margolis, avocat pour l'ONG Center for Biological Diversity.

SpaceX choisi par l'Europe pour lancer quatre satellites en 2024

Selon le Wall Street Journal, SpaceX a signé, fin octobre, un accord pour lancer en orbite jusqu'à quatre des principaux satellites européens de navigation et de communication sécurisée. Selon cet accord, qui doit encore être validé par les institutions européennes, les satellites seront lancés par la fusée Falcon 9 de SpaceX depuis les États-Unis.

L'agence spatiale européenne (ESA) fait face à une véritable crise de lanceurs spatiaux, pourtant essentiels pour déployer des satellites. Elle ne peut plus lancer depuis février 2022 la fusée russe Soyouz depuis Kourou en Guyane en raison de la guerre en Ukraine, Ariane 5 a fini sa carrière en juillet et le premier vol de sa successeuse Ariane 6 est désormais prévu en 2024, les essais ayant pris du retard.

Avec AFP


:(
 
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SpaceX : les deux étages de son immense fusée Starship ont explosé

18 novembre 2023

La fusée géante de 120 mètres de haut s'est arrachée du sol ce samedi dans l'extrême sud du Texas, aux Etats-Unis. Après avoir réussi leur séparation, les deux étages de l'engin ont explosé. Or, ce deuxième vol d'essai de Starship était très scruté par la Nasa, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune, dans le cadre de sa mission Artemis 3 programmée en 2025.

Communique : Coup dur pour la Nasa et SpaceX, l'entreprise spatiale du milliardaire Elon Musk. Les deux étages de son immense fusée Starship ont explosé peu après leur séparation réussie ce samedi, a annoncé l'entreprise dans le flux vidéo en direct du deuxième lancement test de cette fusée, la plus puissante jamais construite. Or, ce deuxième vol d'essai était très scruté par l'agence spatiale américaine, qui compte sur ce vaisseau pour ses missions de retour sur la Lune.

L'étage de propulsion Super Heavy et ses 33 moteurs, et le vaisseau Starship, placé au-dessus et qui donne son nom à la fusée entière, ont connu un « désassemblage rapide non-planifié » selon les termes de l'entreprise. « Ce que nous estimons pour le moment, c'est que le système automatique de terminaison de vol sur le second étage semble s'être déclenché très tard dans la poussée », a expliqué une commentatrice sur le flux vidéo.

Pour Laura Seward Forczyk, analyste du secteur spatial, « ce fut un succès partiel fantastique ». Ce lancement a « dépassé mes attentes », explique-t-elle auprès de l'AFP. La fusée géante de 120 mètres de haut s'était arrachée du sol peu après 07H00 locales (13H00 GMT) depuis la base de SpaceX à Boca Chica, dans l'extrême sud du Texas, aux Etats-Unis.

Premier vol soldé par une gigantesque explosion

Le premier vol test de Starship s'était terminé au printemps en une gigantesque explosion avant la séparation des deux étages. Le 20 avril, la fusée avait décollé pour la première fois dans sa configuration complète. Mais plusieurs moteurs n'avaient pas fonctionné, et SpaceX avait volontairement fait exploser la fusée au bout de quatre minutes.

Le décollage avait propulsé un nuage de poussière jusqu'à plusieurs kilomètres du pas de tir, lui-même fortement endommagé. Des morceaux de béton avaient été catapultés sous la puissance des moteurs, et un incendie s'était déclenché dans un parc régional voisin. Le régulateur aérien américain (FAA) avait ouvert une enquête, avant de finalement donner son feu vert mercredi pour un deuxième vol.

Si le système de séparation avait été changé pour ce deuxième essai, le plan de vol était, lui, resté le même qu'en avril dernier : le vaisseau devait faire un tour « presque complet de la Terre » et amerrir dans le Pacifique, au large des côtes d'Hawaï, avait décrit le milliardaire. Il ne devait pas atteindre techniquement l'orbite terrestre, mais se situer « juste en-dessous ».

Le retour sur la Lune en 2025, de plus en plus irréaliste

Pour l'entreprise, l'explosion de prototypes est moins problématique en matière d'image qu'elle le serait pour la Nasa et ses fonds publics, selon les experts. Enchaîner les tests selon un processus d'itération rapide lui permet ainsi d'accélérer le développement de ses engins.

Mais le développement de Starship ne semble malgré tout pas assez rapide pour coller aux plans de l'agence spatiale américaine, qui a passé contrat avec SpaceX. Une version modifiée de l'engin doit servir d'alunisseur afin de déposer, pour la première fois depuis 1972, des astronautes sur la surface lunaire. Cette mission, nommée Artémis 3, est officiellement prévue en 2025. Une date qui semble de fait de plus en plus irréaliste.

