Ce forum va adorer ce carton: 3 ans qu'il existe.
Elections Etats Unis 2024 - Trump vs Kamala Harris - " Perspectives " Geopolitiques Internationales 2025...
- Auteur de la discussion lafoy-china
- Date de début
Si le president Trump perd cette parodie d' election, il risque de l'etre nettement plus !
Dernière édition:
Représailles chinoises après l'interdiction américaine de télécharger TikTok et WeChat
La Chine a instauré samedi 19 septembre un mécanisme lui permettant de restreindre les activités d'entreprises étrangères au lendemain de l'annonce par Washington de l'interdiction de télécharger à partir de dimanche TikTok et WeChat, nouvelle escalade dans le bras de fer avec Pékin sur le sort des deux applications.
Extraits : La liste chinoise «d'entités non fiables» - dont les noms des sociétés étrangères visées n'ont pas été rendus publiques - comprend des sanctions potentielles allant d'amendes à la restriction d'activités ou d'entrée de matériel et de personnel en Chine. Son entrée en vigueur est vue comme une réponse à la liste similaire instaurée par Washington pour exclure le géant chinois des télécoms Huawei du marché américain, puis pour s'en prendre aux applications TikTok et WeChat.
* Washington laisse cependant une porte ouverte à TikTok, application très populaire auprès des jeunes permettant de produire de courtes vidéos, avant de lui interdire complètement d'opérer sur son sol.
«Le président laisse jusqu'au 12 novembre pour résoudre les problèmes de sécurité nationale posés par TikTok. Les interdictions pourraient être levées le cas échéant», a indiqué le département du Commerce.
www.lefigaro.fr
* Manipulations des voix sur les electeurs en ages de voter ! C'est ferme mais ca fonctionne encore ! Apres le 12 novembre on verra ...
La Chine a instauré samedi 19 septembre un mécanisme lui permettant de restreindre les activités d'entreprises étrangères au lendemain de l'annonce par Washington de l'interdiction de télécharger à partir de dimanche TikTok et WeChat, nouvelle escalade dans le bras de fer avec Pékin sur le sort des deux applications.
Extraits : La liste chinoise «d'entités non fiables» - dont les noms des sociétés étrangères visées n'ont pas été rendus publiques - comprend des sanctions potentielles allant d'amendes à la restriction d'activités ou d'entrée de matériel et de personnel en Chine. Son entrée en vigueur est vue comme une réponse à la liste similaire instaurée par Washington pour exclure le géant chinois des télécoms Huawei du marché américain, puis pour s'en prendre aux applications TikTok et WeChat.
* Washington laisse cependant une porte ouverte à TikTok, application très populaire auprès des jeunes permettant de produire de courtes vidéos, avant de lui interdire complètement d'opérer sur son sol.
«Le président laisse jusqu'au 12 novembre pour résoudre les problèmes de sécurité nationale posés par TikTok. Les interdictions pourraient être levées le cas échéant», a indiqué le département du Commerce.
Représailles chinoises après l'interdiction américaine de télécharger TikTok et WeChat
Les Etats-Unis ont annoncé vendredi l'interdiction, à partir de dimanche, du téléchargement des deux applications.
www.lefigaro.fr
* Manipulations des voix sur les electeurs en ages de voter ! C'est ferme mais ca fonctionne encore ! Apres le 12 novembre on verra ...
Dernière édition:
Mort de Ruth Bader Ginsburg : quel est le rôle de la Cour suprême des États-Unis ?
La disparition de la juge laisse vacant un poste doté de grands pouvoirs.
Extraits : «Parmi les trois pouvoirs, le président peut faillir sans que l'État souffre, parce que le président n'a qu'un pouvoir borné. Le Congrès peut errer sans que l'Union périsse. Mais si la Cour suprême venait à être composée d'hommes imprudents ou corrompus, la Confédération aurait à craindre l'anarchie ou la guerre civile», résumait ainsi Alexis de Tocqueville en 1848, dans son ouvrage De la démocratie en Amérique.
