Performances Economiques Françaises à l'etranger - Aeronautique - Industries - Luxe - Strategies

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Les start-up françaises à l'assaut de la Chine

Pépite du jeu vidéo
Parmi les « pépites » françaises qui participent au salon, la société Virtuos expose son savoir-faire. Cette entreprise créée il y a 12 ans à Shanghaï par un Français, Gilles Langoureux, travaille en sous-traitance pour l’industrie du jeu vidéo, notamment dans le domaine de la réalité virtuelle. Elle compte aujourd’hui plus d’un millier d’employés en Chine et au Vietnam ainsi qu’un bureau à Paris ce qui en fait une belle réussite française en Chine.

http://www.franceinfo.fr/emission/n...ncaises-l-assaut-de-la-chine-13-05-2016-07-20
 
Le coq rouge chante haut et fort au Consumer Electronic Show (CES) Asia, qui se tient à Shanghaï jusqu’au 13 mai. La French Tech y tient un stand et ouvre officiellement sa nouvelle antenne.

"La French Tech Shanghaï, c’est parti ! Mercredi 11 mai, au matin, le consul général de France, Axel Cruau, a inauguré avec Gary Shapiro, le fondateur américain du Consumer Electronic Show (CES), le pavillon French Tech sur le salon du CES… Un stand global qui regroupe 17 start-up (ou scale-up) françaises, basées en Chine. « Cet événement a été monté de façon bénévole par le groupe French Tech, en très peu de temps et c’est une belle prise de risque, dit Axel Cruau. Et cela montre la force de notre écosystème dans les nouvelles technologies. » Parmi les petites start-up prometteuses présentes sur le stand au Coq rouge, il y a Heatzy, fondée il y a quatre mois par Nicolas Bonsignore : « Nous avons créé un boitier qui se connecte sur les radiateurs électriques, neufs ou anciens, et permet de les contrôler à distance via son smartphone, explique le dirigeant. Nous commercialisons en même temps deux produits, un peu différents, sur les marchés français et chinois. Le fait d’être sur ce stand me permet de donner plus de visibilité à ce lancement. »
Dans la catégorie poids lourd de la French Tech, représenté ici, il y a Virtuos : géant vidéo qui compte plus de mille salariés, entre la Chine, le Vietnam et la France pour les studios d’animation… « C’est la première fois que la French Tech se réunit pour montrer ce que l’on est capable de faire en termes de technologies », dit Gilles Langourieux, pdg de Virtuos
...."

http://www.strategies.fr/actualites/marques/1040084W/la-french-tech-essaime-a-shanghai.html

EDIT POUR LES MODOS:
oops, je m'aperçois que @Pandix avait déjà posté sur le sujet sur le thread "PErformances Economiques..." (https://www.bonjourchine.com/thread...es-luxe-strategies.116250/page-25#post-646049), mais je n'arrive pas à supprimer mon sujet ou le transférer sur cet autre thread
 
Michelin : au bonheur des actionnaires... et de son patron

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L'assemblée générale des actionnaires du groupe Michelin, qui se tenait vendredi matin à Clermont-Ferrand, a réuni environ 1 500 participants autour du président de la manufacture, Jean-Dominique Senard. Grâce à des résultats 2015 "historiques", le PDG a vu sa rémunération annuelle bondir de 28 %, à 2,384 millions d'euros.


Extrait : Le patron du numéro un mondial du pneumatique avait le sourire ce vendredi matin, pour l'exercice traditionnel de l'AG annuelle des actionnaires du groupe. Jean-Dominique Senard est d'abord revenu sur les résultats historiquement élevés de 2015, soit 21,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires, en hausse de 12,8 % par rapport à 2014.

Et 2016 s'annonce déjà sous de bons auspices :

"Les perspectives de croissance sont positives, souligne le gérant de Bibendum. Pour 2016, nous avons prévu de croître plus vite que le marché. Les résultats du premier trimestre nous y encouragent", a-t-il commenté.

Dans ce contexte euphorique, les dividendes pour chaque action ont été de 2,85 euros en 2015.

