Aviation (boeing 737-8 max, ...)

Bonjour Chris
Ou alors une commande destinee a rassurer les autres compagnies et qui sera annulee par la suite , ce n'est pas rare ..
D'apres des sources le Max ne sera pas autorise a voler avant fin 2019 si tout va bien ...
....
Bonjour Lafoy,
Effectivement il ne s'agit pas d'une commande ferme, ni même d'une option.
C'est juste une lettre d'intention (qui comme les promesses politiques n'engagent que ceux qui y croient ....)
Bonne journée

(Bourget 2019) GUILLAUME FAURY, PDG d'AIRBUS, indique ne pas voir reçu d'appel d'offres de la part d'IAG avant que le groupe passe commande pour 200 Boeing 737 MAX. "Mais il s'agit d'une lettre d'intention et nous avons l'intention de leur faire une belle offre sur la famille A320".
 
Vue aérienne des parkings où sont "garés" les Boeing 737 Max (Lien Youtube)

 
Boeing 737 MAX: une nouvelle faille «potentielle» identifiée

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L'agence fédérale de l'aviation américaine (FAA) a indiqué mercredi avoir décelé une nouvelle faille "potentielle", sans la préciser, liée à l'avion 737 MAX dont deux accidents rapprochés ont fait 346 morts.

Article :
La faille a été découverte la semaine dernière par les pilotes de la FAA lors des essais sur simulateur, qui reproduisent les conditions réelles en vol, a dit à l'AFP une source proche du dossier sous couvert d'anonymat. Le régulateur a demandé à Boeing de réparer cette faille, qui est de nature à retarder l'essai en vol du 737 MAX modifié, vol test nécessaire pour la nouvelle certification de cet avion locomotive des ventes de l'avionneur américain et cloué au sol depuis mi-mars. «La FAA a récemment découvert un risque potentiel que Boeing doit atténuer», intime l'autorité dans un courriel. Dans un document adressé au gendarme des marchés, la SEC, le constructeur aéronautique explique que la FAA lui a demandé de «s'occuper d'un problème spécifique en vol que les changements de logiciel du 737 MAX sur lesquels Boeing travaille depuis huit mois ne prennent pas en compte».

«Boeing est d'accord avec la décision et la requête de la FAA et est en train de travailler sur ledit logiciel afin de répondre à la demande» de l'autorité, ajoute le groupe de Chicago. Il ajoute qu'il ne soumettra pas le 737 MAX modifié pour certification «tant que nous n'aurons pas satisfait toutes les exigences (...) pour un retour en service en toute sécurité». Selon une source proche du dossier ayant requis l'anonymat, lors des tests sur simulateur la semaine dernière, des pilotes de la FAA ont eu du mal à reprendre le contrôle de l'avion après avoir activé le système anti-décrochage MCAS, mis en cause dans l'accident de Lion Air en Indonésie en 2018 et celui d'Ethiopian Airlines en mars en Ethiopie.

Ce nouveau problème indique que le vol test nécessaire pour enclencher le calendrier de retour dans le ciel du 737 MAX aux Etats-Unis ne sera pas effectué avant le 8 juillet, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale. Il va falloir à la FAA au moins de deux à trois semaines pour examiner les modifications effectuées par Boeing pour régler le problème, a dit cette source. En outre, il est difficile de savoir pour l'instant si le colmatage de cette faille exige une simple mise à jour du logiciel ou des changements en profondeur. Dans ce dernier cas, le 737 MAX devrait rester immobilisé au sol pendant encore de longues semaines.

 
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Fromage, fruits, whisky… Washington menace de surtaxer des produits européens

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Le représentant des États-Unis au Commerce a publié une liste de produits européens susceptibles d’être frappés par des droits de douane alourdis. Une action qui vise à accentuer la pression sur les Vingt-huit pour les forcer à abandonner les subventions publiques accordées au constructeur Airbus.