Quels sont le pouvoirs de la Cour suprême ?
«Justice égale selon la loi» («Equal Justice under Law»), telle est la devise de la Cour suprême des États-Unis. Fondée en 1789, elle est la plus haute juridiction du pays. La Cour suprême a pour mission de trancher en dernier recours, pour ou contre, des décisions prises au sein d'un des cinquante États du pays ou par l'État fédéral.
C'est un élément fondamental de l'équilibre des pouvoirs dans le pays. L'institution-clé de la politique américaine doit en outre statuer sur la conformité des textes de loi, décrets présidentiels ou décisions, avec la Constitution américaine de 1787. Elle est au sommet de la hiérarchie juridictionnelle fédérale. Tous ses jugements sont rendus, à la majorité, sans l'opportunité d'y faire appel. Chaque année, l'institution se prononce environ sur une centaine de cas.
Suite >>>
www.lefigaro.fr
www.jesuismort.com
Pour ceux ou celles que ca interesse !
Alexis de Tocqueville: De la démocratie en Amérique, tome 1( pdf - 2 tomes )
Introduction : Parmi les objets nouveaux qui, pendant mon séjour aux États-Unis,ont attiré mon attention, aucun n’a plus vivement frappé mes regards que l’égalité des conditions. Je découvris sans peine l’influence prodigieuse qu’exerce ce premier fait sur la marche de la société ; il donne à l’espritpublic une certaine direction, un certain tour aux lois ; aux gouvernantsdes maximes nouvelles, et des habitudes particulières aux gouvernés.
www.ac-grenoble.fr
La disparition de la juge laisse vacant un poste doté de grands pouvoirs.
Extraits : «Parmi les trois pouvoirs, le président peut faillir sans que l'État souffre, parce que le président n'a qu'un pouvoir borné. Le Congrès peut errer sans que l'Union périsse. Mais si la Cour suprême venait à être composée d'hommes imprudents ou corrompus, la Confédération aurait à craindre l'anarchie ou la guerre civile», résumait ainsi Alexis de Tocqueville en 1848, dans son ouvrage De la démocratie en Amérique.
Quels sont le pouvoirs de la Cour suprême ?
«Justice égale selon la loi» («Equal Justice under Law»), telle est la devise de la Cour suprême des États-Unis. Fondée en 1789, elle est la plus haute juridiction du pays. La Cour suprême a pour mission de trancher en dernier recours, pour ou contre, des décisions prises au sein d'un des cinquante États du pays ou par l'État fédéral.
C'est un élément fondamental de l'équilibre des pouvoirs dans le pays. L'institution-clé de la politique américaine doit en outre statuer sur la conformité des textes de loi, décrets présidentiels ou décisions, avec la Constitution américaine de 1787. Elle est au sommet de la hiérarchie juridictionnelle fédérale. Tous ses jugements sont rendus, à la majorité, sans l'opportunité d'y faire appel. Chaque année, l'institution se prononce environ sur une centaine de cas.
Suite >>>
Mort de Ruth Bader Ginsburg : quel est le rôle de la Cour suprême des États-Unis ?
La disparition de la juge laisse vacant un poste doté de grands pouvoirs.
www.lefigaro.fr
Alexis de TOCQUEVILLE : Biographie, Tombe, Citations, Forum... - JeSuisMort.com
Tout sur ALEXIS DE TOCQUEVILLE : sa tombe, des infos sur sa vie, des photos de Alexis de Tocqueville, des vidéos, des citations, la biographie de Alexis de Tocqueville... Participez à l'amélioration des infos sur Alexis de Tocqueville et discutez avec d'autres passionnés et contributeurs autours...
www.jesuismort.com
Alexis de Tocqueville: De la démocratie en Amérique, tome 1( pdf - 2 tomes )
Introduction : Parmi les objets nouveaux qui, pendant mon séjour aux États-Unis,ont attiré mon attention, aucun n’a plus vivement frappé mes regards que l’égalité des conditions. Je découvris sans peine l’influence prodigieuse qu’exerce ce premier fait sur la marche de la société ; il donne à l’espritpublic une certaine direction, un certain tour aux lois ; aux gouvernantsdes maximes nouvelles, et des habitudes particulières aux gouvernés.