"Si un actionnaire a acquis pour 100 euros d'actions Michelin en 2010, il a aujourd'hui 193 euros dans son portefeuille. C'est une belle croissance !", a souligné Marc Henry, directeur financier du groupe, qui a parallèlement annoncé 750 millions d'euros de rachat d'actions d'ici la fin 2016.

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Source : LA TRIBUNE
 
Distribution : pourquoi Tati mise sur le Moyen-Orient

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Presque treize ans après son dépôt de bilan, la marque française à bas prix, rachetée en 2004, est parvenue à s'imposer à l'international. Dans les trois ans à venir, Tati s'est fixé un objectif de 25 magasins au Moyen-Orient.

Extrait : L'enseigne du boulevard Barbès et ex-figure du commerce parisien fondée en 1948, poursuit ses ambitions internationales. Après l'ouverture de magasins franchisés en Arabie saoudite et aux Emirats Arabes Unis en 2014, Tati cherche, lui aussi, à s'imposer sur le très prometteur marché iranien. Début mai, la marque "vichy rose et blanc" a ouvert son premier magasin dans le grand centre commercial Le Palladium à Téhéran, dans le quartier chic de Zaferanieh. Deux semaines plus tard, Pierre Havransart, responsable du développement à l'international de l'enseigne de distribution française, ne cache pas sa satisfaction. Téhéran talonne la boutique d'Alger qui réalise les meilleures ventes de l'enseigne, soit 20% de plus que la moyenne des 150 magasins français.

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Source : LA TRIBUNE
 
Technip fusionne avec FMC et déménage à Londres

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Baptisée TechnipFMC, cette nouvelle entreprise à la capitalisation boursière de 13 milliards de dollars conservera comme "sièges opérationnels" Paris et Houston. La fusion entre les deux entreprises devrait être finalisée début 2017. Elle créera des synergies de l'ordre de 400 millions de dollars par an en année pleine.

Extrait : Technip, entreprise du CAC 40, va fusionner avec l'américain FMC Technologies pour former un géant mondial de l'industrie du pétrole et du gaz et déménager par la même occasion à Londres. Baptisée TechnipFMC, elle sera "domiciliée" dans la ville où se trouve déjà siège de leur co-entreprise actuelle Forsys Subsea, tout en restant cotée à New York et à Paris, indique un communiqué diffusé jeudi.

Selon ce projet, qui fait l'objet d'un protocole d'accord, les actionnaires de Technip recevront deux actions de la nouvelle société pour chaque action Technip détenue, tandis que les actionnaires de FMC Technologies recevront une action pour chaque action détenue. Les actionnaires des deux sociétés détiendront respectivement environ 50% du capital de la nouvelle entité, ont précisé les groupes.

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Source : LA TRIBUNE

Bravo Francois ! :bravo:
 
Louis Gallois : « L'Industrie du futur est l'occasion de revenir dans la course »

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Coprésident de La Fabrique de l'industrie, avec Denis Ranque, Louis Gallois nous a reçus dans son bureau chez PSA-Peugeot Citroën, dont il préside le conseil de surveillance. Son diagnostic : l'industrie du futur est un enjeu autant culturel que technologique. Et pose la question de la place de l'homme et du travail à l'ère de l'économie numérique.


LA TRIBUNE - L'industrie du futur est un sujet à la mode : devient-elle une réalité pour les entreprises françaises ?

LOUIS GALLOIS - Elles n'ont pas le choix, car elles sont au pied du mur. Si elles veulent récupérer le terrain perdu après plusieurs années de sous-investissement, les entreprises françaises doivent à tout prix moderniser, et en particulier numériser leur appareil productif. La question ne se pose pas tellement pour les entreprises du CAC 40 et les ETI qui ont su s'armer pour conquérir des marchés à l'export. En revanche, ce chantier doit être une priorité pour les TPE et les PME, qui accusent un retard certain. Grâce à la numérisation, les petites et moyennes entreprises industrielles ont une chance, peut-être unique, de se mettre à niveau sur le plan technologique. D'une certaine façon, on peut dire que l'industrie du futur est une occasion de rebattre les cartes et de revenir dans la course, à condition, bien sûr, d'investir.

