Bonjour 5
On va plutot dire au sommet de la technologie , ce serait plus realiste !
Bonne fin de journee
Diplomatie & Commerce International après l'élection du President Trump ...
- Auteur de la discussion lafoy-china
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On va plutot dire au sommet de la technologie , ce serait plus realiste !
Bonne fin de journee
Ce qui va être intéressant, c'est de voir comment ça se termine avec le Mexique.
Le président des USA fait ses armes avec le Mexique, si c'est fructueux le patient Chinois risque de goûter à une solution Caliente, éprouvé sur le patient Mexicain.
Pire, si ça marche, de nombreux pays à travers le Monde risquent de reproduire la politique commerciale de Mr. TRUMP.
Perso, j'ai hâte de voir comment le président des USA va traiter son patient Chinois.
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Le président des USA fait ses armes avec le Mexique, si c'est fructueux le patient Chinois risque de goûter à une solution Caliente, éprouvé sur le patient Mexicain.
Pire, si ça marche, de nombreux pays à travers le Monde risquent de reproduire la politique commerciale de Mr. TRUMP.
Perso, j'ai hâte de voir comment le président des USA va traiter son patient Chinois.
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Alors celle-là, c'est vraiment la meilleure !
Les Américains sont tout le contraire : des ploucs arriérés qui se donnent des grands airs en construisant des grattes-ciels. Les Européens et les Asiatiques ont plus de 2500 ans de culture et de civilisation derrière eux. Tandis que les plus vielles villes américaines remontent à 250 ans.
Il n'y a qu'à voir la morale puérile des films et séries américaines. Même mon fils de 10 ans fait preuve de plus de discernement et d'abstraction pour distinguer le bien du mal. C'est aussi pour cela que les Américains sont totalement incapables d'assimiler le concept de réchauffement climatique, ou que le créationisme est enseigné à l'école. C'est dire les tares de la société américaine.
Il y a une constante dans la politique extérieure américaine, que ce soit une administration démocrate ou républicaine, ca ne remonte pas seulement à W (qui certes a un mis un sérieux coup d'accélérateur), comme l'a résumé Znort pas plus tard qu'aujourd'hui. (c'est d'ailleurs parait-il decrit dans les livres "Le cash des civilisations" de Samuel Huttington et "Le grand echiquier" de Zbigniew Brzeziński - mais je n'ai pas eu l'occasion de les lire)
https://www.bonjourchine.com/threads/brexit-vos-pronostics.137802/page-14#post-681400
Et je ne crois pas me tromper en disant que Trump souhaite rompre avec tout ça, notamment remettant en cause dans une certaine mesure l'OTAN (l'organisation militaire soit disant de "défense" qui est impliquée dans je ne sais combien d'interventions militaires agressives - 1 seule a été faite au nom du fameux Article 5 - la solidarité entre ses membres en cas d’agression)
Par ailleurs, je te remercie de rappeler que la voix de la France (62 millions d'habitants en 2003) a compté beaucoup plus que celle des Etats-Unis (290 millions), que celle de la Grande Bretagne (60 millions), que celle de tous les pays de la "nouvelle" Europe alignés sur les USA, et je dirai meme presque plus que celle de la Russie (144 millions d'habitants) et de la Chine (1, 3 milliards d'habitants) dont les oppositions à l'invasion de l'Irak étaient attendues.
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Mots clés: Trump: Saco de Pancada
Que cherche Donald Trump en provoquant le Mexique ?
En déclenchant une crise ouverte avec Mexico sur la question du mur, le nouveau président des Etats-Unis défend moins une rationalité économique que l'affirmation d'un unilatéralisme agressif en passe de devenir sa nouvelle doctrine.
