Aviation (boeing 737-8 max, ...)

À force de presser le citron, cette compagnie va finir dans les oubliettes de l’histoire de HK .. China Southern Airlines doit tirer des méga-plans sur la comète a ce rythme..

Cathay Pacific annule d’autres vols en raison du maintien des règles de quarantaine
La compagnie Cathay Pacific Airways, basée à l’aéroport international de Hong Kong (HKG), prévoit d’annuler certains vols de passagers en janvier en raison des restrictions en vigueur. Bien que ses règles de voyage soient déjà parmi les plus strictes au monde, Hong Kong a déclaré hier qu’elle renforçait ses restrictions à l’égard des personnes en provenance de ce qu’elle considère comme des pays à haut risque.

Les personnes arrivant à Hong Kong en provenance de pays à haut risque doivent rester en quarantaine pendant quatre jours dans le centre de quarantaines de Penny's Bay, situé dans les îles, puis passer le reste de leur période de quarantaines de 21 jours dans un hôtel approuvé par le gouvernement et réservé à l’avance. Le dépistage du COVID-19 est également obligatoire à l’arrivée et pendant les sept premiers jours à Hong Kong. Les passagers à l’arrivée doivent également se soumettre à un test les jours 9, 11, 13, 15, 17 et 19. Les nouvelles règles entrent en vigueur le 24 décembre et prévoient également que les passagers à l’arrivée doivent présenter un test PCR négatif effectué dans les 48 heures précédant le voyage, au lieu de 72 heures.

Dans une déclaration de Cathay Pacific publiée aujourd’hui et évoquant l’annulation de vols de passagers, la compagnie aérienne appartenant à Swire Pacific a déclaré :" le nouvel horaire consolidé entraînera l’annulation de plusieurs vol. »

Pressée par plusieurs organes de presse de fournir davantage d’informations, Cathay Pacific a refusé de dire quelles routes seraient affectées. Une source ,de l’industrie du voyage, qui n’était pas autorisée à parler publiquement de Cathay Pacific, a déclaré au service de presse Reuters qu’il pensait que les annulations concerneraient uniquement les vols long-courriers de Cathay Pacific vers l’Australie, l’Europe et l’Amérique du Nord.

Selon un article d’Executive Traveller citant Bloomberg News comme source, Cathay Pacific annulera presque tous les vols entre Hong Kong et l’Australie à partir du 1er janvier 2022. Les vols entre l’aéroport international de Hong Kong et l’aéroport de Sydney (SYD) passeront de deux vols par jour, comme c’est le cas actuellement, à deux vols par semaine. Cathay Pacific suspendra les vols entre Hong Kong et Melbourne, Brisbane et Perth. Les vols entre et Adélaïde étaient déjà arrêtés et le resteront.

Noël et le Nouvel An sont généralement des périodes chargées pour Cathay Pacific et Hong Kong. Cependant, cette année, en raison des règles strictes de quarantaine imposées par le pays, Cathay Pacific a réduit considérablement le nombre de ses vols. Lundi, Cathay Pacific a annulé tous ses vols au départ de New York jusqu’au 2 janvier après que trois passagers arrivant à Hong Kong en provenance de New York ont été testés positifs au COVID-19.

La capacité de Cathay Pacific à maintenir des vols réguliers a également été entravée par le fait que ses équipages sont contraints de rester loin de chez eux pendant plusieurs semaines d’affilée.

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il pensait de la situation à Hong Kong et de son impact sur Cathay Pacific, le PDG de Qatar Airways, qui détient 10 % des parts de Cathay Pacific, Akbar Al Baker, a déclaré que les règles COVID-19 de Hong Kong « tuaient » la compagnie aérienne. De son côté, John Grant, économiste en chef du fournisseur britannique de données sur les voyages internationaux OAG, estime que les règles strictes de Hong Kong pourraient détruire non seulement Cathay Pacific, mais aussi la position de la ville en tant que plate-forme asiatique majeure.

