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En Chine, Volkswagen prolonge son partenariat historique avec SAIC jusqu'en 2040

Volkswagen Group signe pour dix ans de plus en Chine avec SAIC Motor

Partenaires depuis quatre décennies, Volkswagen et SAIC prolongent leur collaboration de dix ans supplémentaires jusqu'en 2040. Tout en améliorant son outil de production, la coentreprise Saic Volkswagen prépare l'arrivée de dix-huit nouveaux modèles de voitures électriques et hybrides d'ici à 2030.

centre r&d vw group chine
Volkswagen Group et SAIC Motor prolongent leur collaboration jusqu'en 2040.

Malgré les difficultés, le groupe Volkswagen persévère en Chine. Le constructeur allemand renforce même son plan stratégique « en Chine pour la Chine » avec le soutien de SAIC Motor, maison mère de MG. Partenaires depuis quarante ans, les deux industriels prolongent leur accord de coentreprise jusqu’en 2040, soit dix ans supplémentaires. La feuille de route de Saic Volkswagen prévoit d’améliorer son outil de production pour étoffer ses gammes de véhicules toujours plus décarbonés.

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La marque éponyme du groupe Volkswagen a également développé des modèles exclusifs au marché chinois

Un portefeuille de produits étoffé​


La coentreprise de Saic Motor et Volkswagen Group prévoit de lancer dix-huit nouveaux modèles d'ici à 2030, dont quinze exclusivement développés pour le marché chinois. Au fur et à mesure, les modèles thermiques céderont leur place à une motorisation hybride rechargeable et à deux variantes à prolongateur d’autonomie. La nouvelle gamme sera également composée de huit véhicules électriques. Parmi eux, deux seront construits autour de la plate-forme CPM (China Main Platform), la nouvelle architecture développée par Volkswagen China Technology Company (VCTC). Si les sites de fabrication de voitures thermiques sont peu à peu convertis à la production de modèles électrifiés, les deux partenaires n'excluent pas la fermeture d'usines.
 

En Chine, le supplice des constructeurs automobiles occidentaux


5 decembre 2024

Les Volkswagen et autres General Motors vivent aujourd'hui un calvaire dans l’empire du Milieu. Leurs parts de marché s’érodent inexorablement face à la montée en puissance des marques locales, qui ont un coup d’avance dans la voiture électrique.

Article : Dans l'empire du Milieu, General Motors vit un chemin de croix. Le géant américain de l'automobile restructure aujourd'hui profondément SGM, sa joint-venture avec son homologue chinois SAIC, et ferme plusieurs usines. Conséquence : le groupe de Détroit s'est fendu, ce mercredi d'une dépréciation d'actifs de plus de 5 milliards de dollars. Et ce n'est peut-être d'un début : GM voit ses ventes s'écrouler de manière fulgurante en Chine. L'ex-numéro deux dans le pays pendant des décennies a perdu, en cinq ans, les deux tiers de sa part de marché, qui n'est plus que de 5%.

« En 2024, le groupe GM se retrouve à la septième place, derrière BYD, Volkswagen, Geely, Chery, Changan et Toyota, relève le cabinet Inovev dans une étude récente. Si l'on ne compte que les marques américaines du groupe GM (Chevrolet, Buick, Cadillac), la part de marché de cet ensemble est passée de 7% en 2019 à 2% en 2024, et il est probable que ces marques disparaîtront de ce marché à brève échéance. »

Les grandes difficultés de Volkswagen

GM n'est pas le seul grand constructeur occidental à boire la tasse en Chine. Volkswagen enchaîne, lui aussi, les coups sur le premier marché automobile du monde. L'avenir du mastodonte allemand en Chine, qui représente un tiers de ses ventes, et où il dispose de trois coentreprises et de 39 usines, s'assombrit. Sur les neuf premiers mois, le groupe de Wolfsburg a, selon Inovev, vu sa part de marché reculer de 11,9% à 10,2%. Volkswagen est désormais largement distancé par le chinois BYD. Celui-ci lui a chipé cette année son leaderchip dans le pays, et a désormais la main sur 14,6% du marché.