Même si les TPE et les PME allemandes ont un temps d'avance sur nous dans ce domaine, l'ouvrage Industrie 4.0 de Dorothée Kohler et Jean-Daniel Weisz, coédité par la Fabrique de l'industrie et BPI France, indique qu'il existe également outre-Rhin des freins, notamment psychologiques, qui entravent la modernisation et la numérisation de l'industrie. C'est à cela qu'il faut s'attaquer.

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Source : LA TRIBUNE
 
Airbus Helicopters obtient un très beau succès en Grande-Bretagne

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Airbus Helicopters s'impose sur les terres de son rival Leonardo Helicopters en obtenant un contrat sur la formation des pilotes d'hélicoptères des forces armées britanniques. Un contrat estimé à 650 millions d'euros.

Extrait : Très bonne nouvelle pour Airbus Helicopters qui a été sélectionné par le consortium Ascent (Lockheed Martin et Babcok) comme fournisseur de services aéronautiques dans le cadre du Système de formation des pilotes militaires du Royaume-Uni, UK Military Flying Training System (UKMFTS). Une victoire obtenue sur les terres de son rival Leonardo Helicopters (ex-AgustaWestland). "Ce choix renforce la relation stratégique que nous entretenons avec le Royaume-Uni et le gouvernement britannique", a estimé le PDG d'Airbus Helicopters, Guillaume Faury.

Selon les termes du contrat évalué à 500 millions de livres sterling (650 millions d'euros) sur 17 ans, le constructeur européen livrera une trentaine d'hélicoptères (29 H135 et 3 H145 fabriqués en Allemagne) et une solution de soutien intégrée pendant une période de 18 mois. "Nos forces armées vont bénéficier d'un système de formation complet et de premier ordre, a estimé le ministre de la Défense britannique en charge des acquisitions de défense, Philip Dunne, qui a passé un contrat de 1,1 milliard de livres à Ascent pour la formation de ses pilotes. Ce contrat permettra de sauvegarder 220 emplois sur le site de Shawbury de la Royal Air Force (RAF).

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Source : LA TRIBUNE
 
Distribution : pourquoi Tati mise sur le Moyen-Orient


Presque treize ans après son dépôt de bilan, la marque française à bas prix, rachetée en 2004, est parvenue à s'imposer à l'international. Dans les trois ans à venir, Tati s'est fixé un objectif de 25 magasins au Moyen-Orient.

Extrait : L'enseigne du boulevard Barbès et ex-figure du commerce parisien fondée en 1948, poursuit ses ambitions internationales. Après l'ouverture de magasins franchisés en Arabie saoudite et aux Emirats Arabes Unis en 2014, Tati cherche, lui aussi, à s'imposer sur le très prometteur marché iranien. Début mai, la marque "vichy rose et blanc" a ouvert son premier magasin dans le grand centre commercial Le Palladium à Téhéran, dans le quartier chic de Zaferanieh. Deux semaines plus tard, Pierre Havransart, responsable du développement à l'international de l'enseigne de distribution française, ne cache pas sa satisfaction. Téhéran talonne la boutique d'Alger qui réalise les meilleures ventes de l'enseigne, soit 20% de plus que la moyenne des 150 magasins français.

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Source : LA TRIBUNE

sachant que c est une diversification et une internationalisation mal maitrisées du groupe qui avaient coulé l'enseigne ( Tati sur la 5 eme avenue par exemple), c 'est vraiment un grand revival !
 
Kership (DCNS/Piriou) rachète le site de STX Lorient

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STX France a choisi Kership, co-entreprise entre le chantier naval breton Piriou et DCNS, pour la reprise du chantier STX de Lanester (Morbihan), STX France Lorient.


Extrait : Le groupe de chantiers navals STX France a annoncé vendredi dans un communiqué qu'il avait choisi Kership, co-entreprise entre le chantier naval breton Piriou et DCNS, pour la reprise du chantier STX de Lanester (Morbihan), STX France Lorient. Cette annonce intervient alors que dans un communiqué commun reçu mercredi, Kership et Constructions mécaniques de Normandie (CMN), tous deux candidats à la reprise de ce chantier, avaient annoncé avoir convenu "un accord d'utilisation partagée des capacités industrielles du site du Rohu", quel que soit son futur propriétaire.

