Conséquences politiques , géopolitiques , économiques , écologiques , migratoires de la guerre en Ukraine ...

Mystérieuses fuites dans les gazoducs russes, de vastes bouillonnements observés en mer Baltique
Quelques mois plus tard elles sont toujours mystérieuses. c’était donc ni les russes, ni les US, mais un inconnu qui s'est approvisionner chez Cdiscount.
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Au-delà des caméras, la rencontre Macron-Biden est plus difficile qu'il n'y paraît. by Anatol Lieven /Anatol Lieven is Director of the Eurasia Program at the Quincy Institute for Responsible Statecraft. He was formerly a professor at Georgetown University in Qatar and in the War Studies Department of King’s College London. He is a member of the advisory committee of the South Asia Department of the British Foreign and Commonwealth Office. He holds a BA and PhD from Cambridge University in England.

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Le Corbeau et le Renard ...
1er décembre 2022

Si le dirigeant français sera sans doute fêté et flatté, des divergences sur l'Ukraine et la crise économique européenne se profilent.

Analyse : La visite d'État du président français Emmanuel Macron à Washington cette semaine met en lumière les forces et les faiblesses de la relation entre les États-Unis et l'Union européenne dans son ensemble.

Celles-ci trouvent leur origine dans la vérité durable de la célèbre remarque de l'ancien ministre belge des affaires étrangères Mark Eyskens selon laquelle l'UE est "un géant économique, un nain politique et un ver militaire." Les vers sont par nature invertébrés et sans cerveau, et le nain européen ne souffre pas seulement de problèmes de taille, mais aussi de troubles de la personnalité multiple. Le géant, lui, a un esprit et un corps qui lui sont propres.

Le problème pour l'administration Biden est que, précisément parce que l'UE reste un géant économique, c'est principalement dans le domaine de l'économie que Biden demandera à Macron d'aider à générer un soutien européen ; or, c'est un domaine dans lequel l'UE a souvent montré à la fois la capacité et la volonté de résister à la pression des États-Unis. C'est également dans le déclin des économies européennes - et non dans les menaces militaires contre l'Europe - que se situent les véritables dangers pour la démocratie libérale européenne.

L'invasion russe de l'Ukraine a entraîné une vague de décisions de la part des membres européens de l'OTAN d'augmenter leurs dépenses militaires ; mais même si ces promesses sont tenues, il faudra beaucoup de temps pour qu'elles débouchent sur de sérieuses améliorations des capacités. Tout au plus, elles permettront aux pays européens de fournir davantage d'armes à l'Ukraine sans épuiser leurs propres réserves.

En outre, les armées européennes sont, dans une large mesure, sans intérêt pour la stratégie américaine actuelle. La Russie n'a ni la capacité ni la volonté d'envahir l'OTAN, et il ne semble y avoir aucune chance que les gouvernements européens envoient leurs soldats se battre en Ukraine. Quant aux déploiements militaires européens contre la Chine, il est déjà clair qu'ils resteront purement symboliques.

L'accord de l'UE sur des sanctions économiques exceptionnellement sévères contre la Russie a cependant été crucial pour la stratégie américaine, et Biden demandera (et recevra) l'assurance de Macron que la France veillera à ce que ces sanctions soient maintenues, et s'opposera à la levée de certaines d'entre elles en échange d'un compromis de paix et d'une reprise des livraisons de gaz russe à l'Europe. Macron demandera à son tour à Biden de comprendre les dommages économiques que la guerre cause à l'Europe (bien plus importants que ceux des États-Unis) et les risques que cela engendre.

Washington ressent le besoin de telles assurances en raison de l'état de plus en plus fragile de l'opinion publique européenne (et surtout allemande) lorsqu'il s'agit de faire de sérieux sacrifices pour le bien de l'Ukraine. Macron lui-même s'est attiré les critiques des États-Unis pour son désir de maintenir au moins quelques lignes de communication avec Moscou, et pour avoir souligné que des négociations seront finalement nécessaires pour mettre fin à la guerre. Toutefois, cela n'a pas entraîné de rupture sérieuse avec l'administration Biden, qui peut en effet elle-même favoriser de tels liens, même si elle ne peut pas les encourager elle-même.

