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Airbus commence à travailler sur sa deuxième chaîne d'assemblage final en Chine

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28 septembre 2023

Airbus commence à travailler sur sa deuxième chaîne d'assemblage final en Chine alors que le constructeur aéronautique européen cherche à se développer sur le marché chinois.

Communique : La pose de la première pierre dans la municipalité de Tianjin, dans le nord de la Chine, marque une nouvelle étape après qu'Airbus a signé un accord sur le projet avec Tianjin Free Trade Zone Investment Company Ltd. et Aviation Industry Corporation of China, Ltd. en avril 2023.

Le projet d'expansion devrait entrer en service à la fin de l'année 2025, a indiqué Airbus dans un communiqué. Il permettra de fabriquer à la fois des A320 et des A321neo, les plus récents avions monocouloirs d'Airbus, afin de répondre à la demande croissante.

La deuxième chaîne d'assemblage final (FAL) sur le site Airbus de Tianjin fait partie du plan global d'expansion de la production d'Airbus pour la famille A320. L'objectif est de produire 75 avions par mois en 2026, grâce à l'exploitation de dix lignes d'assemblage final mondiales, dont deux à Tianjin, deux à Toulouse (France), deux à Mobile (États-Unis) et quatre à Hambourg (Allemagne), selon le communiqué.

Ce projet d'expansion témoigne de l'engagement à long terme d'Airbus envers l'industrie aéronautique chinoise.

Il s'agit d'un puissant vote de confiance dans l'avenir de l'aviation en Chine, a déclaré Guillaume Faury, PDG d'Airbus, par liaison vidéo, ajoutant qu'il soulignait également la longue relation de confiance et de succès qu'Airbus entretient avec ses partenaires en Chine.

Le trafic intérieur et international en Chine, qui accueille certaines des plus grandes compagnies aériennes du monde, est promis à une croissance rapide et à long terme, a ajouté M. Faury.

"Cette année marque le 15e anniversaire de l'inauguration de Tianjin FAL, avec plus de 630 avions monocouloirs assemblés et livrés. Cela signifie qu'environ 30 % des avions Airbus volant en Chine ont été assemblés ici", a déclaré George Xu, vice-président exécutif (EVP) d'Airbus et CEO d'Airbus China.

La ligne d'assemblage final d'Airbus Asie à Tianjin, inaugurée en septembre 2008, est la première ligne d'assemblage final située en dehors de l'Europe.

Le projet d'expansion démontre qu'Airbus continue d'investir dans ses installations de Tianjin afin de mieux servir le marché chinois grâce à son système de production mondial, a déclaré M. Xu.

"Depuis 15 ans, notre ligne d'assemblage final de Tianjin est un élément clé de notre stratégie industrielle mondiale visant à assembler des avions à proximité de nos clients et à établir un partenariat avec le secteur aéronautique chinois pour une industrie florissante", a déclaré Julie Kitcher, vice-présidente exécutive d'Airbus chargée de la communication et des affaires générales.

En tant que projet majeur de coopération stratégique sino-européenne, le projet Airbus Tianjin constitue une plateforme importante pour la coopération pragmatique bilatérale, le développement conjoint et les résultats mutuellement bénéfiques dans le secteur de l'aviation, a déclaré Hao Zhaoping, président de l'Aviation Industry Corporation of China, Ltd.

Il jouera également un rôle important dans la stabilisation de la chaîne industrielle mondiale de l'aviation et dans la relance du marché mondial de l'aviation, a ajouté M. Hao.

Li Chunlin, directeur adjoint de la Commission nationale pour le développement et la réforme, a déclaré que la Commission soutiendrait Airbus dans sa collaboration avec les partenaires chinois afin d'étendre la coopération à l'avenir tout en jouant pleinement sur leurs forces respectives.

"La pandémie de COVID est désormais derrière nous. L'avenir de l'aviation est prometteur. Et nous en écrivons un nouveau chapitre ici à Tianjin", a déclaré M. Faury.


 
Le C919 chinois obtient la plus grosse commande d'avions jamais enregistrée
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28 septembre 2023

China Eastern Airlines a signé jeudi un contrat d'achat avec Commercial Aircraft Corporation of China, Ltd. (COMAC) pour 100 avions C919 supplémentaires, marquant la plus grande commande unique pour le grand avion de passagers développé par la Chine.

Communique : Selon le plan, les nouveaux avions C919 achetés par la compagnie aérienne seront livrés par lots entre 2024 et 2031.

Zhang Yuan, directeur général du département de planification de China Eastern Airlines, a déclaré que ce nouveau contrat d'achat est conclu à un moment où le marché de l'aviation civile présente un potentiel important, où la compagnie aérienne a besoin de renouveler sa flotte et où le C919 a démontré des performances commerciales initiales prometteuses.

China Eastern Airlines a passé une commande de cinq avions C919 en 2021. La compagnie a pris livraison de deux jets et les a mis en service sur la liaison aérienne entre les villes de Shanghai et Chengdu.

Au 26 septembre, les deux avions ont accumulé plus de 1 140 heures de vol, dont plus de 867 heures d'exploitation commerciale. Ils ont effectué 296 vols commerciaux, transportant plus de 35 000 passagers.

China Eastern Airlines prévoit de prendre livraison de son troisième avion C919 en octobre de cette année. La compagnie prévoit d'ouvrir de nouvelles lignes d'ici juin 2024, ce qui permettra à un plus grand nombre de passagers de découvrir le C919.