"Chacune des propositions présentait tout d'abord de bonnes garanties pour les salariés ainsi que l'assurance du maintien de (la, ndlr) capacité industrielle, point essentiel pour l'ensemble de la filière navale française", souligne STX France. "La direction de STX France après examen attentif des deux offres a décidé de poursuivre les discussions avec le seul candidat Kership en vue de conclure la vente au cours de l'automne prochain".

"Je suis extrêmement heureux de cette décision", réagit dans un communiqué Patrick de Leffe, président de Kership, filiale à 55% du chantier Piriou situé à Concarneau (Finistère) et à 45% de DCNS. Les deux entreprises se félicitent elles-aussi de l'opération, DCNS estimant notamment qu'elle "renforce la consolidation de la filière navale française".

"Toutes ces collaborations vont apporter à Kership Lorient une charge conséquente et diversifiée, à court et moyen terme, en augurant de meilleures coopérations sur les marchés export entre les chantiers français", a estimé Patrick de Leffe.

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Source : LA TRIBUNE
 
Hélicéo lève 1,5 million d'euros... et s'envole pour l'export

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Spécialisée dans la fabrication de drones civils professionnels dans le domaine de la géomatique, Hélicéo finalise une levée de fonds de 1,5 million d'euros. Deux ans après sa création, la société nantaise envisage déjà un nouveau recours aux fonds d'investissement en vue de monter une filiale et une unité de production aux Etats-Unis.

Extrait : "C'est un marché où tout va très vite, et où les plus rapides mangent les plus lents...", résume Jean-François Baudet, fondateur et dirigeant d'Hélicéo, startup nantaise née il a tout juste deux ans, qui achève une levée de fonds de 1,5 million d'euros, menée auprès des fonds Sequoïa, Feed et de la région des Pays de la Loire pour étoffer l'équipe de R et D et lancer son développement à l'international.

"Dans un 1er temps, nous avons fait le double choix de nous concentrer sur le marché de la géomatique et de construire nos propres solutions métiers pour proposer une offre 100% adaptée et clés en main. », explique le PDG Hélicéo.

"On doit, maintenant, renforcer notre communication, donner plus d'emphase au business pour aller clairement à l'international", affirme-t-il.

En d'autres termes creuser son sillon et donner plus de relief aux innovations nées à la périphérie nantaise.

Des drones par tous les temps
C'est là, dans les locaux du Hub Creatic, incubateur, pépinière et hôtel d'entreprises fondé par Nantes Métropole en 2014, qu'Hélicéo a déployé ses ailes et donné naissance à des drones multirotors (Fox4 et Fox 6), de minis-avions (Foxy slim et Foxy pro) capables de décoller à la verticale et surtout du concept inédit de la Dronebox, en mesure d'être embarquée sur l'un ou l'autre des appareils, et du logiciel Hask destiné à accroître la précision des GPS. Bref, un ensemble d'outils nécessaires au positionnement, à la photogrammétrie et à la modélisation 3D requises par les géomètres et topographes.

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Source : LA TRIBUNE
 
Seb achète l'allemand WMF pour 1,6 milliard d'euros

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Avec le rachat de WMF, spécialiste des ustensiles de cuisine et des machines à café professionnelles, le groupe français réalise l'acquisition la plus importante de son histoire.

Extrait : Le groupe français d'électroménager domestique Seb a annoncé lundi l'acquisition du fabricant allemand de machines à café et d'ustensiles de cuisine WMF, pour un montant de près de 1,6 milliard d'euros.

L'accord conclu avec le fonds américain KKR, propriétaire du groupe WMF, est de 1,585 milliard d'euros, dont un prix payé de 1,02 milliard et "une reprise de dettes financières nettes à hauteur de 565 millions" à fin 2015.

L'opération, encore soumise à l'approbation des autorités de la concurrence des deux pays, "sera financée par dette" et entraînera une hausse de plus de 20% du bénéfice net par action de Seb "dès la première année pleine". En outre, le groupe français table sur "des synergies importantes" avec une réduction de ses coûts de l'ordre d'"une quarantaine de millions d'euros à l'horizon 2020".