Volkswagen et la majorité des constructeurs occidentaux perdent rapidement du terrain face à leurs concurrents chinois. Nombreux et agressifs, ceux-ci bénéficient aussi d'une avance technologique incontestable dans la voiture électrique. En Chine, « le gâteau est devenu plus petit, et nous avons plus d'invités à table », déplore souvent Oliver Blume, le PDG de Volkswagen. Or ces nouveaux convives ont un sacré coup de fourchette. Avec des parts de marché de respectivement 9% et 8,9%, les groupes Geely (qui compte 11 marques différentes) et Chery « devraient dépasser le groupe Volkswagen au cours des prochains mois », prédit Inovev.

Les marques chinoises détiennent 67% du marché

La Chine devient, en clair, progressivement la chasse gardée de ses propres constructeurs. « La part de marché des marques automobiles chinoises a atteint pour la première fois les 67% en août 2024 », constate le cabinet d'études. Cette progression « semble irrépressible depuis 2023, poursuit-il. Elle se fait au détriment des marques étrangères qui n'ont pas su prendre le virage de l'électrique, spécialité des constructeurs chinois ».
Même son de cloche pour une étude publiée ce mardi par la Fondation pour l'innovation politique (Fondapol). « Si Volkswagen, Mercedes, BMW, Porsche, Lamborghini, Toyota sont certes encore présents avec leurs nouveaux modèles électriques, leur domination est sévèrement contestée », relève-t-elle.

L'élève a dépassé le maître

Le revers apparaît d'autant plus douloureux que ce sont les constructeurs occidentaux qui ont joué les mentors de la Chine dans l'automobile. Depuis les années 1980, ils ont multiplié, à la demande de Pékin, les coentreprises avec des acteurs locaux dans un pays où cette industrie n'existait pas. Mais l'élève a dépassé le maître, et la Chine n'a désormais plus besoin d'eux.

« La Chine a exploité comme marchepied temporaire les joint-ventures avec les constructeurs occidentaux et asiatiques, qui, ravis de l'aubaine de l'accès au mirifique marché chinois, n'ont compris que trop tard qu'il s'agissait d'un piège, résume l'étude de Fondapol. Depuis Renault, Mitsubishi, Stellantis, Suzuki ont quitté le marché chinois. »

Il ne s'agit sans doute pas des derniers.


 
Maintenant que la Chine a dépassé l’Europe niveau voitures électriques (c’est bien de s’en apercevoir, même si c’est un peu tard), pourquoi ne forceriont nous pas les joints-ventures sur l’électrique comme le fait la Chine sur les thermiques?
 
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L'Asie, l'Afrique, l'Amérique latine, la Russie, etc. commencent à acheter des voitures électriques chinoises, qui sont bon marché, respectueuses de l'environnement, rentables et dont les coûts d'utilisation sont faibles, alors qui n'achèterait pas un si bon produit ? C'est pourquoi les voitures à essence à forte consommation d'énergie allemandes ne se vendent pas, c'est normal.
 

Des experts de l'industrie et des chefs d'entreprise de Chine et du Royaume-Uni ont appelé au renforcement de la coopération sino-britannique dans l'industrie automobile lors du 2024 UK-China Automotive Collaboration Forum et de la conférence annuelle de la UK Chinese Society of Automotive Engineers, qui se sont tenus samedi à Birmingham.

L'événement, organisé par la UK Chinese Society of Automotive Engineers, a attiré plus de 130 participants en personne et plus de 30 000 internautes en ligne.

Dans un message vidéo adressé aux participants, Chris Mason, directeur général de la Fédération internationale des sociétés d'ingénierie automobile (FISITA), une organisation internationale de membres de la communauté des technologies de la mobilité basée au Royaume-Uni, a déclaré que la Chine et le Royaume-Uni possédaient des atouts complémentaires dans le secteur de la mobilité, et qu'une coopération plus étroite pouvait conduire à de nouvelles réalisations dans l'industrie.

