Bonsoir,
Je ne penses pas qu ici, les membres iront jusque la... Vous défendez votre avis avec ardeur, vous partagez votre expérience avec passion... Mais prendre celles et ceux qui ne partagent pas votre avis de haut ou encore les traiter de looser, ça va. Il ne s agit pas d imposer son point de vue a l autre ou se sentir supérieur. Ce pays offre diverses opportunités et possibilités. Il est tout a fait possible de vivre confortablement avec 20 000 rmb par mois en couple dans une grande ville de chine. Possible aussi avec un enfant en s adaptant et faisant quelques sacrifices ou adaptant son mode de vie dit a l'occidental au mode dit chinois... Tout comme du reste, certains pourraient se sentir perdu sans avoir 100 000 rmb par mois. (J exagère peut être mais ça peut arriver... Rien n est acquis)
C est pas un concours. Simplement un sujet pour permettre a samoht256 de recevoir le maximum d outils qu il utilisera/adaptera en fonction du contrat de son épouse, du quartier dans lequel elle travaillera et ensuite des oppotunites de travail qui lui seront proposées et/ou qu il se créera.
Juste un dernier point, mon point de vue concernant l enfant: Il n a que deux ans. L école chinoise est parfaite et lui donnera des bases solides pour son chinois. Apres pour le primaire, donc 6 ans, chacun son avis sur la question. Person je ne suis pas fan du mode école publique chinoise. D ici la, elle aura peut être évoluée aussi. "Wait and see" même si cela passe très vite.
Pourriez-vous Dieu supérieur arrêter de me prendre de haut et me faire de la morale ? Je n'ai traité personne de loozer - retrouvez le passage là où il se trouve.
"C'est la looze" - c'est l'expression que j'ai entendue dans la bouche d'un "expat" (j'y reviendrai ***) commentant la situation d'un "pote" venu en Chine tenter sa chance après la faillite de son entreprise.
Voilà, pour lui la loooze c'était être diplômé d'HEC et se trouver à 50 ans sous contrat local à 40 000 net (plus quelques avantages). Sans enfants à charge.
Une autre fois, c'était un expat avec un gros poste, pour qui la looze c'était de se retrouver célibataire à 40 ans, avec un job sur 2 continents, 3 pays et pas un chez soi.
Bref, je me suis amusée à emprunter cette expression à des personnes très privilégiées (avec une vie de malade à côté par ailleurs, perso je ne pourrai pas) -
personnellement je trouve en effet que c'est la looze que de passer d'un revenu net en France à un équivalent net en Chine, en perdant au passage les avantages qu'offre la résidence en France (sans même la citoyenneté) : école gratuite et malgré tout ce qu'on en dit permettant de s'en sortir, santé gratuite, congés payés etc. L'air frais ? Un détail ?
C'est la loooze en effet de venir en Chine en famille sans se projeter dans un + sans aspirer à + et à s'en donner les moyens. La personne qui a posté le sujet pose la question,
désolée de ne pas lui dire - ouais, c'est top 20000 ou dans le FLE y a moyen de bien gagner sa vie.
Tout ce que je lisais ici, à part quelques exceptions, c'était du "ouais en se serrant la ceinture "blablabla" (je cite quelqu'un qui a paraphrasé ainsi mon propos).
**** Je connais en Chine 3 types de Français
1/ vrais expatriés qui sont là avant tout pour mettre des sous de côté, se faire construire des baraques en France, profiter à fond de tout ce que certains ne pourraient s'offrir en travaillant en France (à commencer par ayi) etc. (outre le fait que professionnellement ils s'éclatent)
2/ contrats locaux très bien payés - train de vie proche de 1
3/ contrat locaux bien mais sans plus et qui aspirent à 2, jeunes, sans enfants
4/ contrat locaux en découverte, mal payés mais se débrouillent
5/ contrats locaux ou bidon ou étudiants visa on ne sait pas obtenus comment ad vitam eternitam, ils vivotent
6/ étudiants qui aspirent à 2/ avec aide ou sans des parents
7/ entrepreneurs (catégorie que je connais le moins)
Y avait une enquête sur le site du Consulat fut un temps.... faudrait comparer.
En tout cas, le profil aspirant à la mobilité sociale ascendante domine et ici on plébiscite la perte du minimum pour lequel nos ancêtres se sont battus.
Enfin, les miens.
Baille.