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Source : LA TRIBUNE
 
L'innovation ouverte, une démarche exigeante pour l'entreprise

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L’innovation ouverte, connue notamment à travers les "hackaton", apparait comme un dispositif complémentaire indispensable dans la politique d’innovation de l’entreprise. Mais elle obéit à des contraintes bien spécifiques.


Extrait : La révolution numérique dans laquelle nous sommes entrés a conduit les entreprises à élever l'innovation dans l'échelle de leurs priorités. Elle les a aussi convaincues que le succès d'une politique d'innovation ne dépend pas nécessairement d'un nombre de brevets déposés, mais peut être le résultat d'une utilisation astucieuse de technologies existantes et d'une rapidité d'exécution des projets.

Quelles politiques d'innovation pour le CAC 40?
Le site ITespresso a dressé en 2015 le premier panorama des politiques d'innovation des entreprises du CAC40. Toutes ont une direction dédiée à l'innovation, ou qui l'inclut. La moitié financent, ou ont racheté, au moins une startup. 16, sur 40, se sont dotées d'un laboratoire, avec ou sans partenariat académique. Et 22 ont un programme d'innovation ouverte. Au-delà des seules grandes entreprises, la France compte des centaines de clubs enregistrés sur meetup.com qui pratiquent l'innovation ouverte, dont Growth Hacking Paris, le plus important par le nombre de membres (plus de 7000).

Les pouvoirs publics ne sont pas en reste. Le secrétariat général à la modernisation de l'action publique anime une « semaine de l'innovation publique » depuis 2014. L'État a primé en 2013 les premiers ateliers de fabrication numérique (« fab labs ») dans le cadre du Programme d'Investissements d'Avenir (PIA). Le dernier appel à projets lancé le mois dernier dans le cadre de ce même PIA et tourné vers les agents de la fonction publique n'ambitionne pas moins que de susciter des « startups d'Etat ».

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Source : LA TRIBUNE
 
Air Liquide va lever 10 milliards d'euros pour le rachat d'Airgas

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Pour obtenir ces fonds, le groupe français de gaz industriels va notamment procéder à une augmentation de capital de 3 à 3,5 milliards d'euros au second semestre. Le rachat d'Airgas pour 13,4 milliards de dollars a été finalisé lundi et le groupe américain a été retiré de la cote.


Extrait : Air Liquide financera le rachat de Airgas grâce à une levée de fonds de 10 milliards d'euros, dont une augmentation de capital de près de 3,5 milliards d'euros qui sera réalisée à l'automne, a annoncé Benoît Potier, Pdg du groupe français de gaz industriels au Figaro mardi matin.

Selon lui, la somme levée pour l'opération proviendra également d'émissions d'obligations en euros et en dollars. Lors de ses résultats trimestriels, Air Liquide avait mentionné une fourchette comprise entre 3 et 3,5 milliards d'euros pour son augmentation de capital.

Côté à la Bourse de Paris, Air Liquide prenait 1,54% à 95,60 euros à 10h28.

Le rachat d'Airgas pour 13,4 milliards de dollars a été finalisé lundi et le groupe américain a été retiré de la cote, après que la Commission fédérale du commerce (FTC) des Etats-Unis a annoncé vendredi qu'elle autorisait sous conditions l'opération.

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Source : LA TRIBUNE
 
2181,1 milliards d'euros en 2015 : le PIB de la France décortiqué

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LE SCAN ÉCO / INFOGRAPHIE - L'Insee vient de publier les «comptes détaillés de la Nation» pour l'année 2015. L'occasion de voir en détails ce qui a tiré, ou au contraire plombé, le PIB de l'Hexagone, dont la croissance ne retrouvera plus des niveaux mirobolants à l'avenir. Explications.


