20 phrases cultes de Coluche:
- Moi, les hommes politiques, j’appelle ça des timbres. De face, ils vous sourient, ils sont figés. Mais si jamais vous leur passez la main dans le dos, alors là, ça colle !
- Certains ont l’air honnêtes mais quand ils te serrent la main tu as intérêt à recompter tes doigts…
- Le mariage, la confiance n’y est pas. Il faut des témoins, comme dans les accidents.
- Des nouvelles du sexe : on enregistre un net durcissement de la situation.
- Il faut cueillir les cerises avec la queue. J’avais déjà du mal avec la main !
- Le capitalisme, c’est l’exploitation de l’homme par l’homme ! Le syndicalisme, c’est le contraire.
- Le cancer, au prix que ça coûte, on n’est même pas sûr de mourir guéri.
- Dieu a dit : « Je partage en deux, les riches auront de la nourriture, les pauvres de l’appétit. »
- Un pays neutre, c’est un pays qui ne vend pas d’armes à un pays en guerre. Sauf s’il paie comptant.
- Comédien, c’est un métier qui s’apprend à partir de soi-même. Ca a un nom de maladie : égocentrisme.
- Un bon discours politique ne doit émettre que des idées avec lesquelles tout le monde est déjà d’accord avant !
- Des fois on a plus de contacts avec un chien pauvre qu’avec un homme riche.
- La police, c’est un refuge pour les alcooliques qu’on n’a pas voulu à la SNCF et aux PTT.
- L’argent ne fait pas le bonheur des pauvres. Ce qui est la moindre des choses.
- La chambre des députés, la moitié sont bons à rien. Les autres sont prêts à tout.
- Combien il y a de gens qui travaillent à la Sécurité sociale ? Un sur quatre.
- C’est pas dur la politique comme métier ! Tu fais cinq ans de droit et tout le reste c’est de travers.
- Les psychiatres, c’est très efficace. Moi, avant, je pissais au lit, j’avais honte. Je suis allé voir un psychiatre, je suis guéri. Maintenant, je pisse au lit, mais j’en suis fier.
- On croit que les rêves, c’est fait pour se réaliser. C’est ça, le problème des rêves : c’est que c’est fait pour être rêvé.
- Les sportifs, le temps qu’ils passent à courir, ils le passent pas à se demander pourquoi ils courent. Alors, après on s’étonne qu’ils soient aussi cons à l’arrivée qu’au départ !