L’une des principales raisons pour lesquelles Hong Kong impose des règles strictes est qu’elle veut être en mesure d’ouvrir sa frontière avec la Chine continentale.

:violon:

BEIJING, 22 décembre (Reuters) - La dirigeante de Hong Kong, Carrie Lam, a déclaré mercredi qu'elle continuerait à travailler pour rétablir des déplacements normaux entre Hong Kong et la Chine. "Je continuerai à travailler dur et j'espère que la frontière sera bientôt ouverte", a-t-elle déclaré à la presse à Pékin, après avoir rencontré le président Xi Jinping et le Premier ministre Li Keqiang.
 
À force de presser le citron, cette compagnie va finir dans les oubliettes de l’histoire de HK .. China Southern Airlines doit tirer des méga-plans sur la comète a ce rythme..
Une faillite de Cathay Pacicific ferait l’affaire de Bill Wong, milliardaire chinois sur le point lancer GBA (Greater Bay Airlines), compagnie basée à HK, qui devrait prendre son envol en 2022.
Une faillite de Cathay Pacicific ferait l’affaire de Bill Wong, milliardaire chinois sur le point lancer GBA (Greater Bay Airlines), compagnie basée à HK, qui devrait prendre son envol en 2022.

 

Omicron : Lufthansa supprime 10% de ses vols cet hiver

La propagation du variant Omicron, en faisant chuter le nombre de réservations, est en cause.

Extrait : La première compagnie aérienne européenne, Lufthansa, va annuler des dizaines de milliers de vols durant l'hiver en raison de la propagation du variant Omicron du coronavirus, a indiqué jeudi son PDG. «Nous observons de mi-janvier à février une forte baisse des réservations», c'est pourquoi «nous devons annuler 33.000 vols, soit environ 10% du programme de vols d'hiver», a déclaré Carsten Spohr, PDG de Lufthansa, dans une interview au quotidien Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS).

La compagnie allemande a également annoncé jeudi qu'elle allait annuler des liaisons transatlantiques vers l'Amérique du Nord reliant principalement les villes de Boston, Houston et Washington et ce du 23 au 26 décembre, en raison de «l'augmentation du taux de maladie» chez les pilotes, selon un porte-parole de l'entreprise.

Ca me parait enorme 330000 vols sur un programme d'hiver ? :hum:Surtout en ce moment ... :)
 
La Chine introduit des contrôles de sécurité plus faciles dans les principaux aéroports

2022-01-06

Les autorités de l'aviation civile chinoise ont introduit des mesures de contrôle de sécurité plus sûres, plus efficaces et plus confortables dans les principaux aéroports du pays afin d'améliorer les services aux passagers.

Communique : Le service dit de "contrôle de sécurité facile" a été mis en place dans 40 grands aéroports ayant chacun un débit annuel de plus de 10 millions de passagers à partir du 1er janvier, selon l'Administration de l'aviation civile de Chine (CAAC).
Cette nouvelle mesure devrait permettre de renforcer les contrôles de sécurité dans les aéroports et de mieux servir les passagers en leur offrant des services plus efficaces et plus variés, a déclaré la CAAC.

Des voies de contrôle de sécurité exclusives seront ouvertes aux passagers qui ont terminé le processus d'enregistrement et de réservation.

Les passagers aériens doivent d'abord procéder à l'enregistrement et à la certification de leur nom réel dans les aéroports ou sur la plateforme du service des affaires gouvernementales nationales. Ensuite, ils peuvent prendre rendez-vous pour un "contrôle de sécurité facile" dans les 48 heures précédant le départ. Ils peuvent également accéder au service à l'aéroport après avoir acheté un billet et complété l'enregistrement.

Les nouvelles mesures de contrôle de sécurité se caractérisent par des vérifications précises, des flux simplifiés, une rapidité accrue et une meilleure expérience pour les passagers dans les aéroports, en particulier les aéroports très fréquentés où les flux de passagers sont importants, a déclaré la CAAC.