Extrait :
Donald Trump change de cible, mais sa méthode offensive demeure. Alors que les relations sino-américaines semblent s’apaiser légèrement, au lendemain de la conclusion d’une trêve avec Pékin, le gouvernement des États-Unis tourne désormais son attention vers l’Union européenne. Dans la nuit de lundi à mardi, le Bureau du représentant américain au Commerce (United States Trade Department, ou USTR) a publié une liste «de produits susceptibles de faire l’objet de droits de douane supplémentaires» afin d’accentuer la pression sur les Vingt-huit concernant les «subventions accordées par l’UE aux gros aéronefs civils».

 
Le représentant des États-Unis au Commerce a publié une liste de produits européens susceptibles d’être frappés par des droits de douane alourdis. Une action qui vise à accentuer la pression sur les Vingt-huit pour les forcer à abandonner les subventions publiques accordées au constructeur Airbus.
Parce que Boeing ne bénéficie d'aucune "subvention" ?

Surtout qu'avec les déboires du 737 MAX, Boeing, sans les subventions contrats militaires sera dans une belle panade


 
Parce que Boeing ne bénéficie d'aucune "subvention" ?

Surtout qu'avec les déboires du 737 MAX, Boeing, sans les subventions contrats militaires sera dans une belle panade



Bonsoir Chris
C 'est l'evidence meme !
D'ou mon article concernant les menaces de represailles du president Trump sur le sujet du Max !

Sans oublier le scandale du monopole de Boeing dans le domaine des Airbus ravitailleurs militaires en 2008 ...

Ce fut l’un des plus gros traumatismes d’Airbus ces dix dernières années. 24 février 2011 : le Pentagone annonce la sélection de Boeing pour le contrat géant des avions ravitailleurs de l’US Air Force. L’accord est historique : il s’agit de remplacer une partie des antiques avions ravitailleurs KC-135 par 179 appareils de nouvelle génération, pour un montant de 49 milliards de dollars. Pour Airbus (alors encore EADS), l’uppercut est terrible : l’avionneur européen avait gagné le contrat en 2008, en partenariat avec Northrop Grumman. Le contrat avait été annulé sous la pression combinée de Boeing et d’élus américains, et l’appel d’offres réécrit pour favoriser le KC-46 de Boeing.

 
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Le Boeing 737 MAX risque de rester cloué au sol pendant un an

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Selon les projections d’un cabinet de conseils, l’avion, immobilisé depuis le 13 mars, pourrait le rester jusqu’au printemps 2020. Un scénario noir pour le groupe américain.


Article partiel abonnes :
Le 737 MAX n’est pas près de revoler de sitôt. Selon les projections du cabinet de conseils Archery Strategy Consulting (ASC), l’avion de Boeing, immobilisé depuis le 13 mars, pourrait rester cloué au sol pendant un an. Un tel scénario serait un coup dur pour l’avionneur américain. A l’occasion du Salon international de l’aéronautique et de l’espace, qui s’est achevé le 23 juin au Bourget, près de Paris, il avait laissé entendre à ses principaux fournisseurs que la certification de l’appareil était en bonne voie ; il entrevoyait un retour en vol du MAX début août. Ce calendrier optimiste ne tient plus.

Fin juin, l’Agence fédérale américaine de l’aviation (FAA) a découvert, à l’occasion de tests poussés sur simulateur, une nouvelle anomalie dans une carte contrôleur, un matériel informatique qui sert à ajouter des fonctionnalités.

Une véritable tuile pour Boeing, car cet élément entre dans l’activation « du système de stabilisation de l’avion », précise le cabinet ASC. Le dispositif informatique MCAS, qui sert à stabiliser l’appareil, notamment dans sa phase de décollage, est mis en cause dans l’incident et dans le crash de Lion Air du 28 et du 29 octobre 2018, puis dans celui d’Ethiopian Airways, en mars 2019. Deux catastrophes aériennes qui ont fait 346 victimes, passagers et membres d’équipages. Entré dans la période de silence obligatoire à quelques semaines de la publication de ses résultats financiers semestriels, prévue le 24 juillet, Boeing « se refuse à tout commentaire ».

https://www.lemonde.fr/internationa...-cloue-au-sol-pendant-un-an_5484468_3210.html
 
Boeing : des prestataires sous-payés derrière le bug des 737 MAX ?


