Le développement de DS se fait au détriment de celui de Citroën. Et son orientation vers la voiture "essentielle" est complétement incompréhensible sur son principal marché qu'est la Chine.Comment DS déploie son story-telling en l’absence de vraies nouveautés…
La nouvelle marque du groupe PSA lance un plan marketing ambitieux pour raconter son "histoire"dont les maîtres-mots sont: innovation et raffinement. Les rues de Paris et des intérieurs cuirs travaillés servent de décor dans le sillage de la vieille DS. Mais, pour le moment, ce discours sophistiqué peine à convaincre les clients…
Extrait : En plein salon de Genève, DS s'affiche en couverture d'un grand quotidien national français. La nouvelle marque du groupe PSA prend date : 60 ans exactement après le lancement de la première DS. Et de voir sur cette couverture ambitieuse, les phares de la DS... De la DS de 1968 !
Petit arrangement avec son passé, rien de bien méchant. Anecdotique par rapport aux enjeux d'aujourd'hui. La filiale de PSA s'est lancée dans un story-telling de son histoire récente, ou en bon français, elle raconte sa marque. Pour cela, elle tricote une histoire en se fondant sur ce modèle qui n'est plus commercialisée depuis 1975... La marque créée il y a moins d'un an espère tisser une image prestigieuse pour se positionner sur un segment premium. Et d'aiguiser un discours autour de "l'ADN" DS dont le point de départ serait cette mythique voiture qui a été celle du Général de Gaulle, et qui est tellement caractéristique du Paris des Trente glorieuses, d'abord au cinéma, ensuite dans l'imaginaire collectif.
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Source : LA TRIBUNE
Allez vendre des voitures pseudo low-cost avec des vitres arrières qui s'entrouvrent vendues 15.000€, alors qu'un Duster est moins cher et plus pratique. Déjà qu'en Europe c'est pas le carton, alors ailleurs ...