Pareil! Avec les savons chelous!A l'école nous avions un savon comme ça
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Pour se laver les mains je ne sais pas si ça existe encore dans certaines écoles .
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Pareil! Avec les savons chelous!A l'école nous avions un savon comme ça
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Pour se laver les mains je ne sais pas si ça existe encore dans certaines écoles .
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Pareil. Chez nous on a celles-ci, les AS40, qui nous ont jamais lachés!Les meilleurs enceintes pour moi que mon père à acheté à l'époque (comme disent les jeunes ) se sont les Elipson colonnes blanches avec une grosse boule blanche également de 1973 , à l'époque ont faisait du matériel qui dure d'ailleurs elles fonctionnent toujours parfaitement .
ça ressemble à ça , le trou noire dans la colonne c'est l'event !
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au touché ça ressemble à du crépis niveau son ça vous décoiffe papy ^^
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Bonjour Lafoy,LuiPremière série (1963 – 1987)
Lien retiré
L'objectif de l'ex-photographe de Paris Match devenu éditeur de presse (Salut les copains) avec Jazz Magazine racheté à Eddie Barclay était de réaliser un mensuel de charme de qualité, « à la française ». Ce magazine, fortement inspiré de Playboy eut énormément de succès de 1963 au début des années 1980, avec les photographies de nombreuses starlettes françaises dénudées, mais aussi de quelques actrices de premier plan, telles que Brigitte Bardot, Mireille Darc, Jane Birkin ou Marlène Jobert (la première fille à poser en couverture fut Valérie Lagrange (le numéro 1 parut le 01/11/63)) photographiées par Francis Giacobetti, futur réalisateur de Emmanuelle 2. Son slogan était « Lui, le magazine de l'homme moderne ». On peut aussi noter la parution dans le magazine d'une bande dessinée de Lauzier : Les Sextraordinaires Aventures de Zizi et Peter Panpan. Dans les premiers collaborateurs, on retrouve Jean-Louis Bory, René Chateau, Philippe Labro, Francis Dumoulin, Francis Giacobetti, Siné, Michel Mardore, Aslan, Robert Lassalvy, Gilles Sandier, et bien d'autres.
À ses débuts, Lui s'était doté d'une mascotte, une tête de chat, l'équivalent pour le magazine du lapin de Playboy. Elle disparut au début des années 1970.
Le premier âge d'or de la revue coïncida avec l'arrivée au poste de rédacteur en chef de Marcel Duhamel, fondateur de la Série noire. Les pages de charme se firent plus explicites, mais il n'y eut pas d'escalade véritable. Montrer la pilosité pubienne d'une star aux seins nus, dans une revue grand public, passait alors pour audacieux. Marcel Duhamel reprit dans les titres de présentation des pages de charme le type de jeux de mots qu'il utilisait dans le cadre de la Noire (des exemples entre cent : « Marie ravie au lit », « Pascale, une penchée émue », « Bons baisers de Lucie » voire « Maud de Paris »).
Jacques Lanzmann contribua à faire du magazine « osé » (où les filles nues gardaient jambes serrées) un journal aux vulgarités malicieuses7, de bonne tenue rédactionnelle.
Vers la fin de cette époque, plusieurs tentatives eurent lieu pour changer la formule de Lui et relancer le titre, efforts qui aboutirent à la seconde série et la parution en deux cahiers à partir de fin 1987. On peut citer le changement du slogan, devenu « Lui, la défonce de l'homme moderne8 » pour quelques numéros et des apparitions de pilosités pubiennes sur la photo de couverture9.
Le dernier numéro de la première série, le numéro 285, fut publié en novembre 1987.
Source
Pif Gadget! Editions Vaillant (issues de la presse resistante communiste) 1969/1993, puis 2004/2009.
Je ne ratais sous aucun pretexte sa sortie hebdomadaire avec son gadget.
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ah, ça me rappelle également de bons souvenirs familiaux, des andouillettes-frittes gigantesques et des mousses au chocolat pour presque rienNous nous y sommes arretes. Ca sentait bon la frite et pas que. Des plats genereux, un menu complet, pour un prix derisoire: Entree, plat, fromage, dessert, cafe pour moins de 30 francs!
Les routiers
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Cree avant guerre mais nous ont accompagne le long de nos routes a travers la France (et plus) depuis nos naissances:
"Lors d’un reportage, deux journalistes[Qui ?] décident de créer le journal Les Routiers, puis les Relais Routiers afin que les camionneurs puissent lire leur journal pendant leur pause. En 1934, François de Saulieu fait un reportage sur la vie des routiers, mot qui ne figure pas dans le Petit Larousse de 1934, le conducteur de camion se nomme alors « roulier » ou « camionneur ». Les Relais Routiers sont créés, avec pour symbole, le panonceau Bleu et Rouge. Ces établissements deviennent les arrêts privilégiés des camionneurs1."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Relais_Routiers
Bon, bon, au temps pour moi! (c'est le cas de le dire).
Restons dans la bouffe:ah, ça me rappelle également de bons souvenirs familiaux, des andouillettes-frittes gigantesques et des mousses au chocolat pour presque rien