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Bonjour Breizh
Une question est cependant a poser pourquoi l'Irlande possedent tout ces avantages fiscaux et les 26 autres pays membres Non ?
Dans le cas d'une communaute europeene qui soit en harmonie et avance sous la meme banniere etoilee , soit tout le monde beneficie de ces avantages soit personne !
Ca me parait logique et equitable ...
Bonjour Breizh
Une question est cependant a poser pourquoi l'Irlande possedent tout ces avantages fiscaux et les 26 autres pays membres Non ?
Dans le cas d'une communaute europeene qui soit en harmonie et avance sous la meme banniere etoilee , soit tout le monde beneficie de ces avantages soit personne !
Ca me parait logique et equitable ...
Le gouvernement britannique veut créer jusqu'à dix ports francs
Le gouvernement britannique a annoncé ce dimanche vouloir mettre en place jusqu'à dix ports francs au Royaume-Uni afin de stimuler l'économie du pays après sa sortie de l'Union européenne.
Communique : Il a précisé dans un communiqué avoir lancé une consultation de dix semaines sur ces zones où les marchandises destinées à être réexportées ou à être transformées dans le pays sont exonérées de droits de douane. L'objectif est d'annoncer la localisation de ces nouvelles zones d'ici à la fin de l'année, dans les terres ou près des ports, afin qu'elles soient opérationnelles en 2021.
Le gouvernement affirme qu'elles permettront de «créer des milliers d'emplois, régénérer des communautés et booster la croissance post-Brexit du Royaume-Uni», tout en offrant une base à l'innovation et au développement des technologies vertes.
Le gouvernement britannique a annoncé ce dimanche vouloir mettre en place jusqu'à dix ports francs au Royaume-Uni afin de stimuler l'économie du pays...
Référendum en Écosse: une députée indépendantiste menace Johnson de recours en justice
Une députée écossaise qui avait remporté une victoire en justice contre le gouvernement britannique a averti le premier ministre Boris Johnson qu'il s'exposait à une nouvelle bataille judiciaire s'il bloque un nouveau référendum sur l'indépendance de l'Écosse.
Extrait : Son parti, le SNP (parti indépendantiste écossais), souhaite organiser une nouvelle consultation sur l'indépendance, après le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne, auquel les Écossais étaient majoritairement opposés. Mais le premier ministre britannique a refusé d'autoriser le transfert de pouvoir au gouvernement décentralisé d'Édimbourg permettant d'organiser un nouveau vote. Pour la députée du SNP Joanna Cherry, le Parlement écossais devrait organiser un référendum consultatif non contraignant, puis laisser les juges décider de sa légalité.
«Boris Johnson devrait savoir que nous avons des options et que nous n'avons pas peur d'aller de l'avant», a écrit Joanna Cherry sur Twitter dimanche 9 février. «Nous pourrions bien l'emporter devant la justice», a-t-elle ajouté, estimant n'avoir rien à perdre.
Joanna Cherry, porte-parole des Affaires intérieures du SNP au Parlement britannique, fait partie d'un groupe d'avocats qui a contesté avec succès la suspension du Parlement britannique décidée par Boris Johnson l'an dernier. La décision du dirigeant conservateur avait été vue comme une tentative d'empêcher les députés d'avoir leur mot à dire sur sa stratégie en matière de Brexit.
Lors d'un premier référendum sur l'indépendance en 2014, 55% des Écossais avaient voté pour rester au Royaume-Uni. Boris Johnson refuse un nouveau vote, estimant que ce genre de consultation ne peut se tenir qu'«une fois par génération».
Une députée écossaise qui avait remporté une victoire en justice contre le gouvernement britannique a averti le premier ministre Boris Johnson qu'il...
La plus septentrionale des trois parties de la Grande-Bretagne C'est un pays de hautes terres surtout au Nord Grampians et Highlands mais la population se concentre principalement dans les Lowlands Scotland
www.larousse.fr
Un site a suivre pour essayer de mieux analyser la situation ...
Extrait : These pages are for all who care about Scotland’s future, regardless of how they vote: for party, independence/union, EU/Brexit. Sceptical Scot aims to provide a forum that is both broader and deeper than current online/print offers with a rich diet of well-researched, polemical, thought-provoking writing.
