Pour en revenir au condamnation sur les courtes peines de prison. Pour éviter les multiples récidiviste exemple :
Nahel. Ouvrons des centres de rétention. En vue d’assurer la réinsertion des détenus,
la loi pénitentiaire de 2009 les soumet à une obligation d’activité. Ainsi, toute personne condamnée est tenue d’exercer au moins une des activités qui lui sont proposées par le chef d’établissement et le directeur du SPIP.
Ces activités, énumérées par le
code de procédure pénale, sont : le travail, la formation professionnelle, l'insertion par l'activité économique, l’enseignement, les activités éducatives, culturelles, socioculturelles, sportives et physiques.
Le principe, inspiré des
règles pénitentiaires européennes, est toutefois difficilement mis en œuvre dans les établissements pénitentiaires, particulièrement dans les maisons d’arrêt en raison de leur surpopulation. L’attente pour accéder à un travail, à un enseignement ou à une formation professionnelle est fréquente. De fait, l’oisiveté est largement répandue en prison. Le nombre d'heures d'activités proposées dans les établissements pénitentiaires s'est élevé en moyenne à 3h46, par personne détenue et par jour, fin 2017.
Résumer :
1°) Les prisons Françaises sont déjà pleines à cause de la prohibition.
2°) La multiplication des infraction.
3°) Les courtes peines sont illégales au dessous d'un mois, il faudrait alors changer la loi, ce qui prendrait environ un siècle si ce n'est plus....
4°) Enfin, un court séjour en prison serait suffisant pour apprendre à commettre d'autres délits, ce qui est déjà le cas pour les plus long séjours...
5°) Les détenus se trouvent par ailleurs pris au piège de cette injonction paradoxale qui leur demande de se prendre en main sans leur en donner les moyens.
6°) Avec le niveau scolaire actuel, ont ferait mieux de proposer la construction de nouvelles écoles !
Fais-ont sa pour nos petits voyous. Quelle que mois dans ses centre fermer sans aucune connections moderne et visite, devrait commencer a les aider dans la réadaptation et d’autonomie.
Conclusion, cette solution nous coûterai pas trop chère les prélèvement au aide pour financer ( prélèvement sur les mois passer ) les familles amputer de ses aide feront vite le boulot du droit chemin, pour un résultat productif qui résoudrait l'insécurité.