Accueil | PhiloSophie
Dernière édition:
Le FBI met en garde contre la désinformation lors de l'élection présidentielle américaine
Le FBI et l'agence américaine de cybersécurité ont mis en garde mardi contre de possibles campagnes de désinformation, favorisées par un décompte des voix plus lent cette année, visant à discréditer les résultats de l'élection présidentielle du 3 novembre.
Communique : «Des acteurs étrangers et des cybercriminels pourraient créer de nouveaux sites Internet, changer les sites existants, et créer ou partager des contenus liés (à ces sites) sur les réseaux sociaux afin de répandre de fausses informations», au moment de l'élection ont prévenu le FBI et l'agence de cybersécurité américaine dans un communiqué. De telles actions viseraient à discréditer le processus électoral et à éroder la confiance du public en les institutions démocratiques, selon eux.
Les autorités américaines s'attendent à un recours accru au vote par correspondance, ce qui allongerait les délais de dépouillement et pourrait empêcher qu'un résultat soit connu avant plusieurs jours. Ce temps de latence pourrait être utilisé par des acteurs malveillants pour diffuser de la désinformation au sujet d'une fraude électorale, ou d'infrastructures de vote piratées, afin de «convaincre le public de l'illégitimité de l'élection».
Le FBI et l'agence américaine de cybersécurité appellent donc les électeurs à bien vérifier les sources des informations qu'ils consultent et à signaler aux autorités toutes opérations de désinformation suspectées. Des études et des géants des réseaux sociaux ont déjà déclaré avoir détecté de nombreux efforts pour remettre en cause la fiabilité de l'élection. Donald Trump lui-même met régulièrement en doute la fiabilité du vote par correspondance, une méthode prisée et éprouvée aux Etats-Unis, et cruciale en période de crise sanitaire.
www.lefigaro.fr
www.lefigaro.fr
Le president Trump a donc ordonne des represailles preventives a cet effet contre le FBI , qui se mele de ce qui ne le regarde pas !
Communique : «Des acteurs étrangers et des cybercriminels pourraient créer de nouveaux sites Internet, changer les sites existants, et créer ou partager des contenus liés (à ces sites) sur les réseaux sociaux afin de répandre de fausses informations», au moment de l'élection ont prévenu le FBI et l'agence de cybersécurité américaine dans un communiqué. De telles actions viseraient à discréditer le processus électoral et à éroder la confiance du public en les institutions démocratiques, selon eux.
Les autorités américaines s'attendent à un recours accru au vote par correspondance, ce qui allongerait les délais de dépouillement et pourrait empêcher qu'un résultat soit connu avant plusieurs jours. Ce temps de latence pourrait être utilisé par des acteurs malveillants pour diffuser de la désinformation au sujet d'une fraude électorale, ou d'infrastructures de vote piratées, afin de «convaincre le public de l'illégitimité de l'élection».
Le FBI et l'agence américaine de cybersécurité appellent donc les électeurs à bien vérifier les sources des informations qu'ils consultent et à signaler aux autorités toutes opérations de désinformation suspectées. Des études et des géants des réseaux sociaux ont déjà déclaré avoir détecté de nombreux efforts pour remettre en cause la fiabilité de l'élection. Donald Trump lui-même met régulièrement en doute la fiabilité du vote par correspondance, une méthode prisée et éprouvée aux Etats-Unis, et cruciale en période de crise sanitaire.