Why ‘Sceptical Scot’? Because none of us can lay claim to absolute truth, and all policies and proposals need to be subjected to enlightened, sceptical scrutiny and investigation.
Irlande : Le Sinn Fein veut un rôle majeur dans le prochain gouvernement
DUBLIN (Reuters) - Le parti nationaliste Sinn Fein a fait savoir lundi qu'il souhaitait un rôle majeur dans le prochain gouvernement irlandais après sa percée aux dernières élections législatives anticipées.
Extrait : Le Sinn Fein a battu les deux partis de centre-droit qui dominent la vie politique irlandaise depuis la formation de l'État il y a un siècle, le Fine Gael et le Fianna Fail, avec 24,5 des voix de première préférence, doublant presque son vote par rapport aux dernières élections il y a quatre ans.
L'Irlande applique un mode de scrutin à la proportionnelle à vote unique transférable dans laquelle les électeurs peuvent classer par ordre de préférence les candidats en lice.
Présentant beaucoup moins de candidats, le Sinn Fein ne peut donc viser au mieux qu'une place minoritaire au sein du gouvernement. Il obtient 37 sièges, juste derrière le Fianna Fail (38 sièges), mais bat pour la première fois le Fine Gael, parti du Premier ministre Leo Varadkar (35 sièges).
La formation d'un gouvernement risque d'être compliquée dans un parlement extrêmement divisé comptant 160 sièges.
Des enquêtes d'opinions montrent que la percée du Sinn Fein s'explique par les préoccupations des Irlandais pendant cette campagne, à savoir le système de santé et la crise du logement.
Cependant, l'ex-vitrine politique de l'Armée républicaine irlandaise (Ira) avait fait savoir avant le scrutin que la condition en vue d'une éventuelle coalition serait l'engagement à lancer immédiatement les travaux préparatoires à un référendum sur la réunification irlandaise qui se tiendrait dans un délai de cinq ans.
par Conor Humphries et Graham Fahy DUBLIN - Le parti nationaliste Sinn Fein a fait savoir lundi qu'il souhaitait un rôle majeur dans le prochain gouvernement irlandais après sa percée aux dernières élections législatives anticipées. Le Sinn Fein a battu les deux partis de centre-droit qui...
État insulaire d'Europe occidentale situé dans l'océan Atlantique l'Irlande occupe la majeure partie de l'île d'Irlande elle est séparée de la Grande-Bretagne à l'est par la mer d'Irlande et le canal Saint GeorgeL'Irlande est membre de l'Union européenne elle fait partie de la zone euro Éire...
Services financiers : avec l'UE, Londres veut fixer ses propres règles
Alors que les autorités européennes réfléchiraient à amender la réglementation financière afin d'affaiblir la City et de renforcer le secteur financier européen, selon les révélations de Bloomberg, Sajid Javid, le ministre britannique des Finances, a rappelé que la sortie de l'UE est pour le Royaume-Uni une occasion de reprendre le contrôle de la réglementation sur les services financiers: "Nous ne suivrons plus les règles fixées par d'autres."
Extrait : Le ministre britannique des Finances Sajid Javid a promis mardi de dévoiler au printemps sa stratégie post-Brexit pour les services financiers avec l'idée de bâtir une "relation durable" avec l'UE, tout en fixant ses propres règles.
Le Trésor "va publier un livre blanc au printemps sur l'avenir du secteur financier britannique", l'un des principaux moteurs de l'économie, a annoncé M. Javid dans une tribune publiée mardi dans le quotidien du quartier londonien des affaires City AM.
Cette promesse intervient alors que les débats sur la relation commerciale future entre Londres et Bruxelles semblaient se focaliser davantage sur les échanges de biens et la pêche.
"Nous ne suivrons plus les règles fixées par d'autres"
Le ministre a rappelé que la sortie de l'UE est pour le Royaume-Uni une occasion de reprendre le contrôle de la réglementation sur les services financiers.
Alors que les autorités européennes réfléchiraient à amender la réglementation financière afin d'affaiblir la City et de renforcer le secteur financier européen, selon les révélations de Bloomberg, Sajid Javid, le ministre britannique des Finances, a rappelé que la sortie de l'UE est pour le...
Erratum
1/ Le Royaume Uni n'existait pas en 1297 il est bon de le souligner ! ... 2 / William Wallace luttait contre l'occupation Anglaise et ne representait pas la liberte de cette meme Angleterre , mais combattait cet opresseur ...