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Des intérimaires payés quelque neuf dollars de l'heure sont-ils responsables des dysfonctionnements que connaissent les Boeing 737 MAX depuis des mois ? Après les deux crashs d'Ethiopian Airlines et de Lion Air, la flotte entière est clouée au sol depuis le milieu du mois de mars. Le logiciel spécialement conçu pour les 737 MAX est pointé du doigt. Selon les informations révélées par Bloomberg récemment, il s'avère que Boeing ainsi que plusieurs de ses fournisseurs sous-traitent en réalité une partie du développement et des tests des logiciels de l'appareil à des intérimaires.

Lorsque le développement du logiciel du 737 MAX était en cours, Boeing a pris la décision de se séparer d'un certain nombre de ses ingénieurs expérimentés et a mis sous pression certains de ses fournisseurs afin qu'ils réduisent leurs coûts. Résultat : le constructeur américain a de plus en plus recours à des sous-traitants, intérimaires, mal payés pour développer et tester les logiciels de l'appareil, rapporte Bloomberg. L'agence précise même que ces intérimaires opèrent, la plupart du temps, depuis un pays qui ne connaît pas grand-chose à l'aéronautique, comme l'Inde.


Lire aussi Transport aérien : en l'absence du Boeing 737 MAX, l'été sera chaud


Certains de ces intérimaires sont même tout juste diplômés et sont notamment employés par des entreprises indiennes spécialisées dans les nouvelles technologies, comme HCL Technologies. Ces employés devaient écrire les lignes de code du logiciel des 737 MAX. Une décision controversée, selon un ancien ingénieur informatique chez Boeing qui déplore un manque d'efficacité : « Il a fallu plusieurs allers-retours parce que le code n'était pas écrit correctement », a-t-il raconté à Bloomberg. Lui, comme d'autres ingénieurs remerciés entre 2015 et 2017, a confié à l'agence que Boeing souhaitait en réalité, « par tous les moyens, faire baisser les coûts de production », estimant que ses ingénieurs étaient devenus très chers.

Une facture de 10 milliards de dollars
Si Boeing ne semble pas renier son partenariat avec HCL Technologies, elle nie toutefois que les salariés de cette entreprise ont œuvré sur le fameux logiciel anti-décrochage du 737 MAX, le MCAS, qui a été mis en cause dans les crashs d'Ethiopian Airlines et Lion Air. Dans des propos rapportés par Bloomberg, l'avionneur américain explique « travailler depuis des décennies avec des fournisseurs/partenaires à travers le monde. Notre intérêt premier est de toujours nous assurer que nos produits et services soient fiables, de la plus grande qualité et conformes aux régulations en vigueur ».

Lire aussi Boeing : un nouveau défaut concerne cette fois... la quasi-totalité des 737

Mais les déboires de Boeing commencent à peser lourd sur les finances de l'entreprise, celle-ci continuant de brûler un peu plus d'argent chaque jour. Sa flotte de 737 MAX est clouée au sol depuis le milieu du mois de mars dernier et, selon Challenges, il semblerait qu'aucun Boeing 737 MAX ne redécollera avant le premier semestre 2020. Le constructeur a certes réduit sa production de 20 %, passant de 52 à 42 737 MAX produits chaque mois, mais ce rythme lui fait encore dépenser près de 1,5 milliard de dollars par mois. Selon une étude du cabinet Archery, citée par l'hebdomadaire économique, le coût total de ces retards pourrait atteindre, voire dépasser, les 10 milliards de dollars.


Quid des autres logiciels autres que le MCAS integres dans les systemes de bord des Max , voir des autres Boeing 777 & 787 ou sont-ils conçus ? :hum:
 
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C,est une faiblesse de capitalisme, a cause de sa nature d,obtenir le plus du benefice possible, cet (isme) perd a un moment donnee sa moralitee comme une entreprise et / ou humain. Cette analyse a moi sera la plus profonde dans ce forum, et elle fait une storm choquant a la tete des gens :grin: :grin: :D
 
Quid des autres logiciels autres que le MCAS integres dans les systemes de bord des Max , voir des autres Boeing 777 & 787 ou sont-ils conçus ? :hum:
Bientôt on nous dira que c'est la faute des stagiaires .... :siffle:
 