Le FBI met en garde contre la désinformation lors de l'élection présidentielle américaine
Le FBI et l'agence américaine de cybersécurité ont mis en garde mardi contre de possibles campagnes de désinformation, favorisées par un décompte des...
www.lefigaro.fr
Présidentielle américaine : la veuve du républicain John McCain soutient Joe Biden
Le candidat démocrate à la présidentielle américaine, Joe Biden, a reçu mardi le soutien de la veuve du sénateur John McCain, décédé en 2018, et...
www.lefigaro.fr
Le president Trump a donc ordonne des represailles preventives a cet effet contre le FBI , qui se mele de ce qui ne le regarde pas !
Bonjour Lafoy..Le president Trump a donc ordonne des represailles preventives a cet effet contre le FBI , qui se mele de ce qui ne le regarde pas !
Quelles représailles? (ma recherche sur Google est restée infructueuse)
Un haut responsable américain de santé «déçu» des attaques du pouvoir sur son agence
Le directeur des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) aux Etats-Unis, Robert Redfield, a déploré mercredi devant le Congrès les attaques d'un responsable du ministère de la Santé (HHS) proche du président Donald Trump et qui a depuis quitté son poste.
Communique : «J'aimerais ajouter à quel point j'ai été déçu personnellement quand des gens au HHS ont fait des commentaires selon lesquels ils pensaient qu'il y avait aux CDC un 'deep state'», soit un Etat profond ou un Etat dans l'Etat, a déclaré Robert Redfield lors d'une audition.
Il faisait référence à Michael Caputo, ancien chef de la communication du ministère de la Santé, qui a pris un congé la semaine dernière après des révélations sur de multiples pressions exercées sur les experts scientifiques des CDC.
www.lefigaro.fr
www.politico.com
Je ne sais pas ou il en sont avec les vaccins , mais les pressions et les menaces doivent etres invraisemblables ! Ce sont des medecins et des scientifiques il ne peuvent pas injecter n'importe quoi aux personnes sous un pretexte electoral , dans le mois qui suit ! Ils savent que ca va leur retomber sur le museau , si ca tourne mal ...
Le directeur des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) aux Etats-Unis, Robert Redfield, a déploré mercredi devant le Congrès les attaques d'un responsable du ministère de la Santé (HHS) proche du président Donald Trump et qui a depuis quitté son poste.
Communique : «J'aimerais ajouter à quel point j'ai été déçu personnellement quand des gens au HHS ont fait des commentaires selon lesquels ils pensaient qu'il y avait aux CDC un 'deep state'», soit un Etat profond ou un Etat dans l'Etat, a déclaré Robert Redfield lors d'une audition.
Il faisait référence à Michael Caputo, ancien chef de la communication du ministère de la Santé, qui a pris un congé la semaine dernière après des révélations sur de multiples pressions exercées sur les experts scientifiques des CDC.
Un haut responsable américain de santé «déçu» des attaques du pouvoir sur son agence
Le directeur des Centres de prévention et de lutte contre les maladies (CDC) aux Etats-Unis, Robert Redfield, a déploré mercredi devant le Congrès les...
www.lefigaro.fr
Trump says he might reject stricter FDA vaccine guidelines
The FDA has reportedly proposed stricter emergency authorization standards, which are now under review by the White House Office of Management and Budget.
www.politico.com
Dernière édition:
Trump refuse de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir
Dans la même intervention, le président américain a suggéré de se «débarrasser» des bulletins de vote par correspondance envoyés pour le scrutin présidentiel du 3 novembre.
Extrait : Le président américain a refusé mercredi de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir en cas de défaite à l'élection du 3 novembre, s'attirant les réactions outrées de son adversaire démocrate et jusque dans son propre camp. «Il va falloir que nous voyions ce qui se passe», a déclaré Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche. Il avait été interrogé par un journaliste qui lui demandait de prendre l'engagement d'assurer un transfert sans violence du pouvoir quel que soit le résultat de l'élection qui l'oppose au démocrate Joe Biden.