La Chine est à la pointe de la transition en matière de mobilité, tandis que le Royaume-Uni reste une puissance automobile traditionnelle. Le renforcement de la collaboration en matière de recherche et de développement, d'innovation et d'accès au marché permettra donc aux deux pays de progresser, a déclaré M. Mason.

Claire Urry, directrice commerciale du China-Britain Business Council, a déclaré que la Chine et le Royaume-Uni reconnaissaient tous deux l'urgence de la lutte contre le changement climatique, et que les efforts de collaboration entre les deux pays pourraient accélérer le déploiement mondial des véhicules électriques, contribuant ainsi à la réduction des émissions de carbone.

L'événement comprenait également une session d'exposés avec des intervenants tels que Ge Hongde, directeur national de BYD UK et Irlande, Zhao Hua, vice-chancelier de la recherche à l'université Brunel de Londres et Jon Caine, directeur technique d'AVL Powertrain UK, une entreprise de technologie de la mobilité. Ils ont discuté de l'expansion à l'étranger des marques automobiles chinoises et des dernières avancées en matière de technologie automobile.

Xu Hongming, président de la UK Chinese Society of Automotive Engineers et professeur d'énergie et d'ingénierie automobile à l'université de Birmingham, a exprimé l'espoir que l'événement puisse continuer à servir de plateforme d'échanges et de coopération.

« En tant qu'événement annuel pour l'industrie automobile Chine-Royaume-Uni, ce forum fournit non seulement une plateforme efficace pour les échanges et la coopération, mais promeut également une coopération approfondie entre la Chine et le Royaume-Uni dans le domaine de l'ingénierie automobile et les domaines connexes en discutant des dernières technologies et des développements politiques », a déclaré M. Xu.

« La UK Chinese Society of Automotive Engineers continuera à promouvoir la coopération multinationale et l'innovation technologique afin de contribuer au développement durable de l'industrie automobile mondiale », a-t-il ajouté.



😀 😸:grin:
 


Je pense que les voitures électriques occuperont 70 % du marché automobile d'ici dix ans, le reste étant constitué de voitures à carburant. La Chine fournira 90 % des voitures électriques dans le monde.

😝 :grin: 😸
 

Hybrides chinois : le coup de maître qui déstabilise l’industrie auto européenne


24 decembre 2024
Duree 20:14
Synopsis : Les constructeurs chinois bouleversent l’industrie automobile européenne : Découvrez comment ils exploitent les failles des taxes européennes pour inonder le marché avec des véhicules hybrides à prix imbattable. La domination historique des marques européennes vacille face à une stratégie redoutablement efficace. Pourquoi les hybrides chinois triomphent-ils et que peut faire l’Europe pour riposter ? Une analyse captivante des enjeux économiques, industriels et écologiques.

Dans cette vidéo : Les secrets derrière la montée en puissance des hybrides chinois.Pourquoi les taxes européennes peinent à ralentir cette vague.Les conséquences sur l’emploi, les consommateurs et l’industrie européenne.Et surtout, les solutions pour que l’Europe reste dans la course. Un choc économique et stratégique décrypté en détails. Ne manquez pas cette plongée au cœur d’une bataille automobile mondiale.00:00 - Une partie d’échec industrielle : Chine vs Europe00:27 - Les taxes européennes : un obstacle contourné01:01 - L’agilité stratégique des constructeurs chinois01:53 - La montée en puissance des hybrides chinois02:22 - Pourquoi les hybrides séduisent les Européens03:14 - Une domination technologique et économique03:26 - Investing.com : votre allié financier face au changement05:22 - BYD et ses ambitions européennes06:44 - Les limites du modèle européen face à la Chine09:21 - La réponse possible de l’Europe : défis et opportunités19:08 - Conclusions : un avenir incertain pour l’automobile européenne


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Les Voitures Électriques Chinoises Envahissent le Monde au PLUS GRAND Salon Automobile de Chine 2024


3o decembre 2024
Duree 14:56
Resume : Les véhicules électriques chinois font fureur dans le monde. Le salon international de l'automobile de Chengdu, en Chine, vient de se terminer et s'est rapidement imposé comme l'un des événements les plus importants de l'année.

