Monter un bar à Shanghai
- Auteur de la discussion julo75
- Date de début
Oui un cabaret rétro .
Genre une copie du moulin rouge adapté au mode de consommation des chinois.
Avec Maelroy et moi en chippendales.
Et des striptease.
Et un peu de prestidigitations
Et encore des striptease
Puis des VIP room pour discuter avec les chippendales et les stripteaseuses.
De la bière frelatée, du thé au whisky .....
Des après-midi dédiées aux épouses taitai
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Genre une copie du moulin rouge adapté au mode de consommation des chinois.
Avec Maelroy et moi en chippendales.
Et des striptease.
Et un peu de prestidigitations
Et encore des striptease
Puis des VIP room pour discuter avec les chippendales et les stripteaseuses.
De la bière frelatée, du thé au whisky .....
Des après-midi dédiées aux épouses taitai
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Tu me fait rever!
ça me fait penser à l'histoire de ce mec qui roule en Porsche dans Shanghai Blues http://www.bonjourchine.com/threads/shanghai-blues-nouveau-monde.98203/
Après tout ce qui a été écrit, et quand je vois que des chinois dans des villes de "seconde zone" ont du mal à s'en tirer avec un MaLaTang shop...
Le truc ici c'est pas de se lancer dans un shop ou troquet, mais dans la déco de ces mêmes shops ou troquets
Là est la clé du succès (en plus les marges sont meilleures, tu peux dormir la nuit et t'es pas emm~~dé avec les licences et Cie) ... ou plus sérieusement laisser le chinois monter l'affaire administrativement et financièrement parlant et se placer un homme de paille derrière le comptoir (faire croire qu'on est le boss, c'est bon pour l'image), en étant rémunéré comme salarié (et en tapant dans la caisse à l'occasion... il se peut que le chinois ne s'en aperçoive pas tout de suite... il sera alors assez tôt de fuir en Mongolie). On a déjà vu ça...
Après tout ce qui a été écrit, et quand je vois que des chinois dans des villes de "seconde zone" ont du mal à s'en tirer avec un MaLaTang shop...
Le truc ici c'est pas de se lancer dans un shop ou troquet, mais dans la déco de ces mêmes shops ou troquets
Là est la clé du succès (en plus les marges sont meilleures, tu peux dormir la nuit et t'es pas emm~~dé avec les licences et Cie) ... ou plus sérieusement laisser le chinois monter l'affaire administrativement et financièrement parlant et se placer un homme de paille derrière le comptoir (faire croire qu'on est le boss, c'est bon pour l'image), en étant rémunéré comme salarié (et en tapant dans la caisse à l'occasion... il se peut que le chinois ne s'en aperçoive pas tout de suite... il sera alors assez tôt de fuir en Mongolie). On a déjà vu ça...