Actuellement en retard dans les sondages, le président républicain se plaint régulièrement des conditions d'organisation du scrutin et affirme que le vote par correspondance est source de fraudes potentielles. Cette assertion n'est pas démontrée, mais le vote par courrier devrait être beaucoup plus utilisé cette année du fait de la pandémie de Covid-19. Donald Trump a semblé mercredi appeler à une annulation des bulletins envoyés par la poste. «Débarrassons-nous de ces bulletins et ce sera très pacifique, il n'y aura pas de transfert vraiment, ce sera une continuation», a-t-il dit.
www.lefigaro.fr
www.latribune.fr
www.lefigaro.fr
Au moins c'est annonce sans ambiguite !
Dans la même intervention, le président américain a suggéré de se «débarrasser» des bulletins de vote par correspondance envoyés pour le scrutin présidentiel du 3 novembre.
Extrait : Le président américain a refusé mercredi de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir en cas de défaite à l'élection du 3 novembre, s'attirant les réactions outrées de son adversaire démocrate et jusque dans son propre camp. «Il va falloir que nous voyions ce qui se passe», a déclaré Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche. Il avait été interrogé par un journaliste qui lui demandait de prendre l'engagement d'assurer un transfert sans violence du pouvoir quel que soit le résultat de l'élection qui l'oppose au démocrate Joe Biden.
Actuellement en retard dans les sondages, le président républicain se plaint régulièrement des conditions d'organisation du scrutin et affirme que le vote par correspondance est source de fraudes potentielles. Cette assertion n'est pas démontrée, mais le vote par courrier devrait être beaucoup plus utilisé cette année du fait de la pandémie de Covid-19. Donald Trump a semblé mercredi appeler à une annulation des bulletins envoyés par la poste. «Débarrassons-nous de ces bulletins et ce sera très pacifique, il n'y aura pas de transfert vraiment, ce sera une continuation», a-t-il dit.
Trump refuse de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir
Dans la même intervention, le président américain a suggéré de se «débarrasser» des bulletins de vote par correspondance envoyés pour le scrutin présidentiel du 3 novembre.
www.lefigaro.fr
Le scrutin de novembre finira devant la Cour suprême, dit Trump
WASHINGTON - L'issue du scrutin présidentiel du 3 novembre prochain se décidera devant la Cour suprême, a déclaré mercredi le président Donald Trump, candidat à sa propre succession. Selon lui, cette hypothèse justifie que le siège laissé vacant par la mort vendredi dernier de la juge Ruth...
www.latribune.fr
Un fils Trump contraint à témoigner sur les affaires de son père avant la présidentielle
Eric Trump, le fils de Donald Trump le plus impliqué dans la gestion des affaires de son père, devra témoigner sous serment d'ici le 7 octobre dans le...
www.lefigaro.fr
Au moins c'est annonce sans ambiguite !
Dernière édition:
Il va y avoir du sport à partir du 4 novembre.
Bonjour ChrisIl va y avoir du sport à partir du 4 novembre.
Comme deja dit c'est un psychopathe narcissico pervers paranoiaque au pouvoir et qui sent sa perte * arriver en cas de victoire de monsieur Biden , il est donc pas possible de pronostiquer le resultat des elections , ce ne sont plus des elections democratiques , c'est le chaos le plus total et la haine distillee a tout les etages , tout en esperant pour les americains que ca ne degenere pas en guerre civile !
* J'ai regarde un talk show d'experts juridiques je ne sais plus sur quelle chaine US , son ex avocat d'affaires depuis 15 ans sorti recemment de prison pourrait en echange de son immunite accepter de collaborer avec la justice et le FBI , des centaines de personnes escroquees par les 2 comperes seraient en mesure de deposer plaintes pour abus de confiance , faux usages de faux ,faux bilans , escroqueries etc... plus les affaires deja en cours avant son mandat . Ce qui signifierait la fin de l'Empire Trump , de ce fait il s'accroche aux rideaux de la maison blanche comme un beau diable et tente tout les stratagemes possibles et imaginables ... On peut le comprendre il n'a guere envie de rejoindre monsieur Madoff derriere les barreaux dans 4 m2 et d'appeler sa main preferee " Melania " .... C'est humain ...
