Quand les whiskys affolent le marché de la spéculation Par Valérie Faust
"The superfluous, a very necessary thing"
11/11/2021
Le whisky séduit toujours autant, aux quatre coins du monde. Envolée des prix, collectionnite, dernières tendances et nouveautés… Notre enquête.
Extrait : Single malt écossais, blend japonais ou français… Le whisky est toujours aussi apprécié, convoité aux quatre coins de la planète. Il faut dire que cette grande eau-de-vie de dégustation se joue du temps comme des modes, s’adaptant à merveille à l’évolution des goûts, des attentes, du marché… Voilà une bonne quinzaine d’années que l’engouement pour les whiskys longuement vieillis en fûts et embouteillés récemment ne cesse de s’accroître. Les prix explosent, atteignant des sommes à donner le tournis mais qui ne dissuadent pas les Chinois, principaux acquéreurs, prêts à toutes les folies. Fin 2020, des bouteilles de The Macallan 71 ans, 74 ans et 78 ans se sont vendues respectivement 76 900, 95 200 et 100 990 €. En octobre dernier, le plus vieux single malt (1) du monde, un Glenlivet de 80 ans, mis en fût en 1940 et embouteillé par Gordon & MacPhail en 2020, a été adjugé aux enchères 166 775 €. Les cinq exemplaires dévolus à la France (250 pour le monde) se sont ensuite arrachés à 98 000 € la carafe. Autre exemple avec le coffret de six single malts (1) The Dalmore Decades, millésimes 1951, 1967, 1979, 1980, 1995 et 2000, parti aux enchères à 966 640 € et revendu 1 110 000 € (25 exemplaires pour le monde).Suite de l'article >>>
Quand les whiskys affolent le marché de la spéculation
Le whisky séduit toujours autant, aux quatre coins du monde. Envolée des prix, collectionnite, dernières tendances et nouveautés… Notre enquête.
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