Plus grave est la menace qui pèse sur la position de l'Europe depuis la base. Les opinions publiques européennes soutenaient beaucoup plus fermement l'Ukraine au cours des premiers mois de la guerre, lorsqu'il semblait que l'existence de l'Ukraine en tant qu'État indépendant était menacée ; mais après une série de succès ukrainiens et la restriction des forces russes à des zones limitées de l'est et du sud de l'Ukraine, des fissures dans la solidarité européenne et la volonté de faire des sacrifices pour la victoire ukrainienne commencent inévitablement à apparaître, en particulier en Allemagne.

Les tensions sont aggravées par des divisions de plus en plus amères entre les membres de l'UE sur le partage entre eux des pénuries d'énergie et des souffrances économiques qui en résultent. Le ressentiment à l'égard de l'Amérique s'accroît également du fait qu'en raison de la fracturation domestique, les prix du gaz américain ne représentent qu'une fraction des prix européens, de sorte que la souffrance du public américain résultant de la guerre est limitée. Macron a accusé les producteurs d'énergie américains (et norvégiens) d'exploiter la crise pour tirer des "superprofits" des exportations vers l'Europe. Le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, a déclaré que les exportateurs américains utilisent la crise énergétique "pour faire avancer la domination économique des États-Unis et affaiblir l'Europe."

The Economist a estimé que la forte hausse des prix de l'électricité pourrait entraîner 147 000 décès supplémentaires en Europe cet hiver, par rapport aux années précédentes. L'opinion européenne des prochains mois sera déterminée par le fait que l'hiver sera rude ou doux, et que les conséquences sur l'approvisionnement en énergie, les souffrances collectives et les troubles de masse seront graves ou limitées. On prévoit toutefois que, sauf si la guerre prend fin et que les livraisons de gaz russe reprennent, la crise énergétique européenne se prolongera au moins jusqu'en 2024 ; l'Europe ne devra donc pas seulement survivre à cet hiver.

Compte tenu des menaces qui pèsent sur la solidarité européenne au sujet de l'Ukraine, M. Macron demandera à M. Biden de réduire - au moins quelque peu - la pression exercée par son administration sur l'Europe dans un autre domaine, celui de la guerre économique contre la Chine. Washington a réussi à obtenir de l'OTAN qu'elle s'aligne de manière déclarative contre la Chine, mais les mesures économiques - comme l'adhésion de l'Europe à l'interdiction américaine d'exporter des équipements destinés à la fabrication de puces informatiques et de semi-conducteurs avancés, qui causerait des dommages supplémentaires à des industries européennes déjà menacées - se heurtent à une résistance européenne beaucoup plus forte.

Les relations entre les États-Unis et l'Union européenne ont été mises à rude épreuve par la loi (mal nommée) de l'administration Biden sur la réduction de l'inflation, qui prévoit d'importants crédits d'impôt pour les producteurs américains (mais uniquement américains) de voitures électriques et d'énergies alternatives. L'UE a qualifié cette mesure de discrimination injuste et exige que ces subventions de facto soient étendues aux producteurs européens également. M. Macron soulèvera cette question lors de ses entretiens avec M. Biden. Un groupe de travail américano-européen sur l'IRA a été créé, mais rien n'indique pour l'instant qu'il débouche sur un nouvel accord.

L'idée du "friendshoring" a reçu un certain soutien en Amérique ; néanmoins, étant donné l'extrême difficulté de l'administration Biden à faire passer l'IRA par le Congrès, il est peu probable qu'elle soit disposée à chercher à le modifier pour aider l'Europe. En réponse, Macron et d'autres dirigeants européens ont appelé à une stratégie européenne coordonnée de subventions industrielles. Toutefois, compte tenu des tensions entre les membres de l'UE au sujet des subventions nationales, l'élaboration d'une telle stratégie prendra beaucoup de temps et, dans l'intervalle, cette question continuera de jouer un rôle perturbateur dans les relations entre les États-Unis et l'UE.