Extrait : Une semaine après son entrée en fonction officielle, Donald Trump, le nouveau président des Etats-Unis, connaît déjà sa première crise internationale autour d'une des principales idées défendues pendant la campagne électorale : la construction d'une « barrière physique » à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Après avoir fait reprendre en chœur à ses troupes dans les meetings que le voisin méridional paierait pour la construction de ce mur, le nouvel hôte de la Maison Blanche a tenté d'obtenir de Mexico le financement de ce mur. Comme le gouvernement mexicain n'est pas demandeur de ce mur, par ailleurs assez humiliant pour lui, Donald Trump s'est naturellement heurté à un refus qui a conduit à l'annulation du déplacement prévu à Washington du président mexicain Enrique Peña Nieto.
Construisant sa nouvelle doctrine économico-diplomatique, Donald Trump a donc tenté de construire une voie unilatérale pour obtenir du Mexique, malgré sa volonté, l'argent nécessaire pour construire ce mur, soit, dans le meilleur des cas une quinzaine de milliards de dollars. « Je veux prendre une route différente », a expliqué le nouveau président des Etats-Unis lors d'un point presse à Philadelphie en critiquant le refus de payer de Mexico, ajoutant : « nous n'avons pas le choix ». Ces quelques mots pourraient constituer le fondement de la nouvelle doctrine unilatéraliste étasunienne : réclamer l'impossible à ses partenaires et prétexter une « mauvaise volonté » de ceux-ci pour agir seul.
Suite de l'article >>>
Source : LA TRIBUNE
En déclenchant une crise ouverte avec Mexico sur la question du mur, le nouveau président des Etats-Unis défend moins une rationalité économique que l'affirmation d'un unilatéralisme agressif en passe de devenir sa nouvelle doctrine.
Extrait : Une semaine après son entrée en fonction officielle, Donald Trump, le nouveau président des Etats-Unis, connaît déjà sa première crise internationale autour d'une des principales idées défendues pendant la campagne électorale : la construction d'une « barrière physique » à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis. Après avoir fait reprendre en chœur à ses troupes dans les meetings que le voisin méridional paierait pour la construction de ce mur, le nouvel hôte de la Maison Blanche a tenté d'obtenir de Mexico le financement de ce mur. Comme le gouvernement mexicain n'est pas demandeur de ce mur, par ailleurs assez humiliant pour lui, Donald Trump s'est naturellement heurté à un refus qui a conduit à l'annulation du déplacement prévu à Washington du président mexicain Enrique Peña Nieto.
Construisant sa nouvelle doctrine économico-diplomatique, Donald Trump a donc tenté de construire une voie unilatérale pour obtenir du Mexique, malgré sa volonté, l'argent nécessaire pour construire ce mur, soit, dans le meilleur des cas une quinzaine de milliards de dollars. « Je veux prendre une route différente », a expliqué le nouveau président des Etats-Unis lors d'un point presse à Philadelphie en critiquant le refus de payer de Mexico, ajoutant : « nous n'avons pas le choix ». Ces quelques mots pourraient constituer le fondement de la nouvelle doctrine unilatéraliste étasunienne : réclamer l'impossible à ses partenaires et prétexter une « mauvaise volonté » de ceux-ci pour agir seul.
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Source : LA TRIBUNE
Theresa May affirme que Donald Trump soutient l'Otan «à 100 %»
VIDÉO - La première ministre britannique a été reçue à la Maison-Blanche, ce vendredi, par le nouveau président américain. Les dirigeants ont notamment préparé le terrain pour un futur accord commercial, évoqué la Russie, le Brexit et l'Alliance atlantique.
Extrait : C'était la première dirigeante étrangère à être reçue à la Maison-Blanche. Theresa May a rencontré ce vendredi Donald Trump dans le bureau ovale. Les deux dirigeants ont discuté de nombreux sujets «forts intéressants», selon le président américain. Parmi lesquels, la politique étrangère, la lutte contre Daech, mais aussi la coopération commerciale entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Un objectif, pour les deux pays: «préparer le terrain» en vue d'un futur accord commercial, a affirmé la première ministre britannique lors d'une conférence de presse commune. «Nos relations sont déjà immenses, mais le président Trump et moi-même allons continuer à renforcer ces liens, pour plus d'emploi», a-t-elle expliqué.
