USA / Trump Perspectives Geopolitiques et Interieures 2025
- Auteur de la discussion lafoy-china
- Date de début
On parle bien du gars qui a:
- ch*é sur les gilets jaunes
- pro pass sanitaire
- macroniste à mort (et donc qui a sa responsabilité dans la situation désastreuse de la France)
................................................................Sans déconner quoi, réveillez-vous!!!
Je m'en fous de savoir qui il supporte. Tout ce que je vois, c'est qu'il nous fout pas la honte quand il s'exprime en anglais. Pas sûr que beaucoup de sénateurs, députés ou ministres puissent en dire autant.On parle bien du gars qui a:
- ch*é sur les gilets jaunes
- pro pass sanitaire
- macroniste à mort (et donc qui a sa responsabilité dans la situation désastreuse de la France)
Sans déconner quoi, réveillez-vous!!!
Canada : Mark Carney désigné Premier ministre pour succéder à Justin Trudeau
10 mars 2025
Mark Carney, ancien banquier central de 59 ans, va succéder à Justin Trudeau à la tête du parti libéral et devenir Premier ministre du Canada. Son élection intervient dans un contexte de tensions sans précédent avec les États-Unis de Donald Trump.
Article : Un novice en politique va prendre les commandes du Canada. Le parti au pouvoir a élu dimanche Mark Carney comme nouveau chef et futur Premier ministre du pays en remplacement de Justin Trudeau, au moment où le pays fait face à des tensions historiquement élevées avec son puissant voisin, les États-Unis de Donald Trump.
Cet ancien banquier central de 59 ans, novice en politique, a obtenu 85,9 % du vote des militants, a annoncé Sachit Mehra, le président du parti libéral. Il était donné largement favori depuis la démission début janvier de Justin Trudeau en plein chaos politique.
Mark Carney sera officiellement Premier ministre dans les jours qui viennent, après une passation de pouvoir, une fois le gouvernement formé. L’ancien directeur de la Banque du Canada et de la Banque d’Angleterre, qui avait largement devancé ses adversaires en termes de fonds levés, a été longuement ovationné par les militants.
Ces dernières semaines, une seule question a dominé les débats: qui est la bonne personne pour affronter Donald Trump et ses attaques ? « Les Américains veulent nos ressources, notre eau, notre terre, notre pays » a prévenu dimanche Mark Carney lors de son discours de victoire. « Nous ne pouvons pas laisser Trump gagner », a-t-il ajouté parlant d’une période de « grand péril » pour le Canada et estimant que le pays devait « bâtir une nouvelle économie et créer de nouvelles relations commerciales ».
Le président américain a lancé une guerre commerciale en imposant des droits de douane sur des produits canadiens et ne cesse de dire qu’il souhaite que le Canada devienne le « 51e Etat américain ». Des attaques qui exaspèrent les Canadiens dont beaucoup renoncent à leur voyage au sud de la frontière et boycottent les produits américains. Peu avant l’annonce des résultats dimanche, dans un discours d’adieu, Justin Trudeau a d’ailleurs qualifié les menaces de Donald Trump de « défi existentiel » pour le pays. « La liberté n’est pas un acquis, même le Canada n’est pas un acquis », a-t-il mis en garde.
« L’heure est grave »
Au centre des congrès de la capitale Ottawa, où de grands drapeaux canadiens ont été accrochés, les militants se pressaient dans l’après-midi.Venu avec son maillot de hockey, Greg MacEachern, estime auprès de l’AFP que « l’heure est grave » et « que les gens ont pris cette élection très, très au sérieux » dans ce contexte.
Luzminda Longkines, toute de rouge vêtue, la couleur des libéraux, veut un parti fort face aux conservateurs qui affirment que le « pays est cassé ». « Mais c’est faux et Donald Trump vient d’unir le pays, nous avons maintenant un ennemi commun. » Mark Carney, qui n’a jamais été élu, séduit grâce à « son expérience économique et son sérieux », explique Stéphanie Chouinard, professeure de sciences politiques au Collège militaire royal du Canada. « Il connaît très bien les systèmes financiers internationaux et les forces et les faiblesses de l’économie canadienne », ajoute-t-elle.
Tout en affrontant les assauts américains, Mark Carney devra rapidement rassembler son parti en vue des prochaines élections. Celles-ci doivent se tenir au plus tard en octobre mais pourraient être déclenchées plus rapidement que cela et elles promettent d’être plus disputées qu’attendues.
Selon un sondage de l’institut Angus Reid publié mercredi, M. Carney est le choix préféré des Canadiens pour affronter M. Trump, avec 43% des personnes interrogées qui le plébiscitent contre 34% pour le chef de file des conservateurs, Pierre Poilievre. Ce dernier, qui avait le vent en poupe ces derniers mois, semble perdre du terrain dans ce nouveau contexte politique même si le parti conservateur reste légèrement en tête des intentions de vote. « Sa rhétorique populiste », qui rappelle celle de Donald Trump, dérange une partie des Canadiens, explique Daniel Béland, professeur de sciences politiques à l’Université McGill de Montréal.