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Maintenant que la Chine a dépassé l’Europe niveau voitures électriques (c’est bien de s’en apercevoir, même si c’est un peu tard), pourquoi ne forceriont nous pas les joints-ventures sur l’électrique comme le fait la Chine sur les thermiques?
Je viens de voire ce message, j'aurai bien une réponse idoine mais j'aurai l'impression de radoter :), je vais donc me contenter de souhaiter à tous une excellente année 2025!
 
Le champ d'application des batteries est en expansion, la Chine a obtenu des réalisations de jour en jour, et on n'ose pas imaginer qu'un jour tres proche les batteries peuvent être utilisées pour voler dans un avion aussi grand que l'A380 français! :grin: 😝 😀




 
a Chine intéressée pour racheter des usines de Volkswagen en Allemagne
Un porte-parole du ministère chinois des affaires étrangères a déclaré que les entreprises souhaitant investir en Allemagne devraient être autorisées à le faire.

"La Chine a introduit une série de mesures d'ouverture afin de créer de nouvelles opportunités commerciales pour les entreprises étrangères [...]. Nous espérons que la partie allemande fera également preuve d'ouverture d'esprit (et) offrira un environnement commercial équitable, juste et non discriminatoire aux entreprises chinoises qui souhaitent investir", a déclaré le porte-parole dans un communiqué transmis à Reuters.

La source proche du gouvernement chinois, qui a parlé à Reuters sous le couvert de l'anonymat en raison du caractère sensible de l'affaire, a refusé de nommer des investisseurs potentiels spécifiques.

La vente des usines pourrait coûter moins cher à Volkswagen que leur fermeture, et rapporter entre 100 et 300 millions d'euros, selon un banquier proche du constructeur. Volkswagen n'a pas commenté la valeur des actifs.
 
Volkswagen accélère l'électrification et l'innovation en Chine


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18 janvier 2025

Au début de l'année 2025, le géant allemand de l'automobile Volkswagen et le fabricant chinois de véhicules à énergie nouvelle (NEV) XPENG ont annoncé leur collaboration stratégique sur un réseau de recharge ultrarapide en Chine.

Communique : Grâce à cette coopération stratégique, XPENG et Volkswagen Group China ont l'intention de fournir aux clients un réseau de recharge ultrarapide comprenant plus de 20 000 bornes de recharge et couvrant 420 villes à travers la Chine.

Olaf Korzinovski, vice-président exécutif de Volkswagen Group China, a déclaré que Volkswagen s'engageait à approfondir pleinement sa stratégie d'électrification et à lancer des véhicules électriques de haute qualité dotés d'une technologie de pointe.

Les deux entreprises se sont engagées à construire le plus grand réseau de recharge ultra-rapide de Chine en termes de couverture, à optimiser davantage l'expérience de recharge pour les clients et à faciliter l'intégration de la mobilité électrique dans la vie quotidienne des gens, que ce soit dans les villes de premier plan ou dans les villes et régions éloignées, a déclaré M. Korzinovski.

Cela reflète notre détermination à promouvoir le développement de la mobilité électrique en Chine, ainsi que notre engagement ferme à fournir aux clients NEV des expériences de service nouvelles et pratiques, a-t-il ajouté.

En 2024, Volkswagen a célébré le 40e anniversaire de ses activités en Chine et l'entreprise a continué à étendre sa présence dans le pays.

« Si je devais décrire 2024 en un mot, ce serait transformation. Nous avons fait des progrès considérables pour donner vie à notre stratégie, démontrant ainsi notre engagement à long terme envers la Chine », a déclaré Ralf Brandstaetter, président-directeur général de Volkswagen Group China.

« Notre pôle d'innovation Volkswagen Group China Technology Company à Hefei est désormais pleinement opérationnel, avec 3 000 ingénieurs locaux qui pilotent le développement de la prochaine génération de véhicules intelligents connectés (ICV) », a déclaré Ralf Brandstaetter.