Création du Royaume-Uni La Grande-Bretagne, union de l'Angleterre et de l'Écosse, a été créée par l'Acte d'Union de 1707, sous le règne de la reine Anne (1702-1714). George I er a régné de 1714 à 1727, suivi par George II de 1727 à 176
Erratum
1/ Le Royaume Uni n'existait pas en 1297 il est bon de le souligner ! ... 2 / William Wallace luttait contre l'occupation Anglaise et ne representait pas la liberte de cette meme Angleterre , mais combattait cet opresseur ...
Création du Royaume-Uni La Grande-Bretagne, union de l'Angleterre et de l'Écosse, a été créée par l'Acte d'Union de 1707, sous le règne de la reine Anne (1702-1714). George I er a régné de 1714 à 1727, suivi par George II de 1727 à 176
La France sera "vigilante" sur les ports francs britanniques
PARIS (Reuters) - La France sera d'une "vigilance absolue" pour empêcher toute forme de concurrence déloyale, a prévenu mercredi le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian après l'intention exprimée par Londres de créer dix ports francs d'ici 2021.
Communique : La gouvernement britannique a exprimé dimanche son intention de créer jusqu'à dix ports francs d'ici 2021 afin de stimuler l'économie du pays après sa sortie de l'Union européenne, qui a été actée dans la nuit du 31 janvier au 1er février après plus de trois ans de négociations.
"Etant donné que les ports francs permettent de différer la perception des droits de douane et autres taxes au moment où les marchandises sont mises sur le marché, nous examinerons cette annonce au regard des enjeux indispensable de transparence fiscale", a déclaré Jean-Yves Le Drian lors des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale.
"Et nous le ferons en lien avec la commission européenne", a ajouté le ministre des Affaires étrangères. "Nous serons d'une vigilance absolue pour empêcher tout forme de concurrence déloyale quel que soit le domaine et que s'il faut prendre du temps pour négocier, il faudra le prendre".
"Nous n'avons pas l'intention de voir apparaître près de nos côtes un paradis fiscal, environnemental et commercial susceptible de concurrencer anormalement les produits européens sur nos propres marchés", a-t-il prévenu.
PARIS - La France sera d'une "vigilance absolue" pour empêcher toute forme de concurrence déloyale, a prévenu mercredi le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian après l'intention exprimée par Londres de créer dix ports francs d'ici 2021. La gouvernement britannique a exprimé dimanche...
Cap sur l’Afrique pour le Royaume-Uni à l’heure du Brexit
À l’aube de cette nouvelle décennie, les questions africaines ont donné le ton à une succession de réunions ou sommets organisés en Europe en janvier : le 13 à Pau, pour la sécurité au Sahel, le 19 à Berlin, en vue d’une paix en Libye, puis le 21 à Londres, sur les relations économiques avec un Royaume-Uni quittant l’Union européenne (UE) dix jours plus tard.
Brexit, Commonwealth et nouveaux accords
Extrait Choisi : Un vent d’« afro-optimisme » paraît donc souffler sur Londres aujourd’hui. Mais ce climat résulte de circonstances qui ne tiennent pas qu’aux résultats encourageants de certaines économies africaines, malgré leur petite taille en moyenne. Le Royaume-Uni, quittant formellement l’Union européenne, se voit dans l’obligation de renégocier les accords commerciaux qu’il entretenait avec l’Afrique au titre des relations avec l’UE. Le sommet du 20 janvier a été l’occasion de souligner que les pays africains sont dans l’ensemble mécontents du système d’accords de partenariat économique (APE, ou EPAs en anglais) dont la ratification se heurte à des difficultés depuis 2002. Ils attendent de la part de la Grande-Bretagne une attitude différente de celle de l’UE qu’ils considèrent comme trop arrogante. C’est ce qu’ont promis les Britanniques, qui multiplient en ce moment la signature d’accords commerciaux dans le cadre du Commonwealth. Ils s’apprêtent ainsi à faire le chemin inverse de celui des années 1970, lorsque les biens de consommation européens avaient peu à peu supplanté des productions de l’ancien empire victorien sur le marché national.