De son côté, le président Républicain, qui se rendra au Royaume-Uni avant la fin de l'année, a vanté «la relation la plus spéciale» entre Washington et Londres. Ce dernier a, à nouveau, salué le Brexit, «une chose merveilleuse» qui, selon lui, va permettre aux Britanniques de «gagner en indépendance et en souveraineté nationale.» «J'ai eu une très mauvaise expérience» de l'Union européenne, a fait valoir Donald Trump. Quand «j'ai quelque chose dans un autre pays, c'était très très dur d'obtenir les autorisations; C'était rapide, facile et efficace d'obtenir les autorisations du pays. Mais c'était très très difficile d'obtenir les autorisations du grand groupe -je les appelle le consortium», a-t-il détaillé.
Suite de l'article >>>
Source : LE FIGARO
VIDÉO - La première ministre britannique a été reçue à la Maison-Blanche, ce vendredi, par le nouveau président américain. Les dirigeants ont notamment préparé le terrain pour un futur accord commercial, évoqué la Russie, le Brexit et l'Alliance atlantique.
Extrait : C'était la première dirigeante étrangère à être reçue à la Maison-Blanche. Theresa May a rencontré ce vendredi Donald Trump dans le bureau ovale. Les deux dirigeants ont discuté de nombreux sujets «forts intéressants», selon le président américain. Parmi lesquels, la politique étrangère, la lutte contre Daech, mais aussi la coopération commerciale entre les États-Unis et le Royaume-Uni. Un objectif, pour les deux pays: «préparer le terrain» en vue d'un futur accord commercial, a affirmé la première ministre britannique lors d'une conférence de presse commune. «Nos relations sont déjà immenses, mais le président Trump et moi-même allons continuer à renforcer ces liens, pour plus d'emploi», a-t-elle expliqué.
De son côté, le président Républicain, qui se rendra au Royaume-Uni avant la fin de l'année, a vanté «la relation la plus spéciale» entre Washington et Londres. Ce dernier a, à nouveau, salué le Brexit, «une chose merveilleuse» qui, selon lui, va permettre aux Britanniques de «gagner en indépendance et en souveraineté nationale.» «J'ai eu une très mauvaise expérience» de l'Union européenne, a fait valoir Donald Trump. Quand «j'ai quelque chose dans un autre pays, c'était très très dur d'obtenir les autorisations; C'était rapide, facile et efficace d'obtenir les autorisations du pays. Mais c'était très très difficile d'obtenir les autorisations du grand groupe -je les appelle le consortium», a-t-il détaillé.
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Source : LE FIGARO
Le slogan qui a propulsé Donald Trump est mémorable: «Make America great again». Redonner aux États-Unis leur grandeur, leur force, leur splendeur. Le milliardaire a trouvé les mots exacts que son peuple avait le goût d’entendre.
Mais après une semaine au pouvoir, plusieurs observateurs éclairés ont plutôt l’impression que les politiques et l’attitude de Trump sont en train de pousser la Chine vers le rôle de nouveau leader du monde.
La Chine est déjà une super puissance économique, de plus en plus une force militaire incontournable et le géant des géants par sa population. Les Chinois achètent des entreprises partout sur Terre. Ils s’approprient des terres et des ressources naturelles sur tous les continents.
Qui est moins fréquentable ?
Jusqu’à maintenant, il y avait une limite à l’influence de la Chine. Son système dirigé par un parti communiste gardait le pays un peu isolé. Son influence n’était pas proportionnelle à sa taille. Dans le grand jeu mondial, la Chine arrivait loin derrière les Américains.