L'entreprise a donné le coup d'envoi au développement de la China Electronic Architecture (CEA), un projet commun de Volkswagen China Technology Company, de l'unité logicielle de Volkswagen, CARIAD, et de XPENG. La CEA développera une architecture électrique très moderne et rentable qui sera utilisée dans les véhicules à partir de 2026.

Par ailleurs, le développement de la première plate-forme principale compacte de Volkswagen spécifique à la Chine est en bonne voie, ce qui permettra d'accélérer le développement de 30 % et de réduire les coûts de 40 %.

« Nous avons également approfondi nos partenariats avec China FAW Group Co., Ltd. et Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC), notamment en étendant notre coentreprise avec SAIC, qui prévoit 18 nouveaux modèles d'ici 2030. Notre coentreprise Volkswagen Anhui a lancé son premier produit, l'ID. UNYX », a-t-il déclaré.

« Nous avons également approfondi nos partenariats avec China FAW Group Co. et Shanghai Automotive Industry Corporation (SAIC), notamment en étendant notre coentreprise avec SAIC, qui prévoit 18 nouveaux modèles d'ici 2030. Notre coentreprise Volkswagen Anhui a lancé son premier produit, l'ID. UNYX », a-t-il déclaré.

Avec Volkswagen ID. CODE et AUDI E, deux modèles de voitures, l'entreprise a présenté le design et la technologie de demain, y compris le lancement de la nouvelle marque AUDI pour les jeunes clients férus de technologie.

En outre, sur le marché des véhicules à moteur à combustion interne (ICE), Volkswagen Group détenait une part de marché de plus de 21% en Chine en 2024, soit la part de marché la plus élevée depuis 2005.

L'année dernière, le groupe Volkswagen a livré plus de 2,9 millions de véhicules sur le marché chinois, tandis que ses livraisons mondiales de véhicules ont dépassé les 9 millions, selon le constructeur automobile allemand.

En 2024, l'entreprise a livré plus de 200 000 NEV en Chine, parmi lesquels les ventes de modèles ID. ont augmenté de 17 % d'une année sur l'autre.

« Nous avons franchi des étapes importantes dans le cadre de notre approche stratégique cohérente, qui contribuera de manière substantielle à la compétitivité future du groupe en Chine », a déclaré M. Brandstaetter. « Ces étapes soulignent nos racines profondes dans ce marché. Nous en sommes très fiers !

La production et les ventes de NEV en Chine ont toutes deux dépassé les 12 millions en 2024, menant le marché mondial des NEV pendant 10 années consécutives, selon les dernières données publiées lundi par l'Association chinoise des constructeurs automobiles.

Selon Volkswagen Group China, une série de nouveaux modèles et technologies seront lancés et dévoilés en Chine en 2025.

« Nous lancerons le premier modèle de série de la nouvelle marque AUDI au salon de Shanghai, et dévoilerons des prototypes de modèles Volkswagen sur la plateforme principale compacte, équipés de notre nouvelle E-Architecture chinoise », a déclaré Brandstaetter.

Nous nous concentrerons sur les premiers résultats de notre stratégie « En Chine, pour la Chine » et sur sa mise en œuvre dans la rue », a déclaré M. Brandstaetter, ajoutant qu'il était très confiant et optimiste quant à l'avenir du groupe en Chine.


 
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Cadre défectueux, échec de la campagne de rappel… Le vélo électrique Angell, c’est (presque) fini !


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24 janvier 2025

Clap de fin pour le vélo électrique imaginé par le businessman Marc Simoncini. Handicapé par des problèmes de conception et une campagne massive de rappels, le chef d’entreprise doit jeter l’éponge, laissant dans l’embarras des milliers de clients mécontents.

Article : Le vélo donnait l’impression d’être tout droit sorti d’un film de science-fiction. Mais pour l’Angell Bike, le scénario a viré au cauchemar. La start-up créée en 2020 par Marc Simoncini, le créateur de l’application de rencontres Meetic, entendait révolutionner le monde du vélo à assistance électrique (VAE) en créant un objet aussi désirable dans son design que dans sa conception avec un tarif premium (2 800 euros).