Le retour au Commonwealth est intimement lié au resserrement des liens avec l’Afrique. Philip Parham, l’ambassadeur thématique (UK Commonwealth Envoy) qui avait organisé le 23e sommet de l’organisation le 16 avril 2018 à Londres, exercice ayant alors réuni 46 chefs d’État ou de gouvernement, est aussi celui qui coordonna ès qualités la préparation du sommet du 20 janvier dernier, comme Special Envoy for the UK Africa Investment Summit. Cet événement inédit, loin d’être une improvisation du Premier ministre Boris Johnson , a demandé en effet de la part de diplomates et de fonctionnaires des efforts considérables en amont, en direction notamment des pays du Maghreb dont le potentiel économique attire tout particulièrement les Britanniques. Ceux-ci s’intéressent également au potentiel ouvert par le lancement en mai 2019 d’une zone de libre-échange à l’initiative de l’Union africaine (UA), l’African Continental Free Trade Area (AfCFTA), impliquant actuellement une vingtaine de pays et qui mobilise surtout des États d’Afrique de l’Est et australe où la Grande-Bretagne est déjà très fortement implantée. Le Rwanda, où fut signé l’accord, se révéla très actif dans sa promotion au sommet de Londres et son président Paul Kagame, à la gauche de Boris Johnson sur la photo officielle, eut droit à d’autant plus d’égards qu’il est en froid avec Donald Trump aux États-Unis.
À l’aube de cette nouvelle décennie, les questions africaines ont donné le ton à une succession de réunions ou sommets organisés en Europe en janvier : le 13 à Pau, pour la sécurité au Sahel, le 19 à Berlin, en vue d’une paix en Libye, puis le 21 à Londres, sur les relations économiques avec un...
The Commonwealth is a voluntary association of 56 independent and equal countries. It is home to 2.7 billion people, and includes both advanced economies and developing countries. 33 of our members are small states, including many island nations.
thecommonwealth.org
Monsieur Johnson est loin d'improviser sa strategie etait deja mise au point , je n'en ai pas doute un seul instant tout comme son desir d'un Commonwealth commercial optimise .... A suivre
L'UE va ajouter les îles Caïmans à sa liste noire des paradis fiscaux
Le territoire britannique d'Outre-mer va rejoindre les huit pays ou juridictions déjà présents sur la liste, a indiqué une source européenne à l'AFP, deux semaines après le Brexit.
Extrait : Les 27 États membres de l'UE vont ajouter à leur liste noire des paradis fiscaux les îles Caïmans, territoire britannique d'Outre-mer, a indiqué une source européenne à l'AFP jeudi, deux semaines après le Brexit. Les 27 ambassadeurs des pays de l'Union ont pris la décision mercredi de «blacklister» ce territoire situé dans les Caraïbes, ce qui doit être confirmé par les ministres des Finances de l'UE, lors de leur réunion à Bruxelles mardi prochain.
«D'autres pays ou juridictions devraient également être placés sur la liste noire de l'UE», a précisé cette source, sans toutefois donner leurs noms. «Certains États membres de l'Union ont émis des réserves à propos de la décision de blacklister ces pays», a-t-elle ajouté. Or, il est nécessaire d'avoir un consensus de tous les pays de l'UE pour les mettre sur la liste noire, a-t-elle souligné. Mais les résistances pourraient se débloquer d'ici à la réunion de mardi.
Le territoire britannique d'Outre-mer va rejoindre les huit pays ou juridictions déjà présents sur la liste, a indiqué une source européenne à l'AFP, deux semaines après le Brexit.
Surprise totale au Royaume-Uni : le ministre des Finances de Boris Johnson claque la porte
Sajid Javid était vu comme un contre-poids aux velléités ultra-dépensières de Boris Johnson, qui n'a de cesse de promettre des milliards dans la santé, l'éducation ou les infrastructures. Après cette annonce, la livre s'est nettement inscrite à la hausse. Les analystes y voient un boulevard pour un vaste plan d'investissements publics:
Extrait : À la surprise générale, le ministre britannique des Finances Sajid Javid, l'un des poids lourds de l'équipe de Boris Johnson, a claqué la porte du gouvernement jeudi à l'occasion du premier remaniement depuis le Brexit.
Il est remplacé par le secrétaire en chef du Trésor Rishi Sunak, 39 ans, qui a fait carrière dans la finance et va devoir piloter ce ministère-clé au moment où l'économie britannique tourne au ralenti.
