ma mère m'a appris tout jeune que faire et défaire, c'est travailler. Avant les mecs démolissaient les murs pour les reconstruire 20cm plus loin. Puis ce fut les routes et les trottoirs. Désormais, ce sont les immeubles : on n'arrête pas le progrès. C'est la même raison que pour le sale boulot relevé par Lafoy dans son post d'au dessus : faire de la crasse, ça donne l'occasion de la refaire. Et ça c'est bon pour le PIB
(et certains qui s'en mettent plein les fouilles... et je n'ai pas écrit "fonctionnaires bien placés").