Les choses changent. Donald Trump tient un discours et pose une série de gestes qui vont clairement dans le sens d’isoler les États-Unis. Au nom d’une volonté de protéger les emplois et la sécurité du peuple américain, la politique de Trump semble sacrifier toute vision de l’influence internationale stratégique de son pays.
Plusieurs des alliés naturels des États-Unis risquent d’être refroidis par son attitude. La façon dont le président Trump agresse le Mexique va laisser des traces. Malgré un bilan douteux en matière des droits de l’homme, les dirigeants de la Chine pourraient soudainement devenir plus fréquentables que le président américain.
Déjà au forum économique mondial de Davos la semaine dernière, la grande place prise par la Chine fut le phénomène le plus remarqué. Il fallait entendre le premier ministre chinois Xi Jinping se faire l’apôtre du libre-échange et parler allègrement de mondialisation et d’ouverture au moment même où Trump finalisait la rédaction de son discours isolationniste. Le monde à l’envers!
Même sur un sujet jadis tabou en Chine, les changements climatiques, le leader chinois s’est permis de faire la promotion de l’Accord de Paris. Jamais dans l’histoire la Chine n’avait dégagé un tel panache de leadership mondial.
L’erreur ultime
La stratégie du président Trump face au Partenariat transpacifique me paraît encore plus douteuse. L’un des objectifs des États-Unis et du Canada en négociant le PTP était d’établir une zone de commerce avec l’Australie et des pays asiatiques pour faire un contrepoids à la Chine. En signant le retrait des États-Unis de l’accord plus tôt cette semaine, Trump tue le PTP.
Ce faisant, il est probable que ces pays se retournent vers la Chine pour établir un partenariat commercial. En fait, c’est Trump qui a livré ces pays dans les bras de la Chine en se retirant du Partenariat. Monsieur Trump a agi dans une vision protectionniste liée à la peur de pertes d’emploi à court terme. Quelle erreur stratégique! Une erreur profitable à la Chine.
Redonner sa grandeur à l’Amérique? Trump pourrait se tirer dans le pied.
http://www.journaldemontreal.com/2017/01/28/imake-china-great-i
Mais après une semaine au pouvoir, plusieurs observateurs éclairés ont plutôt l’impression que les politiques et l’attitude de Trump sont en train de pousser la Chine vers le rôle de nouveau leader du monde.
La Chine est déjà une super puissance économique, de plus en plus une force militaire incontournable et le géant des géants par sa population. Les Chinois achètent des entreprises partout sur Terre. Ils s’approprient des terres et des ressources naturelles sur tous les continents.
Qui est moins fréquentable ?
Jusqu’à maintenant, il y avait une limite à l’influence de la Chine. Son système dirigé par un parti communiste gardait le pays un peu isolé. Son influence n’était pas proportionnelle à sa taille. Dans le grand jeu mondial, la Chine arrivait loin derrière les Américains.
Les choses changent. Donald Trump tient un discours et pose une série de gestes qui vont clairement dans le sens d’isoler les États-Unis. Au nom d’une volonté de protéger les emplois et la sécurité du peuple américain, la politique de Trump semble sacrifier toute vision de l’influence internationale stratégique de son pays.
Plusieurs des alliés naturels des États-Unis risquent d’être refroidis par son attitude. La façon dont le président Trump agresse le Mexique va laisser des traces. Malgré un bilan douteux en matière des droits de l’homme, les dirigeants de la Chine pourraient soudainement devenir plus fréquentables que le président américain.
Déjà au forum économique mondial de Davos la semaine dernière, la grande place prise par la Chine fut le phénomène le plus remarqué. Il fallait entendre le premier ministre chinois Xi Jinping se faire l’apôtre du libre-échange et parler allègrement de mondialisation et d’ouverture au moment même où Trump finalisait la rédaction de son discours isolationniste. Le monde à l’envers!
Même sur un sujet jadis tabou en Chine, les changements climatiques, le leader chinois s’est permis de faire la promotion de l’Accord de Paris. Jamais dans l’histoire la Chine n’avait dégagé un tel panache de leadership mondial.