Cette démission constitue une surprise de taille dans un remaniement qui s'annonçait sans bouleversement majeur.
Elle intervient peu avant la présentation du premier budget depuis que le Royaume-Uni a quitté l'Union européenne le 31 janvier. Le porte-parole du Premier ministre Boris Johnson n'a toutefois pas confirmé la date du 11 mars avancée jusqu'ici, soulignant seulement que les "préparatifs" se poursuivraient "à un rythme soutenu".
Refus de se séparer de ses conseillers spéciaux
Le départ de Sajid Javid est dû à son refus de se séparer de tous ses conseillers comme le réclamait Boris Johnson. Le Premier ministre a en effet créé et mis sous son autorité une nouvelle équipe de conseillers spéciaux qui sera partagée avec le ministère des Finances, a précisé un porte-parole de Downing Street.
"Je ne pouvais pas accepter ces conditions. Je pense que tout ministre qui se respecte n'accepterait pas de telles conditions", a expliqué l'ex-ministre de 50 ans sur la BBC, qui a dès lors estimé n'avoir "d'autre choix que de démissionner".
Sajid Javid était vu comme un contre-poids aux velléités ultra-dépensières de Boris Johnson, qui n'a de cesse de promettre des milliards dans la santé, l'éducation ou les infrastructures. Après cette annonce, la livre s'est nettement inscrite à la hausse. Les analystes y voient un boulevard pour...
Irlande : Le Fianna Fail exclut toute discussion avec le Sinn Fein
DUBLIN (Reuters) - Le Fianna Fail, premier parti représenté au parlement irlandais, a exclu jeudi de gouverner avec le Sinn Fein, devenu la deuxième force politique de la République irlandaise à l'issue des élections législatives de samedi dernier.
Communique : Cette décision donnera aux deux partis de centre droit qui dominent la vie politique irlandaise - le Fianna Fail et le Fine Gael du Premier ministre sortant Leo Varadkar - le choix d'unir à nouveau leurs forces ou de retourner aux urnes, avec le risque d'une nouvelle poussée du Sinn Fein, situé à gauche de l'échiquier politique.
L'ancienne aile politique de l'Armée républicaine irlandaise (Ira) a fait sensation ce week-end en remportant le plus grand nombre de voix aux élections, avec 24% des suffrages.
Fort de 37 sièges de députés, le Sinn Fein n'a qu'un député de moins que le Fianna Fail dans un Parlement morcelé de 160 sièges.
"Nous avons donné au chef du parti l'autorisation de parler à qui il veut, à l'exception du Sinn Fein", a déclaré un élu du Fianna Fail, Niall Collins, à l'issue d'une réunion de son parti.
Un autre responsable du Fianna Fail, Michael McGrath, a déclaré à la radio-télévision irlandaise que son parti commencerait par discuter avec des petites formations avant de contacter le Fine Gael, son rival historique, qui dispose de 35 sièges au Parlement.
Pour atteindre la majorité, les deux partis de centre droit auraient besoin du soutien d'au moins une petite formation
La dirigeante du Sinn Fein, Mary Lou McDonald, avait évoqué dimanche la possibilité d'entrer au gouvernement. Elle a toutefois reconnu jeudi qu'il serait "très très difficile de construire un gouvernement" de coalition autour de son parti, tout en jugeant que la perspective d'une coalition Fine Gael-Fianna Fail serait une "gifle au visage de l'électorat irlandais".
DUBLIN - Le Fianna Fail, premier parti représenté au parlement irlandais, a exclu jeudi de gouverner avec le Sinn Fein, devenu la deuxième force politique de la République irlandaise à l'issue des élections législatives de samedi dernier. Cette décision donnera aux deux partis de centre droit...
Parti politique irlandais fondé en 1926 par Éamon De Valera pour regrouper les anciens Sinn Féiners hostiles tant au traité de Londres signé en 1921 par Arthur Griffith et Michael Collins qu'à la partition de l'île qui en résulte mais désireux de participer à la vie parlementaire du nouvel...
Mouvement nationaliste et républicain irlandais Organisé à partir de 1905 par Arthur Griffith le Sinn Féin reprend la tradition des Fenians et de la Fraternité républicaine irlandaise mais puise aussi une inspiration originale dans la renaissance culturelle gaélique À l'origine ce n'est pas un...