Dernière édition:
A voir si les démocrates lancent une nouvelle destitution pour bloquer le process de nomination du remplaçant à la cour supreme...
Car une fois la cour suprême franchement républicaine ca risque de nettement compromettre les chances d'une élection impartiale (arbitrée par la cour suprême) et surtout la politique de la nation pour les xx année à venir (surtout si une femme de moins de 50 ans est nommée à vie).
Car une fois la cour suprême franchement républicaine ca risque de nettement compromettre les chances d'une élection impartiale (arbitrée par la cour suprême) et surtout la politique de la nation pour les xx année à venir (surtout si une femme de moins de 50 ans est nommée à vie).
Il devrait aller faire un stage en Biélorussie, ils ont l’air de s’y connaître en organisation d’élections « démocratiques »Trump refuse de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir
Dans la même intervention, le président américain a suggéré de se «débarrasser» des bulletins de vote par correspondance envoyés pour le scrutin présidentiel du 3 novembre.
Extrait : Le président américain a refusé mercredi de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir en cas de défaite à l'élection du 3 novembre, s'attirant les réactions outrées de son adversaire démocrate et jusque dans son propre camp. «Il va falloir que nous voyions ce qui se passe», a déclaré Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche. Il avait été interrogé par un journaliste qui lui demandait de prendre l'engagement d'assurer un transfert sans violence du pouvoir quel que soit le résultat de l'élection qui l'oppose au démocrate Joe Biden.
Actuellement en retard dans les sondages, le président républicain se plaint régulièrement des conditions d'organisation du scrutin et affirme que le vote par correspondance est source de fraudes potentielles. Cette assertion n'est pas démontrée, mais le vote par courrier devrait être beaucoup plus utilisé cette année du fait de la pandémie de Covid-19. Donald Trump a semblé mercredi appeler à une annulation des bulletins envoyés par la poste. «Débarrassons-nous de ces bulletins et ce sera très pacifique, il n'y aura pas de transfert vraiment, ce sera une continuation», a-t-il dit.
Trump refuse de s'engager à un transfert pacifique du pouvoir
Dans la même intervention, le président américain a suggéré de se «débarrasser» des bulletins de vote par correspondance envoyés pour le scrutin présidentiel du 3 novembre.Le scrutin de novembre finira devant la Cour suprême, dit Trump
WASHINGTON - L'issue du scrutin présidentiel du 3 novembre prochain se décidera devant la Cour suprême, a déclaré mercredi le président Donald Trump, candidat à sa propre succession. Selon lui, cette hypothèse justifie que le siège laissé vacant par la mort vendredi dernier de la juge Ruth...Un fils Trump contraint à témoigner sur les affaires de son père avant la présidentielle
Eric Trump, le fils de Donald Trump le plus impliqué dans la gestion des affaires de son père, devra témoigner sous serment d'ici le 7 octobre dans le...
Au moins c'est annonce sans ambiguite !
Il s’entendrait certainement à merveille avec Lukashenko en plus
Le lancement d'une procédure de destitution bloquerait la nomination d'un remplaçant ?
Joe Biden est-il laxiste en matière de sécurité ?