Extrait : Comme tous les ans, l'Insee publie en mai les «comptes de la Nation» de l'année précédente. L'occasion de regarder plus en détails quels sont les composants du PIB qui ont contribué (ou pas) à la croissance française, qui pour la première fois depuis 2012, a progressé de plus de 1%. De 1,2% exactement. Qu'est-ce qui a vraiment tiré, ou au contraire plombé, cette «année de la reprise» -comme l'a qualifiée le ministre des Finances Michel Sapin?

«En France, historiquement, la consommation est le plus gros contributeur à la croissance. En 2015, les exportations se sont un peu améliorées grâce à un euro affaibli. Et les chefs d'entreprises reprennent un peu de confiance, ce qui a stimulé les investissements depuis septembre dernier», explique Christopher Dembik. L'économiste estime que «ça va donc mieux», précisant aussitôt: «Mais on partait de très bas».

«La seule vraie réussite qui mérite d'être soulignée, c'est le taux de marge des entreprises qui a enfin été restauré. Mais il reste l'autre condition sine qua non au retour à l'embauche en France: l'augmentation des carnets de commandes», analyse le spécialiste. Des carnets de commandes qui ont montré des signes positifs à partir de décembre 2015, mais qui restent à confirmer.

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Source : LE FIGARO
 
Exportations : les entreprises vont connaître un "trou d'air" en 2016

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La baisse du prix des matières premières et la dépréciation des devises émergentes en début d'année ont été répercutés par les entreprises françaises sur leur prix de vente à l'export, selon une étude. 2017 offre néanmoins de meilleures perspectives.


Extrait : Un léger "trou d'air" avant un rebond. En 2016, le "gain à l'export" des entreprises françaises, c'est-à-dire leurs exportations supplémentaires, devrait atteindre 10 milliards d'euros, soit trois fois moins qu'en 2015 (27 milliards d'euros), selon le "baromètre export" bisannuel publié mardi par l'assureur crédit Euler Hermes.

En cause : la baisse du cours du pétrole, qui a été en partie répercutée par les entreprises françaises sur leurs prix de vente à l'export, mais aussi la dépréciation des devises émergentes observée depuis le début de l'année. "On a un effet prix qui n'est pas favorable", a résumé lors d'un point presse Ludovic Subran, chef économiste d'Euler Hermes, évoquant une "dégradation assez marquée" des prix pratiqués à l'export par les firmes françaises depuis mi-2015.

| LireMondialisation : quels sont les produits que la France exporte ?

Dans son baromètre, Euler Hermes constate par ailleurs un léger recul du nombre d'entreprises désireuses d'augmenter leur chiffre d'affaires à l'export, à 79% en 2016 contre 83% en 2014, les intentions fermes se maintenant néanmoins à 49%.

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Source : LA TRIBUNE
 
Les nouveaux défis du vin de Bordeaux

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À l’occasion de la 3e édition des Talents du vin, organisée le 2 juin à Bordeaux et visant à récompenser des acteurs aquitains du monde du vin, "La Tribune" fait le point sur les raisons majeures qui permettent à la filière viticole française de rester dans la course !


Extrait : La cloche sifflant la fin du match opposant la viticulture bordelaise à la crise économique, qui s'était traduit en 2010 par la mise en place du plan stratégique « Bordeaux Demain » n'a pas tout à fait retenti. Mais déjà, d'autres batailles engagent l'avenir de la production bordelaise de vins. Combattre le bordeaux bashing, décoller l'étiquette « pesticides » qui colle aux basques de la production viticole, prendre définitivement, dans le tourisme viticole mondial, la place que Bordeaux est en droit d'espérer.

On peut prendre le sujet par tous les bouts, et même par le plus petit goulot de la bouteille. Le fait est que la stratégie de repositionnement et de sortie de crise mise en place en 2010 par le Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), via un plan baptisé « Bordeaux Demain », a payé. La décision avait été prise au plus fort de la crise économique, à un moment où Bordeaux comptait le plus de propriétés rencontrant de graves difficultés économiques illustrées, de manière symbolique et symptomatique, par une chute brutale des cotisations de l'interprofession CIVB, cotisations assises sur les ventes des vins. Entre les exercices 2007 et 2010, ces cotisations, qui représentent 97% du budget de fonctionnement du CIVB, ont fondu de sept millions d'euros, passant de 34 millions d'euros à 27 millions d'euros.