Las, la start-up va « déclarer son état de cessation de paiements et solliciter l’ouverture d’une procédure de liquidation judiciaire », indique le fondateur d’Angell dans un courriel envoyé ce jeudi aux infortunés clients et utilisateurs.

C’est la fin d’une aventure qui voulait mettre en avant une conception et une fabrication 100 % française, puisque SEB, le spécialiste du petit électroménager, était le partenaire industriel principal avec à sa charge l’assemblage des différents tubes d’aluminium du cadre. Les détracteurs du vélo Angell ne s’étonneront pas que les défauts de jeunesse de la monture n’aient pu être gommés. Mise trop rapidement sur le marché pour répondre aux milliers de précommandes déjà passées mais sans avoir subi tous les tests, elle a aussi subi le dérèglement de toute la chaîne d’approvisionnement en pièces détachées à cause du Covid.

L’échec industriel et commercial laisse sur le bord de la route des milliers de clients qui se retrouvent avec des VAE impropres à l’utilisation car considérés comme dangereux.

Un cadre défectueux

Après la découverte d’un défaut sur un cadre de la première génération de vélos vendus, les modèles Cruiser et Rapide, une campagne de rappel massive avait été lancée en novembre. Environ 5 000 vélos étaient concernés. En cause, le cadre potentiellement défectueux qui « peut se casser et entraîner une chute », écrivait en novembre Rappel Conso, le site officiel recensant les alertes de produits dangereux.

Les équipes d’Angell ont alors élaboré plusieurs scénarios qui se sont tous terminés en impasse. Elles ont d’abord pensé pouvoir isoler les cadres présentant des défauts. « Malheureusement nous n’avons pas pu apporter de réponse satisfaisante, ce qui nous a conduits à considérer que l’ensemble de cette génération comporte un risque », reconnaît Simoncini.

Restait à envisager un remboursement ou un échange. Mais dans ces cas précis, la situation budgétaire d’Angell s’est imposée aux dirigeants puisque leur société a déploré deux exercices déficitaires en 2022 et 2023, à respectivement -10,2 M€ et -9 M€. « Le remboursement coûtait 13 M€ et l’échange 5 M€, ce qui dépassait largement les capacités financières de la société », admet Simoncini, qui déplore que ni SEB ni le bureau d’études (KickMaker) « ne manifestent aucune volonté permettant de mettre en œuvre un plan d’action ».

« Aucune solution concrète »

Que vont devenir les possesseurs de VAE Angell potentiellement défectueux ? La start-up les incite à ne pas les utiliser par mesure de sécurité mais reconnaît dans son mail ne proposer pour le moment « aucune solution concrète ». En attendant que les responsabilités dans ce fiasco industriel soient clairement déterminées, une issue qui passera sans doute par la voie judiciaire, « cela ne signifie pas que vous ne serez pas dédommagés, tente de rassurer l’entreprise en voie de disparition, les voies assurantielles et les recours légaux restant ouverts, mais les vélos ne seront pas reproduits et seule une solution financière pourra être envisagée ».

La disparition programmée d’Angell rappelle celle du Néerlandais Van Moof en juillet 2023. Positionné sur le même créneau premium, sa faillite avait laissé des milliers d’utilisateurs en Europe sans solution et les procédures très longues ne laissent rien augurer de bon. Le millier de clients en possession de la deuxième génération de vélos (modèles Core et Rapide +), beaucoup plus fiable celle-là, vont être les victimes collatérales de la liquidation probable d’Angell. « Ils ne sont pas concernés par le rappel, leur deux-roues électrique continuera de rouler mais il est probable que les fonctions connectées (alarme ou GPS) finissent par fonctionner en mode dégradé », indique le directeur général, John Mollanger.