 

La Chine vise la période 2023-2025 pour la reprise des vols internationaux​


PÉKIN (Reuters) - La Chine se concentrera entre 2023 et 2025 sur le développement des vols intérieurs et le rétablissement des voyages aériens internationaux, a déclaré vendredi l'Administration de l'aviation civile de Chine (CAAC), à l'occasion de la publication d'un nouveau plan de développement sur le secteur lourdement frappé par la pandémie.

Le trafic aérien intérieur chinois est pénalisé par la politique de tolérance zéro adoptée par le pays pour contenir les foyers d'infections. Cette politique s'est intensifiée à l'approche des Jeux olympiques d'hiver de Pékin et le début de la saison des voyages pour le Nouvel An lunaire.

En raison de la pandémie, ce nouveau plan quinquennal de développement pour la période allant de 2021 à 2025 a été divisé en deux parties, a expliqué le CAAC.

Sur la période 2021-2022, la Chine consolidera ses efforts en matière de contrôle et de prévention du COVID-19, tout en se concentrant sur les réformes et en spécifiant davantage de mesures de soutien, supposées aboutir ultérieurement à une "dynamique de développement".
La période allant de 2023 à 2025 sera dédiée à la croissance, a indiqué la CAAC.

"L'accent sera mis sur l'expansion du marché intérieur, le rétablissement du marché international, la libération de l'impact des réformes et l'amélioration du niveau d'ouverture (au monde)", a-t-elle déclaré.

Selon la CAAC, la Chine souhaite disposer de plus de 270 aéroports civils d'ici 2025, contre 241 aéroports dénombrés fin 2020.
Elle vise également à réduire ses émissions de CO2 par tonne-kilomètre à 0,853 gramme d'ici 2025, contre 0,948 gramme en 2020.
 

Airbus annonce l'ouverture d'un centre de recyclage d'avions en Chine

Le site aura une capacité de stockage de 125 avions.

Communique : Airbus et sa filiale Tarmac Aerosave vont ouvrir le premier centre de recyclage d'avions en Chine, a annoncé mardi dans un communiqué l'avionneur européen, qui a signé un protocole d'accord en ce sens avec la ville de Chengdu, dans le sud-ouest du pays. «On prévoit une augmentation exponentielle du nombre d'avions retirés du marché en Chine dans les 20 prochaines années», a indiqué Klaus Roewe, directeur du service client d'Airbus, cité dans le communiqué .

L'avionneur «s'engage à investir dans la région et ce site unique - le premier en Chine et en dehors d'Europe - permet à Airbus de prendre position sur le marché du recyclage des avions en Chine», a-t-il ajouté. Un accord formel doit être signé mi-2022, avant une ouverture du centre prévue pour la fin 2023. Le site s'étendra sur une surface de 690.000 m² et aura une capacité de stockage de 125 avions.

Pièces détachées

Chengdu, la capitale du Sichuan, accueille le site de l'avionneur chinois Comac et est au coeur de l'industrie aéronautique en Chine. D'après le communiqué d'Airbus, Tarmac Aerosave offrira des services de parking, mais aussi de maintenance, de modernisation, de transformation, de démantèlement et de recyclage pour différents types d'avion.

Une autre filiale d'Airbus, Satair, sera installée dans le même centre avec pour mission d'acheter de vieux avions pour ensuite les revendre en pièces détachées. «C'est une nouvelle contribution concrète au développement durable de l'industrie aéronautique», a salué Klaus Roewe. Il existe déjà des sites de Tarmac Aerosave à Tarbes (Hautes-Pyrénées), mais aussi à Teruel (Espagne), Toulouse (Haute-Garonne) et Vatry (Marne).

La société, filiale d'Airbus, Safran et Suez fondée en 2007, s'est donné pour mission de recycler de façon écoresponsable les avions arrivant en fin de vie, mais assure aussi un service de stockage et de maintenance.

 

Airbus annonce l'ouverture d'un centre de recyclage d'avions en Chine

Le site aura une capacité de stockage de 125 avions.

