En attendant lui qui dénonçait le soit disant népotisme homosexuel entre Séjourné et Attal pour rejeter la nomination de Attal, on l'entend pas beaucoup sur ce qui se passe chez ses anciens amis de la France Insoumise.
ETC.
Je vois que comme lui au fond tu fais la différence entre chier (tout le monde le fait) et foutre la merde (ça, ça demande de la motivation).
S'il a utilisé un tel argument dans un tel but, c'est de la belle connerie on est d'accord (je n'irais pas vérifier, je trouve ça inintéressant).
Pour le reste, bof.
On trouverait dans les proches de Mél'chon des personnes qui partageraient le même engagement voir pire entendraient faire équipe avec lui...
Et alors ?
Au pire en tant qu'électeur on peut s'inquiéter de ce que le mouvement qui est supposé être représenté par cette liste est plutôt petit s'ils n'arrivent pas à ratisser plus large, mais en quoi et à qui cela pose-t-il problème ?
(je n'irais pas vérifier non plus, je trouve ça inintéressant aussi).
Mais ce qu'établis Branco dépasse un simple problème de consanguinité des élites.
Il n'est pas idiot de se poser la question, en définitive, de qui a quel pouvoir dans ce pays.
La fonction d'un président n'est pas d'être sourd à la rue et porte-parole de ceux qui tiennent quasiment tout par les bourses.
OK, dire que les puissants ont plus de pouvoir que les autres... la belle affaire aussi !
Mais en théorie, le principe de la démocratie est bien que la puissance publique soit affranchie, libre, autonome vis-à-vis des autres puissances.
Tout ce qui peut éclairer ces questions, ou même seulement aider à les poser, me semble utile.
S'il y a risque de dépendance, il faut bien qu'on en parle, non ?