FACK CHECKING. Donald Trump fait campagne en revendiquant «la loi et l'ordre» et accuse son adversaire d'être laxiste en la matière. Des accusations fausses tant Joe Bien a signé de lois sécuritaires. Par Jean-Éric Branaa, Auteurs fondateurs The Conversation France (*)
Extrait : « Law and order » (la loi et l'ordre) : tel est le tweet le plus repris par le président des États-Unis depuis trois mois, un slogan de trois mots, martelé avec régularité et volontarisme et qui est peu à peu devenu son unique programme pour porter sa réélection. Donald Trump a par conséquent pris l'habitude de reprocher à Joe Biden d'être « soft on crime », c'est-à-dire de se montrer indulgent face à la criminalité. Le vice-président Mike Pence a dépeint le candidat démocrate comme « le cheval de Troie du socialisme », prêt à réduire le budget de la police. Sauf que Joe Biden a au contraire produit et défendu, tout au long de sa carrière, des lois sécuritaires. Revenons sur ce bilan qui, s'il s'avère gênant pour l'aile gauche du parti, place le camp démocrate au centre droit en matière de sécurité.
Suite de l'analyse >>>
www.latribune.fr
theconversation.com
FACK CHECKING. Donald Trump fait campagne en revendiquant «la loi et l'ordre» et accuse son adversaire d'être laxiste en la matière. Des accusations fausses tant Joe Bien a signé de lois sécuritaires. Par Jean-Éric Branaa, Auteurs fondateurs The Conversation France (*)
Extrait : « Law and order » (la loi et l'ordre) : tel est le tweet le plus repris par le président des États-Unis depuis trois mois, un slogan de trois mots, martelé avec régularité et volontarisme et qui est peu à peu devenu son unique programme pour porter sa réélection. Donald Trump a par conséquent pris l'habitude de reprocher à Joe Biden d'être « soft on crime », c'est-à-dire de se montrer indulgent face à la criminalité. Le vice-président Mike Pence a dépeint le candidat démocrate comme « le cheval de Troie du socialisme », prêt à réduire le budget de la police. Sauf que Joe Biden a au contraire produit et défendu, tout au long de sa carrière, des lois sécuritaires. Revenons sur ce bilan qui, s'il s'avère gênant pour l'aile gauche du parti, place le camp démocrate au centre droit en matière de sécurité.
Suite de l'analyse >>>
Joe Biden est-il laxiste en matière de sécurité?
FACT CHECKING. Donald Trump fait campagne en revendiquant «la loi et l'ordre» et accuse son adversaire d'être laxiste en la matière. Des accusations fausses tant Joe Bien a signé de lois sécuritaires. Par Jean-Éric Branaa, Auteurs fondateurs The Conversation France (*)
www.latribune.fr
The Conversation : des analyses de l’actualité par des universitaires et chercheurs
Des analyses informées pour nourrir le débat sur les grands sujets et enjeux du monde. Média indépendant qui s’appuie sur le collaboration entre journalistes et chercheurs expert dans leurs domaines..
theconversation.com
Yes
Pelosi won’t rule out impeachment to block Trump’s court nominee
Warning by top Democrat signals an escalation in the judicial wars that will only intensify on Capitol Hill.
www.scmp.com
Pelosi n'écarte pas de recourir à l'impeachment, mais légalement cela n'empêchera pas la nomination, si Trump et le Sénat veulent faire le forcing.Yes
Pelosi won’t rule out impeachment to block Trump’s court nominee
Warning by top Democrat signals an escalation in the judicial wars that will only intensify on Capitol Hill.
La procédure d'impeachement n'a aucun effet suspensif sur les pouvoirs du président ; c'est juste une mise en accusation, qui met en marche une enquête du Senat et abouti a un vote de destitution ou non. (un peu comme la motion de censure en France ; le dépôt d'une motion de censure n'enlève aucune prérogative au gouvernement, c'est seulement son adoption qui entraine la démission du gouvernement)
Quelques réponses ici :
If the President is impeached, can he nominate a Supreme Court pick?
Answer (1 of 67): Yes, of course. An impeachment of the president is meaningless unless it results in removal from office, just as being charged with a crime is meaningless unless it results in a conviction and jail time. In this country, people are innocent until proven guilty; we have certain ...
En fait, la réponse se trouve ici :
Source : https://www.dailymail.co.uk/news/ar...g-impeach-delay-Supreme-Court-nomination.html
Si la Chambre des Représentants vote l'impeachment, la procédure devient prioritaire dans l'ordre du jour du Sénat, ce qui pourrait retarder le processus de nomination à la Cour Supreme, mais pas l'empêcher.
