Emmanuel Macron adoucit le ton mais garde le cap
VIDÉO - Dans un entretien télévisé, le président de la République a insisté sur sa volonté de «protéger» la «France qui souffre». Il a aussi réaffirmé sa volonté de mener à bien «une transformation radicale» du pays.
Extrait : Il est redescendu dans l'arène.Invité dimanche soir de TFI et LCI, Emmanuel Macron a défendu son style, sa méthode et ses réformes, rappelant son objectif de «transformation radicale» de la société. Le chef de l'État a profité de cette première interview télévisée pour se poser en président de rupture, au pouvoir «pour tourner la page de décennies durant lesquelles l'alternance conduisait à l'inefficacité», égratignant à plusieurs reprises l'action de son «prédécesseur», dont il n'a jamais mentionné le nom. Droit dans ses bottes, le président de la République s'est appliqué à faire la pédagogie de son action, ayant à cœur de s'adresser à «la France qui souffre».«Je fais ce que j'ai dit», a-t-il toutefois insisté, remettant ses mesures dans la perspective de ses engagements de campagne. Après avoir fait adopter les ordonnances sur la loi travail et élaboré le premier budget du quinquennat, Emmanuel Macron a assuré que la «plénitude des réformes» se confirmerait «dans un an et demi, deux ans» sur le niveau de chômage.
Suite de l'article >>>
Source : LE FIGARO
VIDÉO - Dans un entretien télévisé, le président de la République a insisté sur sa volonté de «protéger» la «France qui souffre». Il a aussi réaffirmé sa volonté de mener à bien «une transformation radicale» du pays.
Extrait : Il est redescendu dans l'arène.Invité dimanche soir de TFI et LCI, Emmanuel Macron a défendu son style, sa méthode et ses réformes, rappelant son objectif de «transformation radicale» de la société. Le chef de l'État a profité de cette première interview télévisée pour se poser en président de rupture, au pouvoir «pour tourner la page de décennies durant lesquelles l'alternance conduisait à l'inefficacité», égratignant à plusieurs reprises l'action de son «prédécesseur», dont il n'a jamais mentionné le nom. Droit dans ses bottes, le président de la République s'est appliqué à faire la pédagogie de son action, ayant à cœur de s'adresser à «la France qui souffre».«Je fais ce que j'ai dit», a-t-il toutefois insisté, remettant ses mesures dans la perspective de ses engagements de campagne. Après avoir fait adopter les ordonnances sur la loi travail et élaboré le premier budget du quinquennat, Emmanuel Macron a assuré que la «plénitude des réformes» se confirmerait «dans un an et demi, deux ans» sur le niveau de chômage.
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