On pourrait dire que çà peut dépendre de plusieurs critères clés:
- Le domaine dans lequel on travail, si çà inclue des hautes et basses saisons, ou bien alors simplement un rythme effréné de vigilance.
- L'humeur du boss, et surtout s'il a des idées folles ou pas dans la tête
- Le poste occupé et les relations de ce poste avec les autres de la boite
- Sois-même avec les autres et l'employeur, avec aussi l'esprit d’initiative et de force de proposition.
En définitive, tout se régule par ces critères ci-dessus.
Mais la plupart du temps en Chine, tous ces critères se mélangent en un bloc qui ressort bien, parce que rien n'est vraiment structuré, tout en bordel.
On peut donc en définitive déduire que tout dépend de soit et des autres, c'est tout.
Tu fout rien ou tu fais quelque chose, seule la dévotion à son travail et la boite compte vraiment.
De là, ils sont contents les boss, t'as ta paie bien méritée.
Une analyse de la politique de l'entreprise doit préalablement être faite, mais en gros c'est çà.
Moi j'arrive à gérer mon équipe avec une véritable structure pour une entente claire et un vrai travail nickel.
Je ne peut rien faire avec les autres départements indisciplinés par contre...
Et c'est toujours ceux qui bossent à qui on confie le plus de choses par la suite.
Faire gaffe à çà aussi... C'est du si j'ai rien à faire savoir au finish, c'est que je suis very busy, même si c'est pas vrai...
Heureusement, je fais le compte goutte quand les patrons ou les autres pètent les plombs avec les meilleurs éléments de la boite...
Un côté du communisme qui reste bien dans les boites chinoises: je m'en fout de ce que tu fais vraiment tous les jours, donne moi juste un rapport imagé avec ce que j’attends, c'est tout, même si c'est complètement faux, tu seras payé par rapport à çà...