LES CHIFFRES 2015 DE BORDEAUX...
4,8 millions d'hectolitres vendus
640 millions de bouteilles vendues
3,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires
21 bouteilles de Bordeaux vendues par seconde dans le monde
5,42 euros : le prix moyen d'une bouteille de Bordeaux rouge
58% des ventes sont réalisées en France
898 millions d'euros de chiffre d'affaires réalisé en grande distribution (France)
42% des ventes sont réalisées à l'export

... ET LE VIN DE BORDEAUX DÉCHIFFRÉ

6.460 viticulteurs
17 hectares, la taille moyenne des exploitations
300 maisons de négoce
84 courtiers
34 caves coopératives
5,3 millions d'hectolitres (récolte 2015)
720 millions de bouteilles produites en moyenne par an
88% de la superficie sont occupés par les cépages rouges : merlot, cabernet sauvignon, cabernet franc, malbec, petit verdot, carménère
12% de la superficie pour les cépages blancs : sauvignon blanc, muscadelle, sémillon, colombard, merlot blanc, chenin, folle blanche, ugni blanc
45% du vignoble sont certifiés : viticulture raisonnée, bio, biodynamique, intégrée...

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Source : LA TRIBUNE
 
Lyon-Moscou : un vol direct pour doper les échanges économiques

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Quelque 660 entreprises de Rhône-Alpes exportent vers la Russie et 60 d'entre elles y sont implantées. La récession dans ce pays a contraint certaines à réduire la voilure mais aucune ne l'aurait quitté.

Extrait : Le lancement du vol direct (quatre fois par semaine) entre Lyon et Moscou par la compagnie Aeroflot, ce mercredi, doit donner un coup de fouet aux relations économiques entre Rhône-Alpes et la Russie. Emmanuelle Vigne, en charge de la zone Europe centrale, orientale et CEI à la CCI Lyon métropole en est convaincue.

"La Russie reste le premier pays de cette zone spontanément demandé par les entreprises", de l'agglomération, témoigne t-elle. "Et un mieux est annoncé pour ce marché en 2017", en particulier dans le domaine des équipements pour l'agro-alimentaire et l'industrie pharmaceutique.

Exportations : 455 millions en 2015
Qu'en est-il de la réalité aujourd'hui ? Le montant des exportations de Rhône-Alpes vers la Russie (24e client) s'est établi à 455 millions d'euros en 2015 contre 674 millions un an plus tôt. Les importations, elles, sont tombées à 110 millions d'euros versus 547 millions d'euros en 2014 sachant que Rhône-Alpes est le 10eclient de la Russie*. Baisse du rouble, effondrement des prix du pétrole mais aussi sanctions de l'Europe à l'encontre de la Russie et embargo russe sur certains produits expliquent le repli des échanges commerciaux.

Toutefois, et contrairement à leurs homologues allemands ou anglais, les sociétés tricolores ont maintenu leur présence dans ce pays.

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Source : LA TRIBUNE
 
Quelles sont les nouvelles régions qui affichent un excédent commercial ?

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En 2015, la France a enregistré un déficit commercial de 45,7 milliards d'euros. Il faut remonter à 2003 pour trouver trace du dernier excédent commercial tricolore. Mais si certaines régions affichent des déficits commerciaux chroniques, d'autres peuvent s’enorgueillir d'une balance excédentaire. Coup d'oeil sur un tableau qui ne manque pas de relief.

Extrait : Grâce aux statistiques publiées en début d'année par les services des Douanes, le poids des anciennes 22 régions métropolitaines dans le commerce extérieur tricolore était connu.

Avec l'avènement des 13 nouvelles grandes régions, la donne a-t-elle changée ? Dévoilées ce jeudi, les bilans économiques régionaux réalisés par l'Insee, ainsi que les études régionales des Douanes qui cumulent les statistiques des anciennes régions, éclairent d'un jour nouveau la réalité du commerce extérieur français qui, faut-il le rappeler, est en panne. Ainsi, en 2015, le déficit commercial s'est élevé à 45,7 milliards d'euros. Le dernier excédent commercial annuel remonte à 2003...