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C,est une faiblesse de capitalisme, a cause de sa nature d,obtenir le plus du benefice possible, cet (isme) perd a un moment donnee sa moralitee comme une entreprise et / ou humain. Cette analyse a moi sera la plus profonde dans ce forum, et elle fait une storm choquant a la tete des gens :grin: :grin: :D
Je ne sais vraiment plus quoi dire.:oops:
 
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"les familles des 346 morts recevront 200 millions de dollars" ..... soit circa 250K EUR par tete.... on en rirait presque si ce n'etait pas tragique... C"est juste un epu au dessus de ce q'une compagnie aerienne paierait dans la cas d'un "accident standard", la il y a malfacon, dissimulation, et ca continue...
Je suis sur que des avocats sont deja dessus pour une class action, mais j'espere que les familles vont lire les petites lignes et ne pas se faire baiser si facilement... Je pense que les assureurs et les compagnies aeriennes impliquees doivent regarder cette compansation de tres pres egalement d'un point de vue liability...
 
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"les familles des 346 morts recevront 200 millions de dollars" ..... soit circa 250K EUR par tete.... on en rirait presque si ce n'etait pas tragique... C"est juste un epu au dessus de ce q'une compagnie aerienne paierait dans la cas d'un "accident standard", la il y a malfacon, dissimulation, et ca continue...
Je suis sur que des avocats sont deja dessus pour une class action, mais j'espere que les familles vont lire les petites lignes et ne pas se faire baiser si facilement... Je pense que les assureurs et les compagnies aeriennes impliquees doivent regarder cette compansation de tres pres egalement d'un point de vue liability...
On peut supposer que c’est l’indemnité versée par Boeing directement, qui vient s’ajouter aux indemnités des assurances des compagnies.
 
On peut supposer que c’est l’indemnité versée par Boeing directement, qui vient s’ajouter aux indemnités des assurances des compagnies.
on peut esperer, mais le fait que boeing s'adresse directement aux familles, me fait dire que, a leur place, je ferais vraiment gaffe aux petites lignes...
 
On peut supposer que c’est l’indemnité versée par Boeing directement, qui vient s’ajouter aux indemnités des assurances des compagnies.
Bonjour Chris
Il ne faut pas que Boeing tombe sur un tribunal du style qui a juge l'affaire Monsanto , ca risque d'etre chaud bouillant pour eux !

Procès Monsanto : le jardinier accepte des dommages et intérêts réduits à 78,5 millions de dollars

 
on peut esperer, mais le fait que boeing s'adresse directement aux familles, me fait dire que, a leur place, je ferais vraiment gaffe aux petites lignes...
Bonjour Chris
Il ne faut pas que Boeing tombe sur un tribunal du style qui a juge l'affaire Monsanto , ca risque d'etre chaud bouillant pour eux !

Procès Monsanto : le jardinier accepte des dommages et intérêts réduits à 78,5 millions de dollars

Le fait que Boeing s’adresse directement aux familles s’explique à mon avis par le fait que si les familles acceptent la proposition, elles renoncent évidemment à tout recours futur. Cela limite donc le risque que, comme @lafoy-china le suggère, un tribunal zélé les condamne à verser 50 ou 100 millions par tête de pipe.
 
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Le fait que Boeing s’adresse directement aux familles s’explique à mon avis par le fait que si les familles acceptent la proposition, elles renoncent évidemment à tout recours futur. Cela limite donc le risque que, comme @lafoy-china le suggère, qu’un tribunal zélé les condamne à verser 50 ou 100 millions par tête de pipe.
De mon point de vu il y a deja un bon moment voir des le debut que des cabinets d'avocats americains specialises doivent etre pendus au cou des familles des victimes afin de proposer leurs services gratuitement sur l'instant , voraces et requins comme il sont cela t'etonnerai ? Surtout que dans cette affaire c'est gagne d'avance pour eux vu l'implication de Boeing , et leurs honoraires seront astronomiques !

Du cote de la famille des victimes ce ne sont pas des lapins de 6 semaines non plus , ils possedent Google et toutes les infos ...

Certains accepterons malgre tout car besoin imminent d'argent , et Boeing le sait bien ...

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