Canada : Mark Carney désigné Premier ministre pour succéder à Justin Trudeau
Mark Carney, ancien banquier central de 59 ans, va succéder à Justin Trudeau à la tête du parti libéral et devenir Premier ministre du Canad
Chute de Tesla à Wall Street : sa valorisation divisée par deux depuis décembre
Rien que ce lundi, l’action de l’entreprise de véhicules électriques a plongé de 15 % à la Bourse de New York.
Chute de Tesla à Wall Street : sa valorisation divisée par deux depuis décembre
Rien que ce lundi, l’action de l’entreprise de véhicules électriques a plongé de 15 % à la Bourse de New York.
Chute de Tesla à Wall Street : sa valorisation divisée par deux depuis décembre
Rien que ce lundi, l’action de l’entreprise de véhicules électriques a plongé de 15 % à la Bourse de New York.
Chute de Tesla à Wall Street : sa valorisation divisée par deux depuis décembre
Rien que ce lundi, l’action de l’entreprise de véhicules électriques a plongé de 15 % à la Bourse de New York.www.leparisien.fr
Mais non, pas d'inquietude. Ca fait juste partie du plan Trump pour in fine booster l'economie americaine. C'est juste qu'on est trop con pour en comprendre tous les rouages
11 mars 2025
Donald Trump a signé un décret jugeant les militaires trans inaptes à servir le pays, qui doit entrer en vigueur le 26 mars.
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« C’est une purge » : le désarroi de militaires transgenres bannis par Donald Trump
Donald Trump a signé un décret jugeant les militaires trans inaptes à servir le pays, qui doit entrer en vigueur le 26 mars.
« C’est une purge » : le désarroi de militaires transgenres bannis par Donald Trump
Donald Trump a signé un décret jugeant les militaires trans inaptes à servir le pays, qui doit entrer en vigueur le 26 mars.
Une fresque antiraciste du mouvement « Black Lives Matter » effacée à Washington
Cette inscription avait été installée à proximité de la Maison Blanche, le site de la présidence américaine, occupée depuis janvier par Dona
Trump accuse le Canada d’abuser des droits de douane après une surtaxe de l’Ontario sur l’électricité
L’Ontario a annoncé une surtaxe de 25% sur l’électricité destinée à environ 1,5 million de foyers et d’entreprises aux Etats-Unis, dans le M
Dernière édition:
Quel comique !!!Trump accuse le Canada d’abuser des droits de douane après une surtaxe de l’Ontario sur l’électricité
L’Ontario a annoncé une surtaxe de 25% sur l’électricité destinée à environ 1,5 million de foyers et d’entreprises aux Etats-Unis, dans le M
Quand Trump impose 25% de droits de douane aux produits Canadiens, c'est normal, légitime, justifié ...
Mais quand le Canada taxe l'électricité de 25%, c'est abusé, et "ils ont même pas le droit, ouiiiiin ...."
C'est la difference avec le president Shimano , avec Trunp on a droit a des gags chaque jourQuel comique !!!
Quand Trump impose 25% de droits de douane aux produits Canadiens, c'est normal, légitime, justifié ...
Mais quand le Canada taxe l'électricité de 25%, c'est abusé, et "ils ont même pas le droit, ouiiiiin ...."
Mais bon on avait deja evoque cela ....
C'est la difference avec le president Shimano , avec Trunp on a droit a des gags chaque jour
Je suis sur que certains crient au genie. Moi je crois plutot qu'il n'a aucune idee de ce qu'il fait et que c'est de la politique gribouille a 100%. Lors de son premier mandat, il etait bride par ses conseillers. La, ils sont tous a sa botte et on voit le resultat. Je pense qu'il fait un mal enorme aux USA qui sont en train de perdre toute credibilite.
Droits de douane américains « totalement injustifiés » : le Premier ministre australien
12 mars 2025
L'Australie n'imposera pas de tarifs douaniers de rétorsion aux États-Unis, bien qu'elle n'ait pas réussi à obtenir une exemption des taxes à l'importation de l'administration Trump sur l'acier et l'aluminium australiens, a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese, qui a qualifié les tarifs douaniers de « totalement injustifiés ».
Communique : « Cela va à l'encontre de l'esprit de l'amitié durable de nos deux nations et est fondamentalement en contradiction avec les avantages que notre partenariat économique a apportés depuis plus de 70 ans », a déclaré M. Albanese lors d'une conférence de presse mercredi à Sydney.