Pour Marc Simoncini, le coup est rude et l’échec cuisant. L’entrepreneur à la réputation flatteuse qui a fait fortune en cédant Meetic avait déclaré qu’Angell serait son dernier projet. « Ce sera le cas. J’y ai consacré beaucoup d’énergie et mon ambition était de tout fabriquer en France pour prouver qu’on pouvait lutter contre les vélos fabriqués en Asie. C’est dur mais on apprend plus de ses échecs que de ses succès. »


 
Tesla et BMW attaquent l'UE en justice au sujet des droits de douane sur les véhicules électriques en Chine
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28 janvier 2025

Tesla, la société d'Elon Musk, et BMW, le géant allemand de l'automobile, ont contesté devant la plus haute juridiction de l'Union européenne les droits de douane imposés par l'UE sur les véhicules électriques fabriqués en Chine, a annoncé lundi la Commission européenne.

Communique : Les constructeurs automobiles - qui fabriquent tous deux des VE en Chine - ont suivi les recours déposés auprès de la Cour de justice de l'Union européenne par les constructeurs automobiles chinois BYD, Geely et SAIC contre les droits de douane supplémentaires pouvant aller jusqu'à 35 %.

« Nous prenons note de ces affaires et nous avons hâte de nous défendre devant la Cour », a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Commission, Olof Gill.

Bruxelles a imposé des droits de douane supplémentaires sur les voitures électriques fabriquées en Chine à la fin du mois d'octobre, à la suite d'une enquête anti-subventions.

Cette décision intervient alors que l'industrie automobile européenne est plongée dans une crise en raison des coûts de fabrication élevés, d'une transition hésitante vers les véhicules électriques et d'une concurrence accrue sur le marché clé qu'est la Chine.

La Chine a toujours nié que ses politiques industrielles étaient injustes et a déposé une plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce au sujet des droits de douane.

Dans le cadre de ce régime tarifaire, les véhicules Tesla fabriqués à Shanghai sont frappés d'une surtaxe de 7,8 %, qui s'ajoute aux 10 % déjà appliqués aux importations de véhicules électriques en provenance de Chine.

BYD doit également s'acquitter d'une surtaxe de 17 %, Geely de 18,8 % et SAIC de 35,3 %.

Les autres groupes qui ont coopéré à l'enquête européenne se voient imposer un tarif supplémentaire de 20,7 %.

Le gouvernement allemand est l'un des cinq États membres de l'UE qui se sont opposés à la mesure.


 
Tesla et BMW attaquent l'UE en justice au sujet des droits de douane sur les véhicules électriques en Chine
28 janvier 2025

Tesla, la société d'Elon Musk, et BMW, le géant allemand de l'automobile, ont contesté devant la plus haute juridiction de l'Union européenne les droits de douane imposés par l'UE sur les véhicules électriques fabriqués en Chine, a annoncé lundi la Commission européenne.

Communique : Les constructeurs automobiles - qui fabriquent tous deux des VE en Chine - ont suivi les recours déposés auprès de la Cour de justice de l'Union européenne par les constructeurs automobiles chinois BYD, Geely et SAIC contre les droits de douane supplémentaires pouvant aller jusqu'à 35 %.

« Nous prenons note de ces affaires et nous avons hâte de nous défendre devant la Cour », a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Commission, Olof Gill.

Bruxelles a imposé des droits de douane supplémentaires sur les voitures électriques fabriquées en Chine à la fin du mois d'octobre, à la suite d'une enquête anti-subventions.

Cette décision intervient alors que l'industrie automobile européenne est plongée dans une crise en raison des coûts de fabrication élevés, d'une transition hésitante vers les véhicules électriques et d'une concurrence accrue sur le marché clé qu'est la Chine.

La Chine a toujours nié que ses politiques industrielles étaient injustes et a déposé une plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce au sujet des droits de douane.

Dans le cadre de ce régime tarifaire, les véhicules Tesla fabriqués à Shanghai sont frappés d'une surtaxe de 7,8 %, qui s'ajoute aux 10 % déjà appliqués aux importations de véhicules électriques en provenance de Chine.

BYD doit également s'acquitter d'une surtaxe de 17 %, Geely de 18,8 % et SAIC de 35,3 %.

Les autres groupes qui ont coopéré à l'enquête européenne se voient imposer un tarif supplémentaire de 20,7 %.