Au premier trimestre 2015, en dépit des gains de compétitivité offerts par la faiblesse de l'euro face au dollar et de la baisse des cours des matières premières, le commerce extérieur a pesé sur l'activité. Selon l'Insee, celui-ci a retiré 0,2 point de PIB à la croissance. Si cette contribution avait été nulle, le PIB aurait affiché une hausse de 0,8%, et non pas de 0,6%...

Plus précisément, quelles sont celles, parmi les treize grandes régions qui ont vu le jour le 1er janvier avec l'entrée en vigueur de la loi NOTRe, qui ont tiré leur épingle du jeu en 2015 ? Dans le peloton, trois régions se démarquent : Grand Est, ALPC et Auvergne-Rhône-Alpes.

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Source : LA TRIBUNE
 
Armement : les cinq clés de la réussite de la France à l’export

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En 2015, la France a exporté pour 16,9 milliards d’euros de systèmes d’armes. Un record incroyable…


Extrait : Sous-marins Shortfin Barracuda vendus à l'Australie, avions de combat Rafale à l'Égypte et au Qatar, frégate FREMM à l'Égypte et au Maroc, satellites-espions aux Émirats Arabes Unis, au Maroc, au Pérou... Depuis trois ans, la France cartonne à l'exportation partout dans le monde. Après un trou d'air en 2012 (4,8 milliards d'euros), les ventes d'armes « Made in France » ont depuis véritablement décollé : 6,8 milliards en 2013, 8,2 milliards en 2014 et enfin 16,9 milliards en 2015.

Et l'année 2016 pourrait être également un excellent cru grâce au succès de DCNS en Australie, qui a acheté douze sous-marins Shortfin Barracuda si... le contrat est signé avant la fin de l'année. Sur un programme de 34,5 milliards d'euros, les industriels français peuvent espérer gagner 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires environ. La France joue aujourd'hui dans la cour des très grands avec les États-Unis et la Russie, alors qu'elle remportait jusqu'alors en moyenne 5 à 6 milliards d'euros de prises des commandes chaque année.

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Source : LA TRIBUNE
 
Le bonheur d’entreprendre vient-il de l’espace ?

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A Bordeaux, dans le cadre de Défis Expo 2016, évènement co-organisé par la société d’ingénierie informatique Défis et La Tribune, le spationaute Jean-François Clervoy et des chefs d’entreprises de la région ALPC ont échangé sur la thématique du “bonheur d’entreprendre dans un monde nouveau.”

Extrait :
Le "monde nouveau" de l'entreprise, Charles Heinz connaît.
Il dirige une société spécialisé dans la gestion informatique, la société bordelaise Défis, qui évolue dans un secteur en profonde mutation lié aux technologies et services du Cloud, à l'intelligence artificielle, à de nouveaux indicateurs de performance... bref à des services qui découlent, quand ils ne provoquent pas, des transformations en profondeur des entreprises qui se digitalisent à la vitesse grand V.

Le bonheur d'entreprendre, Charles Heinz a souhaité l'aborder en regroupant des décideuses et décideurs français autour de l'aventurier de l'espace et de l'économie, le spationaute Jean-François Clervoy
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Pour ce dernier, parti trois fois pour des missions spatiales à bord des navettes américaines, le bonheur d'entreprendre se résume à deux principes fondamentaux : satisfaire une passion, réaliser un rêve et surtout être utile, servir la société.
Celui qui a réalisé, par trois fois, le rêve de toute une vie pour bon nombre femmes et d'hommes, s'arracher à l'attraction pour aller contempler la terre et l'univers (c'est à une de ses missions que l'on doit la réparation et l'optimisation du télescope spatial Hubble) depuis l'espace, a trouvé le bonheur d'entreprendre en créant Novespace à Mérignac, près de Bordeaux.
Filiale du CNES, la société Novespace propose, depuis l'aéroport de Mérignac, des vols Zéro G à bord d'un Airbus qui effectue des dizaines de paraboles, à destination des scientifiques d'abord, mais depuis quelques années, des premiers "touristes de l'espace".

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Source : LA TRIBUNE