Communique : Airbus et sa filiale Tarmac Aerosave vont ouvrir le premier centre de recyclage d'avions en Chine, a annoncé mardi dans un communiqué l'avionneur européen, qui a signé un protocole d'accord en ce sens avec la ville de Chengdu, dans le sud-ouest du pays. «On prévoit une augmentation exponentielle du nombre d'avions retirés du marché en Chine dans les 20 prochaines années», a indiqué Klaus Roewe, directeur du service client d'Airbus, cité dans le communiqué .

L'avionneur «s'engage à investir dans la région et ce site unique - le premier en Chine et en dehors d'Europe - permet à Airbus de prendre position sur le marché du recyclage des avions en Chine», a-t-il ajouté. Un accord formel doit être signé mi-2022, avant une ouverture du centre prévue pour la fin 2023. Le site s'étendra sur une surface de 690.000 m² et aura une capacité de stockage de 125 avions.

Pièces détachées

Chengdu, la capitale du Sichuan, accueille le site de l'avionneur chinois Comac et est au coeur de l'industrie aéronautique en Chine. D'après le communiqué d'Airbus, Tarmac Aerosave offrira des services de parking, mais aussi de maintenance, de modernisation, de transformation, de démantèlement et de recyclage pour différents types d'avion.

Une autre filiale d'Airbus, Satair, sera installée dans le même centre avec pour mission d'acheter de vieux avions pour ensuite les revendre en pièces détachées. «C'est une nouvelle contribution concrète au développement durable de l'industrie aéronautique», a salué Klaus Roewe. Il existe déjà des sites de Tarmac Aerosave à Tarbes (Hautes-Pyrénées), mais aussi à Teruel (Espagne), Toulouse (Haute-Garonne) et Vatry (Marne).

La société, filiale d'Airbus, Safran et Suez fondée en 2007, s'est donné pour mission de recycler de façon écoresponsable les avions arrivant en fin de vie, mais assure aussi un service de stockage et de maintenance.

Les Airbus, ça va dans la poubelle jaune ou dans la poubelle verte ? :hum: :hum:
 
Une fois les moteurs , l'avionique , et les trains d'aterrissages recuperes ( en potentiel et en etat c'est evident ) le reste va finir en jolis lingots d'alliages dans les fonderies chinoises ! :)
En France Tarmac Aerosave recycle a plus de 90 % chaque avion. J’imagine qu’en Chine il serait capable de faire du 99 %.

La première étape, c’est le démantèlement. La société récupère 1 000 à 1 500 pièces détachées (calculateurs, trains, commandes de vol, etc.) qui vont être réutilisées en opération et qui sont revendues à des brokers ou des compagnies aériennes. Puis vient le recyclage pur qui permet de donner une deuxième vie aux matériaux et enfin certaines housses ou tissus servent à générer de l’énergie par exemple pour des centrales thermiques.

(huile moteurs, kérosène, circuits hydrauliques…) et des matériaux dangereux (amiante, uranium appauvri, explosifs pour les toboggans, extincteurs au gaz halon…). Tous ces fluides et autres matières dangereuses répertoriées ainsi récupérés sont remis à des filières de traitement adapté. La dernière étape du démantèlement, la découpe, est la plus longue.
Hublots, moquettes, panneaux composites (planchers), pneumatiques… 30 % du poids de l’appareil correspond à du caoutchouc, du plastique, du bois ou du verre, des matériaux recyclables qui vont rejoindre des filières spécialisées.(séparation de la résine et des fibres ) les éléments métalliques comme la carcasse des fauteuils, la carlingue de l’avion, les trains d’atterrissage, les commandes, les réacteurs, les ailes et les circuits électriques sont démontés ou découpés pour être recyclés.

147 tonnes de métal sont revalorisées sur un gros porteur, dont 85 % d’alliage d’aluminium, 10 % d’acier, 3 % de titane et 2 % de cuivre.
 
Sacré concours de phallus.
WASHINGTON : Le gouvernement américain a annoncé vendredi qu’il suspendait 44 vols à destination de la Chine effectués par quatre transporteurs chinois au départ des États-Unis, en réponse à la décision du gouvernement chinois de suspendre certains vols de transporteurs américains pour des raisons liées au COVID-19.

Les suspensions commenceront le 30 janvier avec le vol régulier Los Angeles-Xiamen de Xiamen Airlines et se poursuivront jusqu’au 29 mars, a indiqué le ministère des Transports.Cette décision entraînera la suppression de certains vols de Xiamen, Air China, China Southern Airlines et China Eastern Airlines.

Depuis le 31 décembre, les autorités chinoises ont suspendu 20 vols de United Airlines, 10 d’American Airlines et 14 de Delta Air Lines, après que certains passagers ont été testés positifs au COVID-19. Pas plus tard que mardi, le ministère des Transports a déclaré que le gouvernement chinois avait annoncé de nouvelles annulations de vols américains.

Liu Pengyu, porte-parole de l’ambassade de Chine à Washington, a déclaré vendredi que la politique relative aux vols internationaux de passagers entrant en Chine "a été appliquée de manière égale aux compagnies aériennes chinoises et étrangères, de façon équitable, ouverte et transparente".

Il a qualifié la démarche des États-Unis de "très déraisonnable" et a ajouté : "Nous demandons instamment à la partie américaine de cesser de perturber et de restreindre les vols de passagers normaux" des compagnies aériennes chinoises."

Airlines for America, un groupe commercial représentant les trois transporteurs américains affectés par la mesure de la Chine ainsi que d’autres, a déclaré qu’il soutenait l’action de Washington "pour assurer le traitement équitable des compagnies aériennes américaines sur le marché chinois".

Le ministère des Transports a déclaré que la France et l’Allemagne ont pris des mesures similaires contre les actions de la Chine concernant le COVID-19. Il a déclaré que la suspension par la Chine des 44 vols "est contraire à l’intérêt public et justifie une action corrective proportionnée". Elle a ajouté que les "actions unilatérales de la Chine contre les transporteurs américains cités sont incompatibles" avec un accord bilatéral.

La Chine a également suspendu de nombreux vols américains assurés par des transporteurs chinois après que des passagers ont été testés positifs.

Le ministère a déclaré qu’il était prêt à revoir son action si la Chine révisait ses "politiques pour améliorer la situation des transporteurs américains". Il a prévenu que si la Chine annule d’autres vols, "nous nous réservons le droit de prendre des mesures supplémentaires".

La Chine a pratiquement fermé ses frontières aux voyageurs, réduisant le nombre total de vols internationaux à seulement 200 par semaine, soit 2 % du niveau d’avant la pandémie, a déclaré en septembre l’Administration de l’aviation civile de Chine (CAAC).

Le nombre de vols américains supprimés a bondi depuis décembre, lorsque les infections causées par la variante Omicron du coronavirus, hautement contagieuse, ont atteint des niveaux record aux États-Unis.

Pékin et Washington se sont opposés sur les services aériens depuis le début de la pandémie. En août, le ministère américain des Transports a limité quatre vols de transporteurs chinois à 40 % de leur capacité pendant quatre semaines, après que Pékin eut imposé des limites identiques à quatre vols de United Airlines.

Avant les récentes annulations, trois compagnies aériennes américaines et quatre compagnies chinoises assuraient environ 20 vols par semaine entre les deux pays, ce qui est bien inférieur au chiffre de plus de 100 par semaine avant la pandémie.
 
China Southern fait voler un Boeing 737 MAX pour la première fois cette année
Après près de trois ans d’immobilisation au sol des Boeing 737 MAX de Chine, le plus grand opérateur du pays se prépare à leur remise en service. Vendredi, China Southern a effectué un vol d’essai avec l’un des appareils MAX 8 de la compagnie au départ de Guangzhou, pour la première fois en 2022.

L’avion a fait l’aller-retour entre le siège de la compagnie et l’aéroport international de Guangzhou Baiyun, sans aucun passager. Selon Reuters, le vol a duré précisément trois heures et 33 minutes. China Southern a pris livraison de 24 avions MAX 8 jusqu’à présent et attend la livraison de 43 autres.

De son côté, Hainan Airlines, basée à l’aéroport international de Haikou Meilan (HAK), possède 11 Boeing 737 MAX 8 dans sa flotte. Le transporteur a récemment effectué un vol MAX le 9 janvier, de Taiyuan, où une partie de la flotte est stationnée, à Haikou. Ce vol a duré deux heures et 52 minutes.
 
Cela ne s’améliore pas entre Qatar et Airbus.
Airbus doit sacrément sûr de leur coup pour faire cette annulation. Ça remettra un peu l’église au centre du village pour les futurs contentieux.
 
Cela ne s’améliore pas entre Qatar et Airbus.
Airbus doit sacrément sûr de leur coup pour faire cette annulation. Ça remettra un peu l’église au centre du village pour les futurs contentieux.
Avec les déboires du 737 MAX, Airbus a un carnet de commande très bien rempli. Ils essayent de satisfaire les contrats les plus juteux, et de se débarrasser de ceux (conclus à une époque moins favorable) qui le sont moins.
Pour une fois que l'avionneur est en position de force, et non la compagnie, ils auraient tort de s'en priver.
 
Hong Kong donne le feu vert au B737 MAX....et toujours feu orange pour le Chine.

Après près de trois ans, Hong Kong autorise les compagnies aériennes à reprendre leurs activités avec l’avion Boeing B737 MAX dans l’espace aérien de la ville. Le département de l’aviation civile (CAD) de Hong Kong a publié une directive vendredi, levant son interdiction sur le modèle à fuselage étroit.

Presque tous les pays ont re-certifié le modèle Boeing 737 MAX à cette heure, suite à un scandale de sécurité causé par deux crashs mortels en 2018 et 2019. Le crash des vols JT610 et ET302 de Lion Air et Ethiopian Airlines, respectivement, a entraîné la mort de 346 personnes.

À la suite du second accident (le 10 mars 2019), les autorités de l’aviation civile du monde entier ont interdit le MAX dans leurs espaces aériens. Boeing a dû re-certifier l’appareil, en corrigeant plusieurs problèmes de conception, notamment le système MCAS.

Le 9 décembre, la compagnie brésilienne GOL a été le premier transporteur à reprendre le service passager avec le type, suite à la re-certification de la Federal Aviation Administration.

Néanmoins, plusieurs pays, notamment la Chine, ont continué à travailler sur un processus de re-ertification.avec Boeing.

Aujourd’hui, le département de l’aviation civile de Hong Kong a publié une directive levant son interdiction sur ce modèle d’avion. Bien qu’il n’y ait aucun opérateur local du MAX, Hong Kong a énoncé plusieurs règles. Les compagnies aériennes qui ont l’intention de faire voler le modèle dans l’espace aérien de Hong Kong et vers l’aéroport international doivent se conformer à la consigne de navigabilité de la FAA ou à une consigne similaire du pays où l’avion a été enregistré, a déclaré Victor Liu, le directeur général de la DAC.

En outre, la compagnie aérienne doit être munie d'un certificat de navigabilité valide répondant aux normes de l'Organisation de l'aviation civile.
 
Le programme controversé du C919 continue d’accumuler les frustrations pour COMAC son avionneur et le gouvernement chinois.
L’avion semble encore loin d’entrer en service, plus de 10 ans après le début de la fabrication du prototype.
https://www.wingz.fr/wp-content/uploads/2015/11/avion-chinois-c919.jpg
 

Je savait pas trop si fallait mettre ici ou vos voitures preferees
 

Cathay prévoit le plus long vol passager au monde en évitant la Russie​

Cathay Pacific prévoit d'assurer le vol de passagers le plus long au monde avec la déviation de son New York-Hong Kong qui survolerait l'Atlantique plutôt que l'Arctique afin d'éviter la Russie.

17h dans l'avion !! Faut vraiment le vouloir. Autant faire une escale en Europe pour se reposer un peu.