Racisme
Au niveau idéologique, le racisme consiste à affirmer au nom d'un peuple, d'une hiérarchie entre les races, qu'un peuple, incarnation d'un type humain idéal, est supérieur à tous les autres et voué par conséquent, à les dominer. Par analogie, il s'agit de l'hostilité envers une catégorie quelconque de personnes.
«L'étranger» est la victime idéale de ce déplacement. Le noir, l'arabe, l'asiatique possèdent des différences visibles à l'oeil nu. La couleur de la peau n'est pas la même, l'éducation, les modes de vie, les religions sont différentes. Voilà une cible idéale de projection permettant l'argumentation quasi infini de discrimination. L'autre, différent, représente pour l'individu ce qu'il n'aimerait pas devenir. Cette peur initiale transformée en peurs. La peur du noir (sans mauvais jeu de mot) de l'arabe conduit à craindre ce qu'il est, représente et fait. L'autre devient donc une menace qu'il faut supprimer, à défaut de pouvoir supprimer ce qui représente la peur originelle, la femme.
La société évolue, le déplacement évolue également, la peur de l'autre passe d'un être à un autre, se manifeste sous des formes nouvelles. Imaginons un brassement mondial de la population : une seule race. Le racisme persisterait toujours. En effet, il s'agit là de projection, quelques soient les démarches entreprises, elles ne réduiront en rien la peur de la castration. Le racisme cessera d'être lorsque : toutes les femmes auront un «phallus» ou bien tous les hommes auront perdu leur «robinet». Ces deux solutions paraissent irréalisables pour l'instant, il en demeure une dernière : l'acceptation pour l'homme de la femme, plus en tant que menace ou risque de devenir de la gente masculine. Accepter la femme en face de soi, c'est accepter la partie féminine présente en chaque homme. Les progrès de la science pourront peut être palier aux deux premières solutions, quant à la troisième, il y a un long et pénible travail sur soi à entreprendre. Accepter ce qu'est réellement le racisme à la source est déjà un grand pas.
source: http://www.psychopsy.com/changer/racisme.html
Au niveau idéologique, le racisme consiste à affirmer au nom d'un peuple, d'une hiérarchie entre les races, qu'un peuple, incarnation d'un type humain idéal, est supérieur à tous les autres et voué par conséquent, à les dominer. Par analogie, il s'agit de l'hostilité envers une catégorie quelconque de personnes.
«L'étranger» est la victime idéale de ce déplacement. Le noir, l'arabe, l'asiatique possèdent des différences visibles à l'oeil nu. La couleur de la peau n'est pas la même, l'éducation, les modes de vie, les religions sont différentes. Voilà une cible idéale de projection permettant l'argumentation quasi infini de discrimination. L'autre, différent, représente pour l'individu ce qu'il n'aimerait pas devenir. Cette peur initiale transformée en peurs. La peur du noir (sans mauvais jeu de mot) de l'arabe conduit à craindre ce qu'il est, représente et fait. L'autre devient donc une menace qu'il faut supprimer, à défaut de pouvoir supprimer ce qui représente la peur originelle, la femme.
La société évolue, le déplacement évolue également, la peur de l'autre passe d'un être à un autre, se manifeste sous des formes nouvelles. Imaginons un brassement mondial de la population : une seule race. Le racisme persisterait toujours. En effet, il s'agit là de projection, quelques soient les démarches entreprises, elles ne réduiront en rien la peur de la castration. Le racisme cessera d'être lorsque : toutes les femmes auront un «phallus» ou bien tous les hommes auront perdu leur «robinet». Ces deux solutions paraissent irréalisables pour l'instant, il en demeure une dernière : l'acceptation pour l'homme de la femme, plus en tant que menace ou risque de devenir de la gente masculine. Accepter la femme en face de soi, c'est accepter la partie féminine présente en chaque homme. Les progrès de la science pourront peut être palier aux deux premières solutions, quant à la troisième, il y a un long et pénible travail sur soi à entreprendre. Accepter ce qu'est réellement le racisme à la source est déjà un grand pas.
source: http://www.psychopsy.com/changer/racisme.html