L’erreur ultime
La stratégie du président Trump face au Partenariat transpacifique me paraît encore plus douteuse. L’un des objectifs des États-Unis et du Canada en négociant le PTP était d’établir une zone de commerce avec l’Australie et des pays asiatiques pour faire un contrepoids à la Chine. En signant le retrait des États-Unis de l’accord plus tôt cette semaine, Trump tue le PTP.
Ce faisant, il est probable que ces pays se retournent vers la Chine pour établir un partenariat commercial. En fait, c’est Trump qui a livré ces pays dans les bras de la Chine en se retirant du Partenariat. Monsieur Trump a agi dans une vision protectionniste liée à la peur de pertes d’emploi à court terme. Quelle erreur stratégique! Une erreur profitable à la Chine.
Redonner sa grandeur à l’Amérique? Trump pourrait se tirer dans le pied.
http://www.journaldemontreal.com/2017/01/28/imake-china-great-i
Guacamole, tequila, Corona...les Américains redoutent une envolée des prix
- Par Clémentine Maligorne
- Publié le 28/01/2017 à 08:00
INFOGRAPHIE - L'administration Trump a évoqué la possibilité de mettre en place une taxe de 20% sur les produits mexicains pour financer la construction d'un mur le long de la frontière avec le Mexique.
La proposition de Donald Trump de taxer à hauteur de 20% les produits importés du Mexique pour financer un mur à la frontière a déclenché un vent de panique aux États-Unis. Beaucoup de consommateurs redoutent en effet que cette taxe, si elle était instaurée, fasse grimper en flèche le prix des marchandises telles que l'avocat ou encore la bière Corona. «L'avocat va devenir le nouveau caviar», s'inquiétait sur Twitter une Américaine.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...americains-redoutent-une-envolee-des-prix.php
ça leur fera du bien à leur gros culs de gros sacs
C'est bien comme ça que je vois l'expérience Mexicaine, qui sera, si fructueuse transposable aux différents partenaires commerciaux des USA.
[...]réclamer l'impossible à ses partenaires et prétexter une « mauvaise volonté » de ceux-ci pour agir seul.[...]
Ça sent le "j'essaye ma sauce avec le Mexique, si ça accroche, je colle ça aux Chinois."
Les communistes doivent regarder avec intérêt le match USA Vs Mexique.
Ils savent qu'ils sont les suivants.
Je pensais qu en Irak et en Libye, c était mieux maintenant, une belle et grande Démocratie? Pourquoi leur interdire l accès des USA? Qui fout des bombes dans ces pays et poussent la population a fuir? Quel être merveilleux ce gros con, quel monde superbe que l on nous prépare? Et air France se couche... Délicat de faire autrement mais pas impossible non plus.
... "Le décret présidentiel, entré en application dès sa signature vendredi 27 janvier au soir, interdit l'entrée aux Etats-Unis Lien retiré d'Iran, d'Irak, du Yémen, de Somalie, du Soudan et de Libye pendant une durée de 90 jours. Tous les Syriens sont, eux, interdits d'entrée sur le territoire américain jusqu'à nouvel ordre.
Les passagers dont l'embarquement a été refusé par Air France sont des ressortissants de ces pays, "mais cela ne veut pas dire qu'ils venaient forcément de ces pays", a précisé le porte-parole." ...
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... "Le décret présidentiel, entré en application dès sa signature vendredi 27 janvier au soir, interdit l'entrée aux Etats-Unis Lien retiré d'Iran, d'Irak, du Yémen, de Somalie, du Soudan et de Libye pendant une durée de 90 jours. Tous les Syriens sont, eux, interdits d'entrée sur le territoire américain jusqu'à nouvel ordre.