Mais le Sénat pourra réorganiser son ordre du jour pour faire passer la nomination quand même.
Et Trump a dit qu'il annoncera sa candidate ce week-end (il avait déjà annoncé que ce serait une femme)
oui c'est le processus de validation au sénat qui serait retardé car c'est au sénat de validé la nomination.
Après est ce suffisant pour tenir jusqu'aux élections, sans doute pas mais ce n'est pas forcément non plus la seule arme qu'ils ont pour courcircuiter cette nomination...
Le problème s'ils rentrent dans une guerre de procédure, outre son issue incertaine c'est surtout l'impact que cela aurait sur l'élection.
États-Unis : le chef des républicains au Sénat promet une «transition en bon ordre» à la Maison-Blanche
Le chef de la majorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell a promis jeudi 24 septembre une «transition en bon ordre» après l'élection présidentielle du 3 novembre, en réponse à Donald Trump qui avait refusé la veille de s'engager sur un transfert pacifique du pouvoir si son rival Joe Biden l'emportait.
Extrait : «Le vainqueur de l'élection du 3 novembre sera investi le 20 janvier» comme prévu, a tweeté Mitch McConnell, un allié du président républicain. «Il y aura une transition en bon ordre comme tous les quatre ans depuis 1792», date de la deuxième élection présidentielle des Etats-Unis avec un mandat de quatre ans, a-t-il insisté.
Donald Trump s'est attiré des réactions outrées jusque dans son camp en refusant, en réponse à la question d'un journaliste, de garantir un passage sans violence du pouvoir, quel que soit le résultat de l'élection qui l'opposera au démocrate Joe Biden. «Il va falloir que nous voyions ce qui se passe», a simplement dit Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison-Blanche. Ces déclarations ambiguës de Donald Trump s'inscrivent dans un contexte tendu aux Etats-Unis à moins de six semaines de l'élection .
www.lefigaro.fr
www.lefigaro.fr
Monsieur McConnell !
Le chef de la majorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell a promis jeudi 24 septembre une «transition en bon ordre» après l'élection présidentielle du 3 novembre, en réponse à Donald Trump qui avait refusé la veille de s'engager sur un transfert pacifique du pouvoir si son rival Joe Biden l'emportait.
Extrait : «Le vainqueur de l'élection du 3 novembre sera investi le 20 janvier» comme prévu, a tweeté Mitch McConnell, un allié du président républicain. «Il y aura une transition en bon ordre comme tous les quatre ans depuis 1792», date de la deuxième élection présidentielle des Etats-Unis avec un mandat de quatre ans, a-t-il insisté.
Donald Trump s'est attiré des réactions outrées jusque dans son camp en refusant, en réponse à la question d'un journaliste, de garantir un passage sans violence du pouvoir, quel que soit le résultat de l'élection qui l'opposera au démocrate Joe Biden. «Il va falloir que nous voyions ce qui se passe», a simplement dit Donald Trump lors d'une conférence de presse à la Maison-Blanche. Ces déclarations ambiguës de Donald Trump s'inscrivent dans un contexte tendu aux Etats-Unis à moins de six semaines de l'élection .
États-Unis : le chef des républicains au Sénat promet une «transition en bon ordre» à la Maison-Blanche
Le chef de la majorité républicaine au Sénat américain Mitch McConnell a promis jeudi 24 septembre une «transition en bon ordre» après l'élection...
www.lefigaro.fr
Le chef républicain du Sénat prêt à organiser un vote si Trump nomme un successeur à la juge Ginsburg
Le chef républicain du Sénat a déclaré qu'il organiserait un vote à la chambre haute du Congrès si Donald Trump nommait avant l'élection du 3...
www.lefigaro.fr
Monsieur McConnell !
Dernière édition:
