C’était à la découverte d'un temple hors circuit touristique à cette époque-là (1996) je suis parti à 4h du matin, à pied, du village de Laoyin pour la montagne du Wudang shan, je suis arrivé au temple dit des 5 dragons vers les 14h00 de l'aprem, n’ayant pas mangé, un fermier qui tenait les clefs de quelques pièces du temple que je venais de rencontré et qui me fit visité, m'offris à mangé. Et ce fut pour la toute première fois que je mangeais du "mijiu", après 4 bols j'étais bien rassasié, et je me pressais de repartir pour rejoindre les temples du haut de Wudang shan. 35° dehors, 25° dans la ferme, 4 bols de "mijiu" fut un cocktail bien parfait: rond comme une queue de pèle (saoul). Forcement arrivé dans la forêt de bambou, j'ai tourné en rond pendant un moment. 18h du soir, la nuit tombait et je tournais en rond, cela faisait la troisième fois que je me retrouvais face à une grotte ou quelque vaches finies par si réfugier. Quelques vaches? donc habitation, je tendis l'oreille, et à l'aide mon coupe coupe, je traversais les bambous. J'arrivais dans une cour de ferme ou une vieille femme rentrait ces cochons dans le cochonnier à l'aide d'une fourche à foin en bois. Quand elle me vit, elle crut voire un revenant, c'est-ce qu'elle m'a dit par la suite, c'est-à-dire qu'a cette époque, des moustaches de 20cm, le crane moitié rasé et une queue de cheval tresser en arrière , me faisait plus passé pour une personne de Mongolie que d'un étranger. Me chargeant de sa fourche, en voyant ce mort vivant qu'elle avait devant elle, moi, elle s'arrêta juste à quelques cm de mon tee-shirt ou il était inscrit d'un grand sigle d'un idéogramme , marqué, "Fó" qui veut dire Bouddha. Est elle s'écria"Fójiào", je compris de suite en lui répondant "om mi tu fu"et en mettant ma main devant le coeur comme fond les bouddhistes. Alors elle cria et cria pour appeler d'autres personnes. La famille étant arrivée tout courant me regardait avec des yeux écarquillés. Jusqu'au moment ou un jeune en tenu militaire me parla, je lui expliquais mon aventure à l'aide du dictionnaire de poche, car à cette époque-là mon chinois était plus que médiocre, et ils finirent par m'inviter à rentrer dans leur maison, manger et dormir. Le matin ils se levèrent de bonne heure, je les suivis, et en faisant mes exercices matinaux, je voyais des gens et des gens arriver. Quand vers les 8h ils me donnèrent le petit déjeuné, tout le monde était assis est attendait. Une fois fini mon petit déjeuné, un à un, les gens se levaient et venant me voir se plaignait du dos, d'un torticolis, d'une plaie infectée, etc... et c'est ainsi que j'ai passé la matinée à soigner les gens. l'après-midi, le jeune habillé en militaire prit mon sac à dos et me conduit à travers la forêt vierge jusqu'au temple d'en haut.