En même temps on victimise sans arrêt les personnes qui commettent des délits ou des crimes au lieu de défendre les victimes de leurs actes.
On a pendant des semaines fait un focus sur des violences de policiers en tentant d'en faire une généralisation vaseuse sur les violences de la police et au lieu de réaliser que c'est minoritaire et que partie de ces violences aussi condamnables soient elles ont lieu face à des individus de moins en moins coopératifs et de plus en plus violent avec elle (1 refus d’obtempérer toutes les 30 secondes).
Pour arranger le tout, le vrai problème derrière c'est que les condamnations pénales mettent 2 a 4 ans à arriver pour les auteurs de délits/crimes, voire des peines qui ne sont pas appliquées faute de places de prison... ou par l'idéologie de certains juges, ce qui participe de facto a un sentiment d'impunité qui fait augmenter la violence.
Quant on frappe un maire et qu'on s'en sort avec un simple rappel à la loi... la messe est dite.
Exemple d'affaire qui résume la folie de la société française (la loi en 2015 ne permet l'expulsion sans procédure judiciaire que si c'est ta residence principale... car quand c'est une résidence secondaire tu n'es qu'un sale riche et le squatteur une pauvre victime)
Une nouvelle affaire de squat met en évidence l’atteinte au droit de propriété et le laxisme de la loi envers les squatteurs.
immobilier.lefigaro.fr
L'auteur d'un délit se retrouve protégé par la loi, et la victime propriétaire doit se lancer dans une longue procédure juridique... attention a ne pas se faire justice elle meme en expulsant celui qui a violé son droit de propriété car derrière c'est 30k€ et 2 ans de prison... et en attendant va vivre dans la rue...