Les Etats-Unis sont actuellement engagés dans un effort - qui sera sans doute poursuivi sous toute future administration républicaine - visant à remplacer la mondialisation des deux dernières générations par un nouveau monde de blocs économiques, dans lequel le bloc occidental sera dominé par l'Amérique et aura pour but de freiner ou même (dans le cas de la Russie et de l'Iran) de chercher à détruire les économies des Etats rivaux.

Pour que cette stratégie réussisse, il est essentiel que l'UE soit prête à suivre l'exemple de l'Amérique. Il s'agit d'un saut idéologique colossal pour l'UE. Plus important encore, les principaux États européens (l'Allemagne en particulier) sont tout simplement beaucoup plus dépendants des approvisionnements énergétiques internationaux et d'un commerce mondial raisonnablement libre que ne le sont les États-Unis.

En se concentrant excessivement sur les menaces militaires et géopolitiques perçues de la Chine et de la Russie, les décideurs politiques de Washington risquent d'oublier que la prospérité intérieure et la stabilité politique des alliés européens constituent également un intérêt national américain vital, sur lequel repose en fin de compte l'alliance transatlantique.

Le cérémonial et le langage grandioses qui entourent la visite d'État de Macron flatteront sans doute ce dernier, et amélioreront l'humiliation que lui a infligée l'année dernière le rôle de l'Amérique dans la destruction de l'accord franco-australien sur les sous-marins. Quant à savoir si un ancien ouvrier industriel européen au chômage qui se gèle dans le noir se sentira aussi flatté, c'est une autre affaire.

Jeux de dupes , Monsieur Jean de la Fontaine lui meme inspire d 'Esope auraient etes forts inspires en notre epoque , le president Macron devrait reviser ses classiques concernant les fables de ces derniers , fables qui sont d'autres epoques mais toujours actuelles ...
 
Dernière édition:
Jeux de dupes , Monsieur Jean de la Fontaine lui meme inspire d 'Esope auraient etes forts inspires en notre epoque , le president Macron devrait reviser ses classiques concernant les fables de ces derniers , fables qui sont d'autres epoques mais toujours actuelles ...
Bonjour Lafoy,
Je ne pense pas que Macron soit dupe, loin de là, mais il dispose de peu de moyens de pression (c’est un euphémisme pour dire "aucun moyen de pression") sur Biden et les US (et d’autant moins que les Allemands rechignent à contrarier l’Oncle Sam)
 
Le sujet le plus important c'est le repas fastueux et tous les non sans dents qui ont mangé les 200 homards et autres plats bien sympathique au frais de la princesse et qui derrière ne contribueront à ne rien faire avancer.

Macron qu'il fasse ses nouveaux RER déjà que les actuels tombent en rade (discours PMU)
 
Le sujet le plus important c'est le repas fastueux et tous les non sans dents qui ont mangé les 200 homards et autres plats bien sympathique au frais de la princesse et qui derrière ne contribueront à ne rien faire avancer.
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Bonjour Columbo
Du coup je me suis ouvert une bouteille de dom perignon 2009 pour trinquer avec notre president , qui nous adresse un clin d'oeil complice ... :)

 
Bonjour Lafoy,
Je ne pense pas que Macron soit dupe, loin de là, mais il dispose de peu de moyens de pression (c’est un euphémisme pour dire "aucun moyen de pression") sur Biden et les US (et d’autant moins que les Allemands rechignent à contrarier l’Oncle Sam)
Salut Chris,

Est-ce que tu aurais le numéro de téléphone des relations publiques de l'Union Européenne?
Ce serait pour une réclamation. Tu comprends, on a liquidé notre industrie avec le marché commun, on est contributeur net de plus de 10 milliards d'euros/ans, on a délégué notre politique commerciale avec 400 autres millions d'européens pour "peser face autres blocs", et là, j'apprends quoi, qu'on a aucun moyen de pression et les allemands sont soumis aux américains? Mais quel scandale, c'est une honte de se faire escroquer comme ça!


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Salut Chris,

Est-ce que tu aurais le numéro de téléphone des relations publiques de l'Union Européenne?
Ce serait pour une réclamation. Tu comprends, on a liquidé notre industrie avec le marché commun, on est contributeur net de plus de 10 milliards d'euros/ans, on a délégué notre politique commerciale avec 400 autres millions d'européens pour "peser face autres blocs", et là, j'apprends quoi, qu'on a aucun moyen de pression et les allemands sont soumis aux américains? Mais quel scandale, c'est une honte de se faire escroquer comme ça!


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Salut Alplob,

Tu devrais essayer ça :

 

William Saurin et Garbit mettent la quasi-totalité de leur production à l'arrêt

Petit coup de tonnerre dans l'alimentaire. Leur propriétaire Cofigeo va arrêter temporairement, dès le 2 janvier, quatre de ses huit usines en France.

Extrait : «Un point de rupture.» En évoquant la semaine dernière le mur énergétique que s'apprêtent à affronter de nombreuses sociétés agroalimentaires françaises, Mathieu Thomazeau, le président de Cofigeo (William Saurin, Garbit) reconnaissait à demi-mot l'impossibilité pour ses conserveries françaises de continuer à fonctionner au vu des prix de l'énergie.
Désormais, la décision est actée. Ce mardi, le groupe connu pour ses marques William Saurin, Garbit, Raynal et Roquelaure et Zapetti a annoncé la mise à l'arrêt prochain de quatre de ses huit usines en France. À savoir les sites de Capdenac (Aveyron), de Pouilly-sur-Serre (Aisne), de Camaret-sur-Aigues (Vaucluse) et de Lagny (Marne).

Cela représente environ 80% de la production du groupe totalement à l'arrêt. Et 800 de ses 1200 salariés français se verront appliquer un accord d'activité partielle de longue durée (APLD). «Cette décision a pour objectif de faire face à la hausse spectaculaire de ses coûts d'énergie (gaz et électricité nécessaires à la cuisson et à la stérilisation des plats et recettes cuisinés), qui seront multipliés par 10 dès le début de l'année», s'est justifié le groupe dans un communiqué.


Suite >>>


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William Saurin et Garbit mettent la quasi-totalité de leur production à l'arrêt

Petit coup de tonnerre dans l'alimentaire. Leur propriétaire Cofigeo va arrêter temporairement, dès le 2 janvier, quatre de ses huit usines en France.

Extrait : «Un point de rupture.» En évoquant la semaine dernière le mur énergétique que s'apprêtent à affronter de nombreuses sociétés agroalimentaires françaises, Mathieu Thomazeau, le président de Cofigeo (William Saurin, Garbit) reconnaissait à demi-mot l'impossibilité pour ses conserveries françaises de continuer à fonctionner au vu des prix de l'énergie.
Désormais, la décision est actée. Ce mardi, le groupe connu pour ses marques William Saurin, Garbit, Raynal et Roquelaure et Zapetti a annoncé la mise à l'arrêt prochain de quatre de ses huit usines en France. À savoir les sites de Capdenac (Aveyron), de Pouilly-sur-Serre (Aisne), de Camaret-sur-Aigues (Vaucluse) et de Lagny (Marne).

Cela représente environ 80% de la production du groupe totalement à l'arrêt. Et 800 de ses 1200 salariés français se verront appliquer un accord d'activité partielle de longue durée (APLD). «Cette décision a pour objectif de faire face à la hausse spectaculaire de ses coûts d'énergie (gaz et électricité nécessaires à la cuisson et à la stérilisation des plats et recettes cuisinés), qui seront multipliés par 10 dès le début de l'année», s'est justifié le groupe dans un communiqué.


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Plus de "Couscous Garbit", Plus de "Cassoulet William Saurin !!!! :eek:

(Once again, every cloud has a silver lining)

La gastronomie française est reconnaissante à Poutine ....
 
Plus de "Couscous Garbit", Plus de "Cassoulet William Saurin !!!! :eek:

(Once again, every cloud has a silver lining)

La gastronomie française est reconnaissante à Poutine ....
Poutine est d'accord pour vendre son énergie.
C'est du côté UE que ça coince pour acheter.