Depuis que le projet C919 a été lancé en 2007, il a connu un long parcours de conception, de fabrication, d'essais en vol et de commercialisation.

Développé par COMAC, le premier avion C919 est sorti de la chaîne de production à Shanghai en novembre 2015. L'avion a effectué avec succès son premier vol en 2017.

Le C919 a effectué son premier vol commercial en mai, marquant son entrée officielle sur le marché de l'aviation civile.

La Chine dispose d'un marché de l'aviation civile massif et à fort potentiel. Selon les prévisions de marché publiées par la COMAC fin 2022, sur la période 2022-2041, le marché chinois de l'aviation civile recevra 9 284 nouveaux avions, dont 6 288 avions de ligne à couloir unique.

D'ici 2041, la Chine devrait être le plus grand marché mondial de l'aviation civile à l'échelle d'un seul pays, selon les prévisions.

 

Ce n'est pas bon de dependre d'un seul fabricant , et il faudra encore des annees pour produire un moteur fiable et homologue en Chine , les russes produisent un moteur interessant , mais bon que vaut-il , il a l'air en developpement egalement ? :hum:


Introduction : Le PD-14 (Prospective Engine with 14 tf thrust) est le moteur de base d'une famille de turboréacteurs civils russes prometteurs, développés par United Engine Corporation (UEC) pour la famille d'avions de ligne MC-21.

Le PD-14 est le moteur le plus avancé créé en Russie et revendique sa place légitime parmi les centrales d'aviation civile les plus avancées au monde. Appartenant à la 5e génération, il a intégré toutes les dernières technologies, solutions et matériaux disponibles à l'heure actuelle, ce qui, dès le stade de la création, a permis à l'ensemble de l'industrie russe de la construction de moteurs de faire un énorme bond en avant : de la science et du développement aux essais et à la production.

Grâce aux connaissances et aux technologies acquises lors de la création de ce moteur, l'industrie a la possibilité de créer d'autres moteurs avancés de différentes catégories. Plusieurs grands projets sont déjà en cours, du petit PD-8 au très puissant PD-35, qui est en cours de développement pour les transports lourds et les avions de ligne long-courriers.

Dans l'article d'aujourd'hui, nous examinerons de plus près le PD-14, nous apprendrons comment les créateurs sont parvenus à atteindre les hautes performances du moteur, comment il a été développé, comment il a été produit et quels sont les avantages qui lui permettront d'être compétitif sur l'un des marchés les plus complexes et les plus concurrentiels au monde sur le plan technologique.


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Ce reacteur est peut-etre un compromis en cas de soucis avec General Electric / Safran , soucis qui ne vont pas manquer ineluctablement de pointer leurs museaux , en attendant le CJ-1000 A chinois qui va prendre vraisemblamement encore quelques annees de mise au point ... :hum:
 
Dernière édition:
21 octobre 2023


Edito : Pour prendre pied dans le domaine de l'aviation, la Chine a consacré 14 ans et des dizaines de milliards de dollars à la recherche et au développement aéronautique. En 2022, la Chine a lancé avec succès un modèle d’avion de passagers appelé C919, brisant le monopole séculaire de Boeing et Airbus dans le domaine de l’aviation.

Deux années seulement se sont écoulées, et les commandes chinoises pour le modèle d’avion de passagers C919 dépassent désormais les 1 200 unités, et des licences de navigabilité ont été obtenues auprès de 27 pays. C'est pour cette raison que certains médias occidentaux affirment que le succès du C919 chinois deviendra un nouveau concurrent pour Boeing et Airbus.

Mais il est indéniable que tout pays qui développe des technologies ou des technologies susceptibles de constituer une menace pour les intérêts commerciaux américains sera vulnérable aux sanctions américaines. Le moteur de l'avion chinois C919 utilisant le moteur LEAP-1C développé par la société américaine General Electric, il est susceptible de faire l'objet de sanctions.

Il a été rapporté que certains hommes politiques américains ont même affirmé que le succès de l'avion chinois C919 avait nui aux intérêts commerciaux nationaux des États-Unis et que la société américaine General Electric devait cesser de fournir des moteurs d'avion à la Chine. Cependant, cette décision pourrait exposer les États-Unis eux-mêmes à un risque de compensation pouvant atteindre 7,8 milliards de dollars.

Dans la vidéo d'aujourd'hui, nous aborderons plusieurs questions en profondeur : l'avion de ligne chinois C919 s'appuie-t-il actuellement sur des moteurs fournis par les États-Unis ? Une fois que les États-Unis auront arrêté leur livraison, à quels défis le C919 chinois sera-t-il confronté ?
 
Airbus commence à travailler sur sa deuxième chaîne d'assemblage final en Chine

S'il y a bien qqchose que je ne comprends pas, c'est la necessite de fabriquer des usines d'assemblage d'avion en Chine :mur: Un avion est typiquement le genre de produit qui peut etre fabrique n'importe ou et delivre par les airs au client final. Donc quel est l'interte de construire une usine d'assemblage en Chine ou il est evident que les process vont etre copies?

Il devrait y avoir une entente Airbus-Boeing pour ne pas fabriquer en Chine justement.
 
S'il y a bien qqchose que je ne comprends pas, c'est la necessite de fabriquer des usines d'assemblage d'avion en Chine :mur: Un avion est typiquement le genre de produit qui peut etre fabrique n'importe ou et delivre par les airs au client final. Donc quel est l'interte de construire une usine d'assemblage en Chine ou il est evident que les process vont etre copies?