Au-delà de ce nouvel imprévu pour la reconquête de la Lune, des associations s'inquiètent de l'impact environnemental de cette initiative. Plusieurs d'entre elles poursuivent ainsi la FAA en justice, accusée d'avoir mal évalué l'impact environnemental de la nouvelle fusée. « Nous craignons que ce deuxième lancement crée une fois de plus des dommages environnementaux importants », a déclaré à l'AFP Jared Margolis, avocat pour l'ONG Center for Biological Diversity.

SpaceX choisi par l'Europe pour lancer quatre satellites en 2024

Selon le Wall Street Journal, SpaceX a signé, fin octobre, un accord pour lancer en orbite jusqu'à quatre des principaux satellites européens de navigation et de communication sécurisée. Selon cet accord, qui doit encore être validé par les institutions européennes, les satellites seront lancés par la fusée Falcon 9 de SpaceX depuis les États-Unis.

L'agence spatiale européenne (ESA) fait face à une véritable crise de lanceurs spatiaux, pourtant essentiels pour déployer des satellites. Elle ne peut plus lancer depuis février 2022 la fusée russe Soyouz depuis Kourou en Guyane en raison de la guerre en Ukraine, Ariane 5 a fini sa carrière en juillet et le premier vol de sa successeuse Ariane 6 est désormais prévu en 2024, les essais ayant pris du retard.

Avec AFP


:(
Une poussée au décollage , équivalent à 170 réacteurs GE90 (equipement 777) :robot::robot::robot::robot:
 
Le Starship a progressé de 100 km lors de ce test par rapport à la dernière fois, mais d'après mes connaissances limitées, la distance entre la lune et la terre est de 300 000 km, 300 000/100=3000. Cela signifie-t-il que le Starship doit effectuer 3 000 de ces tests avant de pouvoir s'envoler vers la lune ?
:eek:
En supposant 2 essais en vol par an, cela prendrait-il 3000/2 = 1500 ans ? :grin:
 
Le Starship a progressé de 100 km lors de ce test par rapport à la dernière fois, mais d'après mes connaissances limitées, la distance entre la lune et la terre est de 300 000 km, 300 000/100=3000. Cela signifie-t-il que le Starship doit effectuer 3 000 de ces tests avant de pouvoir s'envoler vers la lune ?
:eek:
En supposant 2 essais en vol par an, cela prendrait-il 3000/2 = 1500 ans ? :grin:
Avant critiquer et de denigrer les projets scientifiques occidentaux comme a ton habitude , il faudrait commencer par mettre au point un lanceur lourd , bien que la Chine envisage desormais la course a la Lune a l'aide de 2 lanceurs mi-lourd extrapoles des lanceurs actuels , lanceurs qui decolleronts simultanement pour remplir la mission ... Encore un fois , concentre toi et informe nous sur tes recettes de poulets en sauces et autres brochettes de moutons , c'est preferable ...


La Chine étudie depuis les années 2010 le développement de Longue Marche 9 (CZ-9), un lanceur capable de placer 130 tonnes en orbite basse. Ce lanceur est associé à un projet de programme lunaire avec équipage. Toutefois l'échec du deuxième vol du lanceur Longue Marche 5 semble avoir entrainé un report du projet reposant sur le CZ-9. Un lanceur de capacité intermédiaire (70 tonnes) serait en développement et permettrait d'atteindre les mêmes objectifs en mettant en place une station spatiale lunaire à l'image de ce qui est envisagé pour le programme Artemis de la NASA.

Dans une première phase du programme une mission lunaire comprendrait deux lancements : le premier emportant le module lunaire, le second le vaisseau spatial habité chinois de nouvelle génération avec l'équipage.
Les deux modules s'amarrerait en orbite lunaire haute puis l'orbite serait abaissée pour permettre l'atterrissage sur la Lune. Le module lunaire pourrait embarquer un équipage de deux personnes et serait composé d'un étage de descente largué juste avant l'atterrissage et d'un module pressurisé de 5 tonnes (disposant d'un delta-V de 2640 m/s) contenant l'équipage qui serait chargé après une brève exploration de ramener en orbite les deux astronautes et de réaliser un rendez vous avec le vaisseau principal pour le transfert de l'équipage. La deuxième mission utiliserait un module lunaire disposant d'une capacité d'emport fortement accrue et s'appuierait sur une station spatiale en orbite autour de la Lune .

 
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