Mais bon, on pourra toujours se contenter en disant "Tiens, prends ça Poutine!" en baissant la température de l'eau chaude comme nous l'a suggéré la vice-présidente de la Commission Européenne:

 
Poutine est d'accord pour vendre son énergie.
C'est du côté UE que ça coince pour acheter.

Mais bon, on pourra toujours se contenter en disant "Tiens, prends ça Poutine!" en baissant la température de l'eau chaude comme nous l'a suggéré la vice-présidente de la Commission Européenne:

Je crois que tu n’as pas compris mon post :
Les conserves et plats cuisinés William Saurin et Garbit, c’est vraiment de la meeeeerde (comme disait Jean Pierre Coffe).
Donc je suis sincèrement content que Poutine ait contribué à l’arrêt de leurs productions.
Il n’y a ni ironie, ni second degré …
Juste que « À quelque chose malheur est bon »
 
Je crois que tu n’as pas compris mon post :
Les conserves et plats cuisinés William Saurin et Garbit, c’est vraiment de la meeeeerde (comme disait Jean Pierre Coffe).
Donc je suis sincèrement content que Poutine ait contribué à l’arrêt de leurs productions.
Il n’y a ni ironie, ni second degré …
Juste que « À quelque chose malheur est bon »
Ah désolé je n'ai pas perçu l'ironie, personnellement je pense que c'est une très mauvaise nouvelle. Ce n'est pas ça qui va faire baisser les prix de l'alimentation en France (en plus les conserves Raynal et Roquelaure concernées par cette fermeture sont très bien pour des conserves).
 
Plus de "Couscous Garbit", Plus de "Cassoulet William Saurin !!!! :eek:

(Once again, every cloud has a silver lining)

La gastronomie française est reconnaissante à Poutine ....
Toi c'est la derniere fois que tu critiques le cassoulet William Saurin.
Un peu de respect stp.
 

TotalEnergies se retire du géant gazier russe Novatek au prix de 3,7 milliards de dollars de dépréciation

TotalEnergies ne comptabilisera plus dans ses résultats les 19,4% qu'il détient chez Novatek.

Communique : Le groupe français TotalEnergies a annoncé vendredi retirer ses administrateurs du russe Novatek et ne plus comptabiliser dans ses résultats les 19,4% qu'il détient dans le géant gazier, prévoyant en conséquence une dépréciation d'actifs de 3,7 milliards de dollars au quatrième trimestre.
«Le Conseil d'Administration de TotalEnergies a décidé du retrait des représentants de la Compagnie au Conseil d'Administration de PAO Novatek avec effet immédiat» et la «participation de 19,4% détenue par TotalEnergies dans Novatek ne sera plus consolidée dans les comptes de la Compagnie», a indiqué TotalEnergies dans un communiqué, cette décision se traduisant par «une dépréciation d'environ 3,7 milliards de dollars».


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Suicide economique francais , tout en achetant des matieres fossiles russes a l' Inde & la Chine pour approvisionner la France ... Un non sens car la guerre aura une fin ( a moins qu'elle ne degenere c'est a prendre en consideration et ce n'est pas souhaitable ) , et nous allons nous retrouver en string ficelle , une main devant ,une main derriere et les oreilles pour applaudir au niveau economique et de l'autonomie dans un secteur crucial et nous aurons perdu des milliards au passage , 3. 7 dans l'instant , tout en ayant apporte notre experience et expertise technologique a la Russie durant des annees , alors que tout le monde se fera a nouveau des langues sous la douche , car ne nous leurrons pas une fois les crises passees le passe ne pese plus grand chose dans la Geopolitique et principalement dans la Geoeconomie , sinon les contorsions et autres grimaces de facades afin d'abreuver la plebe , l'histoire est la pour en temoigner ... :bravo:
 
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Le vendeur d'armes qui a inspire le film "Lord of War" a ete libere en echange de la basqueteuse americaine. Tres bon film au demeurant.

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