Il devrait y avoir une entente Airbus-Boeing pour ne pas fabriquer en Chine justement.
Je me rappelle le discours d'un intervenant lors de mon master il y a maintenant 20 ans.
Il avait une chaine de montage en Chine et il s'avait très bien que les chinois pouvaient copier ses produits et même qu'il pouvait y avoir des produits tombant du camion, comprendre des produits fabriqués en plus à l'insu de la maison mère. Il s'en foutait limite royalement.
Pour contrer cela, il a finalement eu l'idée de garder un partie du produit final de fabriqué en France et de l'envoyer en Chine pour l'assemblage final. Ainsi il savait combien de produits devaient sortir chaque mois comme il contrôlait une des matières premières. Et surtout ses équipent en Chine ne pouvaient pas copier le produit manquant.
C'est pareil pour les avions, Airbus et Boing savent qu'il va y avoir des fuites mais en gardant la main sur les moteurs, ils ont toujours un temps d'avance sur la Chine et elle ne pourra pas copier un moteur de sitôt.
 
21 octobre 2023


Edito : Pour prendre pied dans le domaine de l'aviation, la Chine a consacré 14 ans et des dizaines de milliards de dollars à la recherche et au développement aéronautique. En 2022, la Chine a lancé avec succès un modèle d’avion de passagers appelé C919, brisant le monopole séculaire de Boeing et Airbus dans le domaine de l’aviation.

Deux années seulement se sont écoulées, et les commandes chinoises pour le modèle d’avion de passagers C919 dépassent désormais les 1 200 unités, et des licences de navigabilité ont été obtenues auprès de 27 pays. C'est pour cette raison que certains médias occidentaux affirment que le succès du C919 chinois deviendra un nouveau concurrent pour Boeing et Airbus.

Mais il est indéniable que tout pays qui développe des technologies ou des technologies susceptibles de constituer une menace pour les intérêts commerciaux américains sera vulnérable aux sanctions américaines. Le moteur de l'avion chinois C919 utilisant le moteur LEAP-1C développé par la société américaine General Electric, il est susceptible de faire l'objet de sanctions.

Il a été rapporté que certains hommes politiques américains ont même affirmé que le succès de l'avion chinois C919 avait nui aux intérêts commerciaux nationaux des États-Unis et que la société américaine General Electric devait cesser de fournir des moteurs d'avion à la Chine. Cependant, cette décision pourrait exposer les États-Unis eux-mêmes à un risque de compensation pouvant atteindre 7,8 milliards de dollars.

Dans la vidéo d'aujourd'hui, nous aborderons plusieurs questions en profondeur : l'avion de ligne chinois C919 s'appuie-t-il actuellement sur des moteurs fournis par les États-Unis ? Une fois que les États-Unis auront arrêté leur livraison, à quels défis le C919 chinois sera-t-il confronté ?
Cette vidéo est bourrée d'approximations, de mauvaise foi, d'erreurs.

On se demande si c'est du wishful thinking, de la propagande ou carrément de la désinformation.

Exemples :

- le nombre de commandes (1200 ?) additionne allègrement les commandes fermes, les options, les lettres d'intention, (et oublie peut-être même les annulations). Au 11/10/22 Wikipedia recensait 698 commandes et 120 options. Se sont ajoutées 300 unités en novembre 2022, provenant de compagnies de leasing chinoises.

- les clients étrangers : la vidéo cite 20 commandes de GE, des commandes d'Allemagne et des commandes de Thaïlande. En fait GECAS a commandé 10 appareils et placé une option sur 10 autres (c'est le moins que GE pouvait faire en étant fournisseur de Comac). La commande allemande (7 avions) venait de PuRen Airlines, une start-up allemande à capitaux chinois. La compagnie n'a jamais vu le jour et la commande a été annulée. La commande Thaïlandaise (10 avions) émanait de City Airways, compagnie qui a mis la clé sous la porte en 2016.

- le fournisseur de réacteurs n'est pas GE, mais CFM International, joint venture 50/50 de GE et Safran

- 27 pays ont donné le certificat de navigabilité. Impossible d'en trouver la liste. Mais il doit s'agir de pays comme les iles Salomon, la Papouasie, la Guinée Bissau, le Suriname... qui ne disposent d'aucune compétence aéronautique et se contentent de mettre un coup de tampon sur le certificat chinois.

- Commande de Brunei de 30 appareils qui seront livrés d'ici 2 ans : en fait il s'agit de 15 ARJ21 et 15 C919 commandés par Gallop Airlines, compagnie en cours de création qui recherche encore des investisseurs et qui ne pourra commencer les opérations que lorsque Comac aura livré des avions et que l'avion aura été certifié à Brunei.

- Parlons des livraisons : a ce jour, seul 2 appareils ont été livrés, 1 en décembre 2022 et 1 en juillet 2923. China Eastern (à qui ont été livrés ces 2 avions, en prévoit 4 de plus d'ici fin 2023, mais 0 en 2024 et 0 en 2025. Air China ne fait apparaitre aucun C919 dans ses prévisions 2023-2025. Même chose chez China Southern.
En résumé, les livraisons se font au compte-goutte, mais comme les compagnies ne les attendent pas vraiment, ce n'est pas grave.

- Pour répondre aux critiques disant que Comac n'était qu'un assembleur largement dépendant des équipementiers étrangers, la vidéo dit que c'est le cas aussi pour Boeing et Airbus et que leurs taux de localisation" n'était que de 40% et 30% respectivement. Elle prend l'exemple du B737 dont "seul" 67,3% en valeur est fourni par les US, le reste devant être importé du RU et de France. Et pour l'A320, les US ne fournissent que 37,7%, le reste venant du RU, de France, d'Allemagne et autres pays (sic). Non seulement l'auteur oublie que les US et l'Europe ne sont pas en guerre commerciale, mais il semble croire qu'Airbus est une société américaine qui ne localise aux US que 30% de sa VA !!!!

- La vidéo dit ensuite que si GE arrête la fourniture de moteurs, la Chine peut renforcer sa coopération avec Airbus !!!! Oubliant toujours que c'est CFM et non GE le fournisseur de réacteurs, et semblant croire qu'Airbus fait des réacteurs .... Quand au CJ1000 qui pourrait remplacer le LEAP, les prévisions les plus optimistes voient une mise en service en 2030.... mais 2035 parait plus réaliste.

- La vidéo semble dire que les réacteurs sont les seuls équipements critiques approvisionnés en occident. C'est loin d'être le cas, mais un petit dessin vaut mieux qu'un grand discours :

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-Enfin la fin de la vidéo vante la coopération sino-sovietique pour le C929, mais ne semble pas être informé qu'en aout 2023, la Russie a officialisé son retrait du projet (il y avait déjà de l'eau dans le gaz avant...)

En conclusion, c'est une vidéo de DÉSINFORMATION à vocation PROPAGANDISTE....

@lafoy-china : d'habitude les propagandes que tu publies sont mieux faites :langue:
 
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Je me rappelle le discours d'un intervenant lors de mon master il y a maintenant 20 ans.
Il avait une chaine de montage en Chine et il s'avait très bien que les chinois pouvaient copier ses produits et même qu'il pouvait y avoir des produits tombant du camion, comprendre des produits fabriqués en plus à l'insu de la maison mère. Il s'en foutait limite royalement.
Pour contrer cela, il a finalement eu l'idée de garder un partie du produit final de fabriqué en France et de l'envoyer en Chine pour l'assemblage final. Ainsi il savait combien de produits devaient sortir chaque mois comme il contrôlait une des matières premières. Et surtout ses équipent en Chine ne pouvaient pas copier le produit manquant.
C'est pareil pour les avions, Airbus et Boing savent qu'il va y avoir des fuites mais en gardant la main sur les moteurs, ils ont toujours un temps d'avance sur la Chine et elle ne pourra pas copier un moteur de sitôt.

Il a bien fait. Je lis justement la biographie d'Elon Musk et il dit que concevoir un produit (en l'occurence des voitures) ce n'est aps le plus complique. Ce qui est reelement dur, c'est de concevoir l'outil (a savoir la chaine de production) qui va servir a fabriquer le produit.

Aussi, il dit qu'avoir les usines aux USA est important parceque ca permet de garder le contact avec le produit et eventuelement de l'ameliorer.
 
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Cette vidéo est bourrée d'approximations, de mauvaise foi, d'erreurs.

On se demande si c'est du wishful thinking, de la propagande ou carrément de la désinformation.

Exemples :

- le nombre de commandes (1200 ?) additionne allègrement les commandes fermes, les options, les lettres d'intention, (et oublie peut-être même les annulations). Au 11/10/22 Wikipedia recensait 698 commandes et 120 options. Se sont ajoutées 300 unités en novembre 2022, provenant de compagnies de leasing chinoises.

- les clients étrangers : la vidéo cite 20 commandes de GE, des commandes d'Allemagne et des commandes de Thaïlande. En fait GECAS a commandé 10 appareils et placé une option sur 10 autres (c'est le moins que GE pouvait faire en étant fournisseur de Comac). La commande allemande (7 avions) venait de PuRen Airlines, une start-up allemande à capitaux chinois. La compagnie n'a jamais vu le jour et la commande a été annulée. La commande Thaïlandaise (10 avions) émanait de City Airways, compagnie qui a mis la clé sous la porte en 2016.

- le fournisseur de réacteurs n'est pas GE, mais CFM International, joint venture 50/50 de GE et Safran

- 27 pays ont donné le certificat de navigabilité. Impossible d'en trouver la liste. Mais il doit s'agir de pays comme les iles Salomon, la Papouasie, la Guinée Bissau, le Suriname... qui ne disposent d'aucune compétence aéronautique et se contentent de mettre un coup de tampon sur le certificat chinois.

- Commande de Brunei de 30 appareils qui seront livrés d'ici 2 ans : en fait il s'agit de 15 ARJ21 et 15 C919 commandés par Gallop Airlines, compagnie en cours de création qui recherche encore des investisseurs et qui ne pourra commencer les opérations que lorsque Comac aura livré des avions et que l'avion aura été certifié à Brunei.

- Parlons des livraisons : a ce jour, seul 2 appareils ont été livrés, 1 en décembre 2022 et 1 en juillet 2923. China Eastern (à qui ont été livrés ces 2 avions, en prévoit 4 de plus d'ici fin 2023, mais 0 en 2024 et 0 en 2025. Air China ne fait apparaitre aucun C919 dans ses prévisions 2023-2025. Même chose chez China Southern.
En résumé, les livraisons se font au compte-goutte, mais comme les compagnies ne les attendent pas vraiment, ce n'est pas grave.

- Pour répondre aux critiques disant que Comac n'était qu'un assembleur largement dépendant des équipementiers étrangers, la vidéo dit que c'est le cas aussi pour Boeing et Airbus et que leurs taux de localisation" n'était que de 40% et 30% respectivement. Elle prend l'exemple du B737 dont "seul" 67,3% en valeur est fourni par les US, le reste devant être importé du RU et de France. Et pour l'A320, les US ne fournissent que 37,7%, le reste venant du RU, de France, d'Allemagne et autres pays (sic). Non seulement l'auteur oublie que les US et l'Europe ne sont pas en guerre commerciale, mais il semble croire qu'Airbus est une société américaine qui ne localise aux US que 30% de sa VA !!!!

- La vidéo dit ensuite que si GE arrête la fourniture de moteurs, la Chine peut renforcer sa coopération avec Airbus !!!! Oubliant toujours que c'est CFM et non GE le fournisseur de réacteurs, et semblant croire qu'Airbus fait des réacteurs .... Quand au CJ1000 qui pourrait remplacer le LEAP, les prévisions les plus optimistes voient une mise en service en 2030.... mais 2035 parait plus réaliste.

- La vidéo semble dire que les réacteurs sont les seuls équipements critiques approvisionnés en occident. C'est loin d'être le cas, mais un petit dessin vaut mieux qu'un grand discours :


-Enfin la fin de la vidéo vante la coopération sino-sovietique pour le C929, mais ne semble pas être informé qu'en aout 2023, la Russie a officialisé son retrait du projet (il y avait déjà de l'eau dans le gaz avant...)

En conclusion, c'est une vidéo de DÉSINFORMATION à vocation PROPAGANDISTE....

@lafoy-china : d'habitude les propagandes que tu publies sont mieux faites :langue:
Bonjour Chris

Heureusement que tu n' etait pas un vison ou un furet , a l'epoque ou les elegantes les portaient sur les cols de leurs manteaux ...
Le piege a ton intention en te connaissant etait immense , je suis le Davy Crockett ,voir le Daniel Boone du forum ... :ptdr:
 
Dernière édition:
Bonjour Chris

Heureusement que tu n' etait pas un vison ou un furet , a l'epoque ou les elegantes les portaient sur les cols de leurs manteaux ...
Le piege a ton intention en te connaissant etait immense , je suis le Davy Crockett ,voir le Daniel Boone du forum ... :ptdr:
Belle pirouette pour essayer de te raccrocher aux branches .... :bravo: :bravo: :bravo:
 
S'il y a bien qqchose que je ne comprends pas, c'est la necessite de fabriquer des usines d'assemblage d'avion en Chine :mur: Un avion est typiquement le genre de produit qui peut etre fabrique n'importe ou et delivre par les airs au client final. Donc quel est l'interte de construire une usine d'assemblage en Chine ou il est evident que les process vont etre copies?

Il devrait y avoir une entente Airbus-Boeing pour ne pas fabriquer en Chine justement.
Ce serait trop long de t'expliquer comment fonctionne la finance surtout dans un monde globalisé, ce qu'un raciste ne peut pas comprendre.
 
Les entreprises aérospatiales s'envolent à l'heure du décollage du salon aéronautique de Shanghai

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* Un modèle du turboréacteur à double flux CJ2000 développé par Aero Engine Corp of China est exposé au Salon aéronautique de Shanghai 2023
qui se tient au Centre des expositions de Shanghai.

Les principales entreprises aérospatiales de Chine et d'outre-mer présentent leurs dernières technologies, produits et solutions dans le domaine de l'aviation commerciale au Salon aéronautique de Shanghai 2023, qui a levé son rideau au Centre des expositions de Shanghai jeudi.

Communique : Le salon, axé sur l'ensemble de la chaîne industrielle de l'aviation commerciale, rassemble plus de 200 exposants, dont des acteurs industriels majeurs tels que Aviation Industry Corp of China, Aero Engine Corp of China, China Eastern Airlines et Commercial Aircraft Corp of China, ainsi que des géants mondiaux tels qu'Airbus, GE Aerospace, Liebherr, Dassault Systèmes et United Engine Corp (UEC).

Les visiteurs du salon peuvent observer de près les modèles d'avions développés en Chine, tels que l'AG600, l'ARJ21 et le C919, ainsi que l'A330neo d'Airbus, la dernière version de la famille A330, et le dernier avion monocouloir A220.

Il convient particulièrement de noter la présentation des modèles de stimulation CJ1000A et CJ2000, les premiers moteurs chinois pour gros avions de ligne, ainsi que des modèles du moteur LEAP de GE Aerospace et du turboréacteur à double flux PD-14 développé indépendamment par United Engine Corp. Il s’agit d’une réunion sans précédent d’acteurs majeurs de l’histoire des moteurs d’aviation internationale.



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Un moteur LEAP est exposé sur le stand de GE Aerospace.

Alors que l'industrie s'oriente vers une transformation verte, certains exposants présentent leurs véhicules fonctionnant à l'énergie propre.

Parmi ses équipements et solutions intégrées du groupe aéronautique, China Eastern Aviation Equipment Integration Co présente son tracteur à bagages alimenté à l'hydrogène, qui sera bientôt mis en service pour la première fois à l'aéroport international de Pékin Daxing.

Certaines entreprises proposent de nouveaux services aux pays de l’initiative « la Ceinture et la Route ». Liu Ting, directeur de la gestion des opérations chez China Flight General Aviation Co, a déclaré que la société aidait à former des pilotes dans les pays de la BRI afin de renforcer leur force dans les services aéronautiques.


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** Le turboréacteur à double flux PD-14 à taux de dilution élevé développé indépendamment par la société russe United Engine Corp.

En outre, le salon aéronautique accueillera également des conférences axées sur la technologie des moteurs d'aviation et le développement de l'industrie des matériaux pour l'aviation civile. Une vingtaine d'académiciens et plus de 1 000 experts, universitaires et représentants du secteur se réuniront pour discuter des nouveaux développements dans le secteur de l'aviation commerciale.

L'exposition professionnelle de trois jours sera ouverte gratuitement au grand public samedi.


Date : 25 novembre, de 9h à 15h (clôture des inscriptions à 14h)

Lieu : Centre des expositions de Shanghai 上海展览中心

Adresse : Adresse : 1000 Yan'an Rd.M 延安中路1000号



* CJ-2000 (AEF3500)

The CJ-2000 is a scaled-up version of the CJ-1000 HP spool and combustor core, with 10 compressor stages and two turbine stages. As of June 2018, the new 78,000 lbf (350 kN) engine destined for the CRAIC CR929 was expected to be demonstrated in 2023 and enter service in 2030. It features a new low-pressure spool with a four-stage LP compressor booster up from three, seven LP turbine stages up from six (compared to the GEnx-1B which also has six stages; the UEC PD-35 has nine HP compressor stages), as well as composite fan blades and fan case. The bypass ratio would be over 10, with a 50.3 OPR in climb, and a target TSFC of 0.53–0.525 lb/lbf/h (15.0–14.9 g/kN/s).

** PD-14

 
Dernière édition:
C'est impressionnant, ça doit être sympa de voir ces produits de si prêt.
 
Le voyage culturel d'une hôtesse de l'air française en Chine

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Lucine Magand, hôtesse de l'air de China Eastern Airlines, à bord d'un avion.
5 janvier 2024

L'expatriée française Lucine Magand a trouvé sa deuxième maison à Shanghai. Hôtesse de l'air de China Eastern Airlines depuis quatre ans, elle se considère comme une "ambassadrice culturelle" du rapprochement grandissant entre la Chine et la France.

Article : "Li Xi 李希, dont le mot 希 signifie 'espoir' en chinois, est mon nom chinois", a déclaré Magand.

Elle se souvient très bien de son premier jour à Shanghai. "J'ai été immédiatement frappé par l'énergie vibrante de la ville."

Parlant couramment le mandarin après avoir étudié trois ans à l’Université Jiao Tong de Shanghai, elle s’est rapidement adaptée à la vie citadine. Elle s'est fait de nombreux amis et a même trouvé l'amour. Son mari est originaire de Shanghai.

« J'ai une très bonne impression des habitants de Shanghai : ils sont amicaux et ouverts, ce qui rend ma vie ici en tant qu'étrangère très agréable et confortable », a-t-elle déclaré.

L'expérience de Magand à Shanghai a été profondément influencée par les progrès technologiques du pays. Elle s’est émerveillée devant l’omniprésence des codes QR, un contraste saisissant avec l’Europe centrée sur l’argent liquide qu’elle a laissée derrière elle. "La commodité est étonnante", a-t-elle déclaré.

Ses expériences s'étendent aux innovations de l'aéroport Daxing de Pékin, où la technologie de reconnaissance faciale facilite l'embarquement sans carte d'embarquement physique ou imprimée.

Son mandat chez China Eastern a coïncidé avec un moment charnière : l’épidémie de COVID-19. La pandémie a marqué une année difficile, mais Magand a félicité le gouvernement de Shanghai pour sa réponse efficace.

« La diffusion des connaissances, les rendez-vous de vaccination volontaires et les rapports opportuns sur la pandémie par zone ont rendu la vie plus sûre et plus agréable malgré la situation », a-t-elle rappelé.

Elle a déclaré que la pandémie a également rapproché la Chine et la France, alors que les deux pays se sont engagés dans des efforts de coopération pour lutter contre le virus.

Le vol symbolique « sur le thème de la CIIE » vers Paris par China Eastern Airlines, où il a été désigné, a maintenu des liaisons aériennes cruciales même pendant la pandémie, démontrant la force des relations sino-françaises et la solidarité dans la crise, a-t-elle déclaré.

"Maintenant, davantage de vols entre la Chine et la France signifient un renforcement des liens et une réduction des distances", a déclaré Magand, ajoutant qu'elle se sentait fière de son rôle dans cet échange culturel.

Le nombre de vols hebdomadaires sino-français est passé de 16 à plus de 50 en juin 2023, ce qui représente plus de la moitié du volume de vols autorisé pendant l'été de l'ère post-pandémique.

Cette expansion inclut de grandes compagnies aériennes telles qu'Air China, China Eastern, China Southern, Xiamen Airlines et Air France, avec des routes couvrant Paris vers les grandes villes chinoises comme Pékin, Shanghai, Guangzhou et Fuzhou.

Témoin de l'augmentation des vols et des interactions, Magand a déclaré qu'elle voit le rôle d'un « pont aérien » dans le rapprochement de la Chine et de la France.

"Sur chaque vol, j'essaie de mélanger le meilleur des deux mondes : l'efficacité et la chaleur de l'hospitalité chinoise avec l'élégance et le charme de la culture française. Il s'agit de créer une expérience unique pour nos passagers", a-t-elle déclaré.

Discutant des relations sino-françaises, Magand a souligné le potentiel de l'initiative "la Ceinture et la Route" pour améliorer les opportunités dans l'agriculture française et européenne, notamment dans les secteurs des céréales, des produits laitiers et du vin.

Selon l'Institut français des relations internationales et stratégiques, les importations de viande et la demande de produits laitiers augmentent avec l'évolution des modes de vie en Chine.

En Bretagne, en France, par exemple, des usines ont été créées pour produire des produits laitiers infantiles. L'industrie vitivinicole bordelaise a également bénéficié d'investissements chinois.

L'institut a déclaré que l'initiative "la Ceinture et la Route" apporte des opportunités accrues à l'agriculture française et européenne et qu'il est essentiel d'accorder une attention particulière aux aspects agricoles de l'initiative.

Eastern Airlines Logistics collabore avec des établissements vinicoles français depuis 2014 pour proposer de nouveaux vins de Bordeaux de haute qualité sur le marché intérieur.

Magand a exprimé son désir de découvrir davantage de produits français en Chine et de présenter les produits chinois qu'elle aime en France.

"Mon espoir personnel est de découvrir davantage la France en Chine et de partager mes produits chinois préférés avec la France", a-t-elle déclaré.

Au premier semestre 2023, le volume du transport de passagers dans les régions de l'initiative « la Ceinture et la Route » représentait 71 % du marché chinois de l'aviation internationale, soit une augmentation de 13 points de pourcentage par rapport à la même période en 2019, selon l'Administration de l'aviation civile de Chine (CAAC).

En septembre 2023, le volume de fret et de courrier transporté via la « Route aérienne de la Soie » représentait 26 % du marché chinois du fret aérien international, soit une augmentation de 4 points de pourcentage par rapport à la même période en 2019, a indiqué la CAAC.

En septembre 2023, le volume de fret et de courrier transporté via la « Route aérienne de la Soie » représentait 26 % du marché chinois du fret aérien international, soit une augmentation de 4 points de pourcentage par rapport à la même période en 2019, a indiqué la CAAC.

En travaillant sur la « Route aérienne de la Soie », Magand a été témoin des progrès réalisés dans la liaison de la Chine avec d'autres pays dans le cadre de cette initiative.

"Je crois que la Ceinture et la Route ne se limite pas aux infrastructures et au commerce. Il s'agit de construire des relations durables. Et je suis fière d'en faire partie", a-t-elle déclaré.



:bravo::francais:

5 janvier 2024
 
Dernière édition:
28 janvier 2024
Duree 2:48

Synopsis : Airbus est présent en Chine depuis près de 30 ans. Aujourd'hui, l'avionneur européen, dont le siège est en France, cherche à accroître son investissement sur le 2e grand marché de l'aviation au monde.
 
L'avion chinois de lutte contre les incendies MA60 se lance dans des essais en vol de navigabilité

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2 fevrier 2024

L'avion chinois de lutte contre les incendies MA60, un équipement aéronautique développé de manière indépendante et adapté aux missions de sauvetage d'urgence, est entré dans sa phase cruciale d'essais en vol de conformité de navigabilité, selon le développeur.

Communique : L'avion de lutte contre les incendies MA60, nouveau membre de la famille d'avions polyvalents Modern Ark, a lancé ses essais en vol fin janvier pour vérifier sa conformité aux réglementations de navigabilité des autorités chinoises de l'aviation civile, a déclaré l'Aviation Industry Corporation of China.

Il a déjà effectué divers tests en vol, tels que le saut de haie et le largage de sa capacité d'eau maximale de six tonnes à une très basse altitude d'environ 50 mètres pendant les tests en vol, a ajouté l'AVIC.

Des essais en vol ont démontré que l'eau larguée depuis l'avion peut couvrir une zone au sol mesurant 200 mètres de longueur et 30 mètres de largeur.

L'avion de lutte contre les incendies MA60 est un avion à voilure fixe spécialement conçu pour la lutte aérienne contre les incendies et d'autres sauvetages.

Il est développé par AVIC XAC Commercial Aircraft Co., Ltd. à Xi'an, située dans la province du Shaanxi, au nord-ouest de la Chine, avec des droits de propriété intellectuelle indépendants. L'avion a été conçu dans le strict respect des règles de navigabilité stipulées par l'Administration de l'aviation civile de Chine.

Le développement et les progrès de l'avion de lutte contre les incendies MA60 aideront la Chine à développer une capacité complète de lutte aérienne contre les incendies avec des avions petits, moyens et gros, ce qui aidera davantage le pays à construire un système national complet de secours d'urgence, a déclaré Guo Zhiwu, un haut responsable du le Ministère de la Gestion des Urgences.

"L'utilisation des avions à voilure fixe dans la lutte contre les incendies en Chine en est à sa phase initiale, avec de larges perspectives de marché", a indiqué M. Guo.

Il a noté que le développement ultérieur de l'avion de lutte contre les incendies MA60, ainsi que la formation des pilotes et d'autres activités connexes, faciliteront l'intégration réussie de ce nouveau modèle d'avion dans le système de sauvetage aérien d'urgence.

En tant que modèle clé développé pour le système chinois de sauvetage aérien d'urgence, l'avion de lutte contre les incendies MA60 présente une maniabilité et une capacité remarquables à voler à basse vitesse et à basse altitude. Cela permet un déversement d'eau précis et efficace sur les sites d'incendie dans des contextes complexes, améliorant ainsi l'efficacité globale des opérations de lutte contre les incendies.

Il sera principalement utilisé pour lutter contre les incendies de forêts et de prairies, car il peut effectuer de multiples opérations de sauvetage, telles que la surveillance des incendies, le largage d'eau, le support en télécommunications, ainsi que le transport de personnel et de fournitures.

L'équipe de développement accélérera les essais en vol de suivi et les travaux connexes pour l'avion afin de faciliter son développement, sa navigabilité et sa livraison, et contribuera aux travaux de sauvetage d'urgence de la Chine, a indiqué l'AVIC.

 
L'avion chinois de lutte contre les incendies MA60 se lance dans des essais en vol de navigabilité

2 fevrier 2024

L'avion chinois de lutte contre les incendies MA60, un équipement aéronautique développé de manière indépendante et adapté aux missions de sauvetage d'urgence, est entré dans sa phase cruciale d'essais en vol de conformité de navigabilité, selon le développeur.

Communique : L'avion de lutte contre les incendies MA60, nouveau membre de la famille d'avions polyvalents Modern Ark, a lancé ses essais en vol fin janvier pour vérifier sa conformité aux réglementations de navigabilité des autorités chinoises de l'aviation civile, a déclaré l'Aviation Industry Corporation of China.

Il a déjà effectué divers tests en vol, tels que le saut de haie et le largage de sa capacité d'eau maximale de six tonnes à une très basse altitude d'environ 50 mètres pendant les tests en vol, a ajouté l'AVIC.

Des essais en vol ont démontré que l'eau larguée depuis l'avion peut couvrir une zone au sol mesurant 200 mètres de longueur et 30 mètres de largeur.

L'avion de lutte contre les incendies MA60 est un avion à voilure fixe spécialement conçu pour la lutte aérienne contre les incendies et d'autres sauvetages.

Il est développé par AVIC XAC Commercial Aircraft Co., Ltd. à Xi'an, située dans la province du Shaanxi, au nord-ouest de la Chine, avec des droits de propriété intellectuelle indépendants. L'avion a été conçu dans le strict respect des règles de navigabilité stipulées par l'Administration de l'aviation civile de Chine.

Le développement et les progrès de l'avion de lutte contre les incendies MA60 aideront la Chine à développer une capacité complète de lutte aérienne contre les incendies avec des avions petits, moyens et gros, ce qui aidera davantage le pays à construire un système national complet de secours d'urgence, a déclaré Guo Zhiwu, un haut responsable du le Ministère de la Gestion des Urgences.

"L'utilisation des avions à voilure fixe dans la lutte contre les incendies en Chine en est à sa phase initiale, avec de larges perspectives de marché", a indiqué M. Guo.

Il a noté que le développement ultérieur de l'avion de lutte contre les incendies MA60, ainsi que la formation des pilotes et d'autres activités connexes, faciliteront l'intégration réussie de ce nouveau modèle d'avion dans le système de sauvetage aérien d'urgence.

En tant que modèle clé développé pour le système chinois de sauvetage aérien d'urgence, l'avion de lutte contre les incendies MA60 présente une maniabilité et une capacité remarquables à voler à basse vitesse et à basse altitude. Cela permet un déversement d'eau précis et efficace sur les sites d'incendie dans des contextes complexes, améliorant ainsi l'efficacité globale des opérations de lutte contre les incendies.

Il sera principalement utilisé pour lutter contre les incendies de forêts et de prairies, car il peut effectuer de multiples opérations de sauvetage, telles que la surveillance des incendies, le largage d'eau, le support en télécommunications, ainsi que le transport de personnel et de fournitures.

L'équipe de développement accélérera les essais en vol de suivi et les travaux connexes pour l'avion afin de faciliter son développement, sa navigabilité et sa livraison, et contribuera aux travaux de sauvetage d'urgence de la Chine, a indiqué l'AVIC.

Il n'a pas vraiment de quoi pavoiser.
Comme je l'avais déjà indiqué, ce n'est qu'une version aménagée de l'avion de transport commercial MA60, sorti en 2000, qui est une version allongée du Xi'An Y7 (mis en service en 1984), qui est une copie conforme de l'Antonov AN-24 datant de 1962
 
Il n'a pas vraiment de quoi pavoiser.
Comme je l'avais déjà indiqué, ce n'est qu'une version aménagée de l'avion de transport commercial MA60, sorti en 2000, qui est une version allongée du Xi'An Y7 (mis en service en 1984), qui est une copie conforme de l'Antonov AN-24 datant de 1962
Bonsoir Chris

:endesaccord: > Tout faux moi en septembre 2021 photo a l'appui , toi en Aout 2023 ... :bzzz:


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Dernière édition:
Bonsoir Chris

:endesaccord: > Tout faux moi en septembre 2021 photo a l'appui , toi en Aout 2023 ... :bzzz:
Bonsoir Lafoy,

Qu’est-ce qui est faux ???

La Chine a commencé par produire des An-24 sous licence, puis a développé la famille des Y7, Y7-100, Y7-200 sur cette base.
Qu‘il y ait eu une licence ne change rien au fait que c’est une "copie plus ou moins conforme" de l’An-24
 
Bonsoir Lafoy,

Qu’est-ce qui est faux ???

La Chine a commencé par produire des An-24 sous licence, puis a développé la famille des Y7, Y7-100, Y7-200 sur cette base.
Qu‘il y ait eu une licence ne change rien au fait que c’est une "copie plus ou moins conforme" de l’An-24
Je cite simplement que tu as indique cela 2 ans apres moi , rien de plus ... ;)