oui pardon je me suis trompéC'est l'inverse en fait il nationalise
oui pardon je me suis trompéC'est l'inverse en fait il nationalise
BJ a augmenté le SMIC, privatisé une ligne ferroviaire et d'autres sont prévues, va mettre du blé dans les hôpitaux. C'est déjà des trucs que tu ne peux pas faire si tu es dans l'UE parce qu'il faut respecter les GOPEs.
Mais bon si tu crois que BJ va rien faire pendant un an, à mon avis tu te trompe.
c'est vrai mais comme il faut être compétitif et que l'on n'a plus de souveraineté monétaire, le seul moyen est de baisser le coût du travail et le meilleur moyen est de geler les salaires. C'est le cas des fonctionnaires depuis un bon moment.Aucun traité ou directive européenne n'interdit d'augmenter le SMIC. Dieu sait qu'on ne s'en est pas privé en France par le passé...
c'est vrai encore une fois, c'est Margaret qui était à fond dans l'ultra libérarisme mais au prix d'une casse sociale énorme.La privatisation des lignes de chemin de fer en Angleterre ne s'est pas fait à la demande de l'UE.
tu auras bientôt la même chose en France et ce serait drôle de devoir aller au RU pour se faire soigner.Je vivais aux UK fin des années 80 bien avant Maastrich et autres traités qui vous indisposent et déjà à l'époque les hôpitaux public anglais étaient à fuir, il fallait prendre rdv des mois à l'avance ci bien que nombreux se rendaient en France pour se faire soigner. Ou alors se faire soigner en hôpital privé à coût exorbitant comme le cromwell hospital. Donc dire que l'état des hôpitaux anglais serait de la faute de l'UE c'est même pas se mentir, c'est juste ignorer totalement le fonctionnement du système de santé anglais
1. les GOPEs (et donc le PNR) parlent du SMICAucun traité ou directive européenne n'interdit d'augmenter le SMIC. Dieu sait qu'on ne s'en est pas privé en France par le passé...
La privatisation des lignes de chemin de fer en Angleterre ne s'est pas fait à la demande de l'UE.
Je vivais aux UK fin des années 80 bien avant Maastrich et autres traités qui vous indisposent et déjà à l'époque les hôpitaux public anglais étaient à fuir, il fallait prendre rdv des mois à l'avance ci bien que nombreux se rendaient en France pour se faire soigner. Ou alors se faire soigner en hôpital privé à coût exorbitant comme le cromwell hospital. Donc dire que l'état des hôpitaux anglais serait de la faute de l'UE c'est même pas se mentir, c'est juste ignorer totalement le fonctionnement du système de santé anglais
Ce n'est pas étonnant que l'UE soit un naufrage tant économique, monétaire et militaire quand on voit qu'au fond elle ne suit aucune règle des grands penseurs économiques, pour la plupart britanniques et américains, et finalement ce qui fait sourire (ou plutôt pleurer) c'est de voir les européistes continentaux se croire plus malins sur ce terrain là, alors qu'à l'évidence ces 2 pays qui y ont toujours été en avance, et qu'encore une fois on est à la ramasse.
Pas de problème, en France on adore donner des milliards d'euros dans le vent sans contrepartie. (les mêmes milliards d'euros dont on fait la chasse aux dépenses publiques en France...).Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne
Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.
Extrait : Un chiffre colossal. Douze milliards d'euros : c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne. Une difficulté supplémentaire pour établir le casse-tête du prochain cadre financier pluriannuel (CFP, 2021-2027). Pour résoudre ce problème, la Commission Juncker avait mis sur la table une proposition dès mai 2018, avant de passer le relais à la nouvelle équipe d'Ursula von der Leyen.
Le dossier est désormais dans les mains du président du Conseil européen Charles Michel, qui a convoqué un sommet extraordinaire pour tenter de mettre d'accord les 27. Cette réunion au sommet "commencera" le jeudi 20 février et devrait jouer les prolongations. Le Royaume-Uni est un "contributeur net" au budget européen, c'est-à-dire qu'il donne plus d'argent qu'il n'en reçoit. Selon les comptes de la Commission, la perte de 12 milliards d'euros en 2021 s'élèvera à 84 milliards sur 7 ans.
Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne
Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.www.latribune.fr
Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne
Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.
Extrait : Un chiffre colossal. Douze milliards d'euros : c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni de l'Union européenne. Une difficulté supplémentaire pour établir le casse-tête du prochain cadre financier pluriannuel (CFP, 2021-2027). Pour résoudre ce problème, la Commission Juncker avait mis sur la table une proposition dès mai 2018, avant de passer le relais à la nouvelle équipe d'Ursula von der Leyen.
Le dossier est désormais dans les mains du président du Conseil européen Charles Michel, qui a convoqué un sommet extraordinaire pour tenter de mettre d'accord les 27. Cette réunion au sommet "commencera" le jeudi 20 février et devrait jouer les prolongations. Le Royaume-Uni est un "contributeur net" au budget européen, c'est-à-dire qu'il donne plus d'argent qu'il n'en reçoit. Selon les comptes de la Commission, la perte de 12 milliards d'euros en 2021 s'élèvera à 84 milliards sur 7 ans.
Avec le Brexit, un manque à gagner de 12 milliards d'euros pour l'Union européenne
Douze milliards d'euros par an à partir de 2021, c'est le trou béant laissé par le départ du Royaume-Uni qui complique encore les négociations entre les 27 sur le prochain budget à long terme de l'Union européenne.www.latribune.fr
pas mieux.Madame Loiseau ne manque pas de toupet nous ne sommes pas en dictature !
C'est quand meme incroyable ce deni de democratie dans la classe dirigeante francaise , si le peuple en a decide ainsi pourquoi contester ? Le peuple est souverain !
A coup sur si il y avait in referendum sur le Frexit et que le oui l'emporte , il passerait a la trappe comme les autres !
The butter and the money for the butter ...tiens l’UK se souvient de l’UE pour évacuer ses citoyens de WUHAN.
Mdr!Vive le Québec libre ! — Wikipédia
fr.m.wikipedia.org
comme en France. Il fout le bordel partout. C'est un crétin qui doit être viré et vite avant qu'il nous mette l'état d'urgence et se faire voter les pleins pouvoirs via l'article 16 de la constitution.avec pour but de creer une sedition
L’UE post-Brexit : de l’effacement accéléré au rebond espéré ? Par Pierre VERLUISE, Docteur en géopolitique (Sorbonne), fondateur du Diploweb.com, directeur de Lien retiré Auteur, co-auteur ou directeur d’une trentaine d’ouvrages. le 2 février 2020
Jusqu’ici l’UE a surtout fait preuve de son incapacité à enrayer son effacement démographique, économique et stratégique, désormais accentué par le départ effectif du Royaume-Uni. Quelles pourraient être les conditions du rebond ?
Extrait : POUR DES RAISONS démographiques, économiques et stratégiques, l’Union européenne s’efface progressivement du rang des puissances de ce monde. Dans une indifférence généralisée et un silence assourdissant, cette dynamique de déclin relatif était déjà vraie à 28, le Brexit l’accélère. En effet, le départ du Royaume-Uni réduit la superficie, la population, la production et la culture stratégique de l’UE.
Alors que l’espace UE-28 représentait 13,3 % de la population de la planète en 1960, l’UE 28 représente à peine 6,9 % de la population de la planète. La sortie du Royaume-Uni se solde par une diminution de 12,91% de sa population. Celle-ci passe de 513 millions d’habitants à 446,8 millions, soit d’environ 6,9 % de la population mondiale à environ 5,9 %. Autrement dit, l’UE sans le Royaume-Uni devient moins peuplée que l’UE à 25 au 1er mai 2004 (450 millions d’habitants). Compte tenu de sa faible fécondité, en 2050, l’UE dans sa configuration UE-27 du 1er février 2020 pèserait entre 4 et 4,5 % de la population mondiale. Réduite à un asile de vieux, l’UE aura bien du mal à défendre ses intérêts.
Suite de l'analyse >>>
L’UE post-Brexit : de l’effacement accéléré au rebond espéré ? P. Verluise
Quelles pourraient être les conditions du rebond de l’UE post-Brexit ? Pierre Verluise répond, sans langue de bois... Il est plus que temps (...)www.diploweb.com
a y est ca recommence
Les gars ne s’arrêtent jamais