Selon M. Albanese, le choix du président Donald Trump d'imposer des droits de douane à l'Australie est sans aucun doute une mesure négative pour les relations entre les États-Unis et l'Australie.
Cette décision augmente également les coûts d'importation aux États-Unis, et ces coûts seront supportés par les Américains, et non par les Australiens, a-t-il ajouté.
La décision des États-Unis n'est « pas un acte amical », a déclaré le premier ministre, ajoutant que l'Australie partage une relation étroite avec les États-Unis et que les vrais amis devraient agir de manière à renforcer la perception de leur amitié au sein de leur population. Il a également fait remarquer que si cet acte n'était pas amical, il s'appliquait à tous les pays.
M. Albanese a confirmé que l'Australie ne prendrait pas de mesures de rétorsion contre les tarifs douaniers de M. Trump, affirmant que de telles actions ne feraient qu'augmenter les prix pour les consommateurs australiens et alimenter l'inflation.
Il a ajouté que l'Australie continuerait à s'engager de manière constructive avec les États-Unis, en défendant les avantages du commerce australien et son impact positif sur les habitants des États-Unis.
À la question de savoir s'il se rendra aux États-Unis pour conclure un accord avec M. Trump, M. Albanese a répondu : « Je m'occuperai des intérêts de l'Australie ici même. »
Qualifiant la décision tarifaire de l'administration Trump de « non provoquée et injustifiée », la ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong, a déclaré que refuser une exemption n'était « pas la manière de traiter un ami et un partenaire. »
M. Trump avait déjà indiqué qu'il pourrait envisager d'exempter l'Australie des droits de douane de 25 % qui entreront en vigueur mercredi.
Le 10 février, M. Trump a signé des proclamations visant à faire passer les droits de douane sur l'aluminium de 10 à 25 %, en les alignant sur les droits de douane en vigueur pour l'acier. Il a également décidé d'éliminer les quotas en franchise de droits, les exemptions et les exclusions pour les droits de douane sur l'acier et l'aluminium.
Environ 1 milliard de dollars australiens (630 millions de dollars américains) d'exportations australiennes devraient être touchés.
M. Trump avait déclaré qu'il accorderait une « grande attention » à une exemption pour les produits australiens à la suite d'un appel téléphonique avec M. Albanese en février.
Toutefois, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré aux médias australiens plus tôt dans la journée de mardi (heure locale des États-Unis) : « Il l'a envisagé et a envisagé de ne pas le faire. Il n'y aura pas d'exemptions ».
Interrogée sur les raisons de cette décision, Mme Leavitt a expliqué que cette politique était motivée par le principe « America First Steel », suggérant que si l'Australie souhaitait bénéficier d'une exemption, elle devrait « envisager de délocaliser la production d'acier ici ».
www.shine.cn
L'Australie n'imposera pas de tarifs douaniers de rétorsion aux États-Unis, bien qu'elle n'ait pas réussi à obtenir une exemption des taxes à l'importation de l'administration Trump sur l'acier et l'aluminium australiens, a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese, qui a qualifié les tarifs douaniers de « totalement injustifiés ».
Communique : « Cela va à l'encontre de l'esprit de l'amitié durable de nos deux nations et est fondamentalement en contradiction avec les avantages que notre partenariat économique a apportés depuis plus de 70 ans », a déclaré M. Albanese lors d'une conférence de presse mercredi à Sydney.
Selon M. Albanese, le choix du président Donald Trump d'imposer des droits de douane à l'Australie est sans aucun doute une mesure négative pour les relations entre les États-Unis et l'Australie.
Cette décision augmente également les coûts d'importation aux États-Unis, et ces coûts seront supportés par les Américains, et non par les Australiens, a-t-il ajouté.
La décision des États-Unis n'est « pas un acte amical », a déclaré le premier ministre, ajoutant que l'Australie partage une relation étroite avec les États-Unis et que les vrais amis devraient agir de manière à renforcer la perception de leur amitié au sein de leur population. Il a également fait remarquer que si cet acte n'était pas amical, il s'appliquait à tous les pays.
M. Albanese a confirmé que l'Australie ne prendrait pas de mesures de rétorsion contre les tarifs douaniers de M. Trump, affirmant que de telles actions ne feraient qu'augmenter les prix pour les consommateurs australiens et alimenter l'inflation.
Il a ajouté que l'Australie continuerait à s'engager de manière constructive avec les États-Unis, en défendant les avantages du commerce australien et son impact positif sur les habitants des États-Unis.
À la question de savoir s'il se rendra aux États-Unis pour conclure un accord avec M. Trump, M. Albanese a répondu : « Je m'occuperai des intérêts de l'Australie ici même. »
Qualifiant la décision tarifaire de l'administration Trump de « non provoquée et injustifiée », la ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong, a déclaré que refuser une exemption n'était « pas la manière de traiter un ami et un partenaire. »
M. Trump avait déjà indiqué qu'il pourrait envisager d'exempter l'Australie des droits de douane de 25 % qui entreront en vigueur mercredi.
Le 10 février, M. Trump a signé des proclamations visant à faire passer les droits de douane sur l'aluminium de 10 à 25 %, en les alignant sur les droits de douane en vigueur pour l'acier. Il a également décidé d'éliminer les quotas en franchise de droits, les exemptions et les exclusions pour les droits de douane sur l'acier et l'aluminium.
Environ 1 milliard de dollars australiens (630 millions de dollars américains) d'exportations australiennes devraient être touchés.
M. Trump avait déclaré qu'il accorderait une « grande attention » à une exemption pour les produits australiens à la suite d'un appel téléphonique avec M. Albanese en février.
Toutefois, la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré aux médias australiens plus tôt dans la journée de mardi (heure locale des États-Unis) : « Il l'a envisagé et a envisagé de ne pas le faire. Il n'y aura pas d'exemptions ».
Interrogée sur les raisons de cette décision, Mme Leavitt a expliqué que cette politique était motivée par le principe « America First Steel », suggérant que si l'Australie souhaitait bénéficier d'une exemption, elle devrait « envisager de délocaliser la production d'acier ici ».
US tariffs 'entirely unjustified:' Australian PM
Australia will not impose retaliatory tariffs on the US, despite its failure to secure an exemption
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Dernière édition:
Il a raison, cela augmente le prix pour les consommateurs (sauf à trouver des sources alternatives).
C'est le Canada qui a trouvé la solution : au lieu d'infliger des droits de douane, supportés in fine par les consommateurs, il vaut mieux taxer les exportations, comme ils vont le faire pour l'électricité de l'Ontario.
(bon, cela ne fonctionne que pour des produits difficilement remplaçables, ou en situation de quasi-monopole)
Ben voilà, il n'y a qu'à déménager les mines de fer d'Australie vers les US.
Certes, cela ferait d'immenses trous à la surface de l'Australie (mais on s'en fout, c'est l'Australie ...), il faudrait trouver d'immenses bateaux pour transporter les mines, et il faudrait creuser d'immenses trous aux US pour les accueillir .... Mais à part ça, c'est un excellente idée...
Décidément, la Maison-Blanche regorge de génies !
Il y a d'autres solution envisageables pour éviter d'avoir à déménager les mines jusqu'au US.Ben voilà, il n'y a qu'à déménager les mines de fer d'Australie vers les US.
Certes, cela ferait d'immenses trous à la surface de l'Australie (mais on s'en fout, c'est l'Australie ...), il faudrait trouver d'immenses bateaux pour transporter les mines, et il faudrait creuser d'immenses trous aux US pour les accueillir .... Mais à part ça, c'est un excellente idée...
Décidément, la Maison-Blanche regorge de génies !
- Annexion de l'Australie par les US.
- Annexion des zones où se trouve le minerai par les US.
- Creuser un trou assez profond pour atteindre le minerai depuis les US (cf schema ci-dessous).
J'y ai pensé, mais ça revient à annexer l'Australie au final.
Par contre oui ce pourrait être utile pour faire un trou moins long.
Dernière édition:
« Optimiser les effectifs » : la Nasa annonce une vague de licenciements, dont celui de sa scientifique en chef
L’agence spatiale américaine s’est séparée de 23 employés, dont sa cheffe Katherine Calvin. Cette annonce s’inscrit dans un contexte de coupes budgétaires drastiques voulues par l’administration Trump dans le domaine de la science.
« Optimiser les effectifs » : la Nasa annonce une vague de licenciements, dont celui de sa scientifique en chef
L’agence spatiale américaine s’est séparée de 23 employés, dont sa cheffe Katherine Calvin. Cette annonce s’inscrit dans un contexte de coup
0,13% des effectifs qui ont été remerciés... on a vu pire: https://en.wikipedia.org/wiki/NASA« Optimiser les effectifs » : la Nasa annonce une vague de licenciements, dont celui de sa scientifique en chef
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« Optimiser les effectifs » : la Nasa annonce une vague de licenciements, dont celui de sa scientifique en chef
L’agence spatiale américaine s’est séparée de 23 employés, dont sa cheffe Katherine Calvin. Cette annonce s’inscrit dans un contexte de coupwww.leparisien.fr
Techniquement, tu rapproches les 2 territoires. L'Australie continue de creuser et les USA s'occuperont ensuite du transport des matériaux via des bateaux américains qui pourront se rendre sur la côte est via la canal de l'Amérique puis passer par le Golf de l'Amérique.
C'est une bonne idée, mais l'extraction reste en Australie.