Le gouvernement allemand est l'un des cinq États membres de l'UE qui se sont opposés à la mesure.


Musk trouve qu’il est normal que les US imposent des droits de douane à la Chine et aux autres pays, mais quand l’Europe fait de même pour la Chine et que ses voitures sont concernées, c’est une autre chanson !
 
On a l'impression que l'Europe, l'UE, se trouve dans une position difficile et une situation embarrassante et gênante.
L'allié traditionnel, les États-Unis, est un peu contre l'Europe sous la direction Trump, alors qu'ils partagent les mêmes valeurs.
Et Trump est susceptible d'améliorer les relations avec la Russie à l'avenir, ce qui laisserait l'Europe sur le carreau.
Jusqu'à présent, Trump n'a pas augmenté de manière significative les droits de douane sur les produits chinois, et il n'est pas stupide parce que sans la Chine, un pays majeur de la chaîne d'approvisionnement, l'inflation extrêmement élevée aux États-Unis ne peut pas être éliminée.
Et les pays européens ne peuvent pas offrir ce rôle à la bonne santé économique des États-Unis.
Le gaz et le pétrole russes sont complètement coupés de l'Europe, disparus, car l'Ukraine a fermé les vannes du gazoduc,
L'Europe et les pays de l'UE ont été poignardés dans le dos par son allié, l'Ukraine, qu'elle a toujours soutenu.
Tout cela indique que les pays européens, pendant les 4 ans où Trump est au pouvoir aux États-Unis, n'ont pas un avenir fantastique.
Dans ce cas, cela pourrait être un cauchemar pour l'Europe si les pays européens ont alors des relations économiques et politiques tendues avec la Chine.
 
On a l'impression que l'Europe, l'UE, se trouve dans une position difficile et une situation embarrassante et gênante.
L'allié traditionnel, les États-Unis, est un peu contre l'Europe sous la direction Trump, alors qu'ils partagent les mêmes valeurs.
Et Trump est susceptible d'améliorer les relations avec la Russie à l'avenir, ce qui laisserait l'Europe sur le carreau.
Jusqu'à présent, Trump n'a pas augmenté de manière significative les droits de douane sur les produits chinois, et il n'est pas stupide parce que sans la Chine, un pays majeur de la chaîne d'approvisionnement, l'inflation extrêmement élevée aux États-Unis ne peut pas être éliminée.
Et les pays européens ne peuvent pas offrir ce rôle à la bonne santé économique des États-Unis.
Le gaz et le pétrole russes sont complètement coupés de l'Europe, disparus, car l'Ukraine a fermé les vannes du gazoduc,
L'Europe et les pays de l'UE ont été poignardés dans le dos par son allié, l'Ukraine, qu'elle a toujours soutenu.
Tout cela indique que les pays européens, pendant les 4 ans où Trump est au pouvoir aux États-Unis, n'ont pas un avenir fantastique.
Dans ce cas, cela pourrait être un cauchemar pour l'Europe si les pays européens ont alors des relations économiques et politiques tendues avec la Chine.
C'est le probleme de la France d'avoir perdu son autonomie et independance , au nom d'une utopie sans queue ni tete qu'est l'Union Europeene sous sa forme actuelle , les dirigeants puissants aiment les interlocuteurs individuels qui peuvent decider , pas une equipe de 27 baboins au cul pele gesticulants et desunis ,dont l'activite principale est de debattre sur le diametre des saucissons ...

L'Allemagne a bien compris c'est Germany First elle fait sa vie ...
 
C'est le probleme de la France d'avoir perdu son autonomie et independance , au nom d'une utopie sans queue ni tete qu'est l'Union Europeene sous sa forme actuelle , les dirigeants puissants aiment les interlocuteurs individuels qui peuvent decider , pas une equipe de 27 baboins au cul pele gesticulants et desunis ,dont l'activite principale est de debattre sur le diametre des saucissons ...
Allez Maître, encore un effort, il faut dire le mot, vous verrez, on se sent mieux après: Frexit !