PS2 : je n'ai absolument rien contre toi. (promis!) Ce qui me chagrine, ce sont les contradictions dans ton discours.
;-) mais c'est un plaisir, ces mises en éclairage ce ces contradictions. Sans toi, mes erreurs ne pourraient être corrigées.
En fait, je ne ciblait pas de détracteur, ni en général ni en particulier. Plutôt une posture.
Il semblerait donc que j'ai fauté en laissant entendre que je mettais tout le monde dans le même sac.
D'autant plus qu'il n'y a pas de sac, ou alors un sac ouvert dans lequel n'importe qui va et vient.
Cette posture peut être adoptée un jour et abandonnée le lendemain. Il est probable que je n'y échappe pas non plus, d'autant que je ne me surveille pas.
Pour l'histoire de la Grèce, peu importe les motivations du premier ministre.
Nous avons traité d'aberration le fait qu'il propose un référendum sur un point qui le mérite largement.
Et ça, c'est bien nous, par nos élus.
Et le fait que, comme tout le monde ou presque, tu ais l'explication du pourquoi du comment (stratagème etc.) illustre bien une partie de mes propos. Puisque nous comprenons les raisons pour laquelle le ministre Grec n'était pas sincère (on nous a expliqué le contexte politique, une opposition rétive etc...), nous trouvons normal qu'un appel à la démocratie soit traité d'aberration en notre nom.
Note au passage que ces explications supposent que quelqu'un est capable de se prononcer sur la sincérité de Papandréou ! Personne ne se pose la question de savoir comment on fait pour connaître ses intentions.
Comprendre donne l'impression de savoir.