Les passagers dont l'embarquement a été refusé par Air France sont des ressortissants de ces pays, "mais cela ne veut pas dire qu'ils venaient forcément de ces pays", a précisé le porte-parole." ...
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Les mecs du 11 Septembre étaient Saoudiens.
Pourquoi l'Arabie Saoudite n'est pas sur la liste des pays bloqués???
L'Iran combat le terrorisme et l'Etat Islamique.
Sa décision de bloquer certains pays est étrange, quand Pakistan et Arabie Saoudite ne sont pas sur la liste.
Pourquoi l'Arabie Saoudite n'est pas sur la liste des pays bloqués???
L'Iran combat le terrorisme et l'Etat Islamique.
Sa décision de bloquer certains pays est étrange, quand Pakistan et Arabie Saoudite ne sont pas sur la liste.
Bonjour Hara
Que l'Iran annule deja sa recente grosse commande de Boeing ca remettrait deja les choses en place , Airbus a tout a y gagner ainsi que nos autres industries .
Le president XI doit se frotter les mains egalement , il n'en demandait pas tant .
On passera egalement sur les troubles en cours dans les institutions et les entreprises aux Etats Unis ....
Attendons la suite , mais se mettre la planete a dos en 10 jours , c'est une sacree performance !
... C'est peut etre une strategie apres tout !
Merci toto
Je voulais dire que je ne connaissais pas la crédibilité de ce think thank et je n en ai pas fait la recherche avant de le poster.
ca me rappelle quelqu'un parfaitement capable de cette performance au niveau du forum...Attendons la suite , mais se mettre la planete a dos en 10 jours , c'est une sacree performance !
Les Francais et les Belges (padamalgame), ne sont pas concernes pour l'instant , et pourtant ils sont tres actifs en terrorisme dans les pays occidentaux , egalement en recrues des cellules daech et cie , Irak , Libye et Syrie , est ce un oubli ou la volonte de ne pas pousser le bouchon trop loin ?
Pour ma part vis a vis du terrorisme sur nos sols et en particulier la France , peu de ressortissants concernes par les pays incrimines dans la liste du president Trump !
En ce qui concerne la Turquie et cie il ne va pas se facher avec des pays ou sont stationnees des bases americaines ou des contingents qui ne sont pas en operations militaires dans ces memes pays , de surcroit des pays qui achetent du materiel militaire US sans oublier ses propres interets commerciaux ...
N'oublions pas cependant que la ligue Arabe est obligee de s'elever contre ces mesures , avec quelle efficacite cela reste a voir ?
Mais bon mis a part avec la Chine qui n'est pas un pays faible et dont la claque de retour pourrait etre retentissante , le planning est globalement respecte !
Dernière édition:
The Blacklist...? le rapprochement Russo-Americain en marche!
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Bonjour Toto
Le president Poutine est d'une intelligence superieure au president Trump tout du moins dans le domaine de la politique internationale , il sait pertinement qu'un accord peut durer le temps d'un mandat presidentiel et etre remis en cause avec le successeur du president Trump , un accord sur la politique au Moyen Orient certainement , mais vu les relations entre la Chine et la Russie le president Trump est un peu comme dans la fable " La laitiere et le pot a lait " vis a vis du president Poutine .
Le president Poutine est un homme habile et avise et surtout un grand manipulateur , ce n'est pas un lapin de 6 semaines ....
Le president Trump ne tari pas d'eloge sur l'Inde egalement avec de folles promesses d'echanges economiques et de partenariat militaire , il y a seulement un hic , si par exemple le president Trump surtaxe les produits chinois , il sera oblige de faire la meme chose avec les produits similaires indiens , il y a un organisme qui se nome l'OMC et il ya des regles ! Sans compter la tension avec l'Inde et le Pakistan qui ne vont pas manquer d'atteindre des sommets !
En Bref le president Trump cherche a attiser les relations entre L'Inde , la Chine et le Pakistan ainsi que contrarier la Cooperation entre la Chine et la Russie !
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