Bonjour Chris
On va dire que pour me faire une opinion , je regarde ce qui se passe sur la planete aux actualites , je consulte des sites corroborent un peu tout ca , des bouquins , des documentaires , mais ce n'est que mon avis apres je peut me tromper c'est evident , mais bon si on reprend sans aller chercher trop loin la situation depuis les annees 50 en Amerique Centrale c'est quand meme assez interessant ! Pour les actualites recentes Hong Kong - Ukraine - Irak - Libye - Afghanistan etc... Je musarde a droite a gauche , de ci de la pour me faire une idee ...
Je ne pretend pas avoir raison , de toutes facons , je donne mon opinion ! Nuances
Mais je suis quand meme rassure voir plein d'espoir , vu les fortes chances que Trump soit elu president , les choses vont evoluer enfin dans le bon sens ...
Vous avez apprecie Bush pere , vous avez adore le fils, vous allez etre en extase avec Donald ...
Exemple ...
Son rôle dans les révolutions colorées et le printemps arabe a été clairement établi. En effet, en plus de son poste au Sénat américain, McCain est le plus haut responsable de l’International Republican Institute (IRI) qui, avec le National Democratic Institute (NDI), est un des quatre organismes satellites de la National Endowment for Democracy (NED). Rappelons que la NED est financée par un budget voté par le Congrès et que ses fonds sont gérés par un conseil d’administration où sont représentés le Parti républicain, le Parti démocrate, la Chambre de commerce des États-Unis et le syndicat American Federation of Labor-Congress of Industrial Organization (AFL-CIO). La NED, via ses organismes (en particulier l’IRI et le NDI), forme, réseaute, supporte et finance les activistes pro-démocratie (et surtout pro-occidentaux) à travers le monde, dans des pays ciblés par l’administration américaine. Il en a été ainsi lors des révolutions colorées (Serbie, Géorgie, Ukraine et Kirghizstan), mais aussi lors de la révolution « verte » (Iran) ou du « printemps » arabe . La connexion entre la NED et le gouvernement américain a été mise en évidence, et ce depuis bien longtemps, par Allen Weinstein (un des fondateurs de cet organisme), qui a déclaré en 1991 que la NED faisait aujourd’hui ce que la CIA faisait secrètement il y a 25 ans .
D’ailleurs, il faut se rendre à l’évidence que les évènements qui ont secoué il y a quelques mois l’Ukraine — communément appelés Euromaïdan — s’insèrent dans ce continuum d’actions visant à discréditer Poutine, déstabiliser la Russie et limiter son champ d’influence géopolitique. Ce qui n’a pas pu se faire directement en Russie, pourrait se réaliser en utilisant l’Ukraine comme Cheval de Troie.
C’est dans ce cadre que McCain s’est déplacé en personne à Kiev pour s’adresser directement aux révoltés du Maïdan le 14 décembre 2013. « Nous sommes ici pour soutenir votre juste cause, le droit souverain de l’Ukraine à choisir son propre destin librement et en toute indépendance. Et le destin que vous souhaitez se trouve en Europe », a-t-il claironné . Rappelons que le sénateur américain est en terrain connu lorsqu’il déambule dans la capitale ukrainienne. Effectivement, il s’était déjà rendu en Ukraine en février 2005 pour y rencontrer ses « poulains » de la révolution « orange » qu’il avait largement financés. Mais, cette fois-ci, la différence était de taille : il n’a pas été gêné de s’afficher avec le leader de Svoboda, un parti ukrainien ouvertement ultranationaliste, xénophobe et prônant des valeurs néo-nazies.
La seconde contrée visée par le « virus » printanier de McCain est la Chine. Et tout comme la Russie, ce pays possède lui-aussi un Cheval de Troie : Hong Kong.
Comme l’explique si bien Xiao Chen, un journaliste chinois basé à Hong Kong, « Dans la rivalité entre les États-Unis et la Chine, Hong Kong est une importante pièce d’échec […]. Ce n’est pas facile pour les États-Unis de créer des troubles en Chine, mais c’est super facile de jouer les trouble-fêtes à Hong Kong » .
Le virus à Hong Kong
Les manifestations qui ont secoué cette région administrative chinoise sont une campagne de désobéissance civile très bien orchestrée, destinée à faire pression sur le gouvernement chinois pour la mise en place d’un réel suffrage universel pour les prochaines élections. Ces évènements ont, à bien des égards, tous les attributs d’un mouvement de contestation du type « révolution colorée ».
Quatre ingrédients sont nécessaires pour mettre en branle ce type de « révolution » : de jeunes activistes motivés et mobilisés, une idéologie non-violente d’opposition au pouvoir en place, de la formation adaptée à l’idéologie et du financement.
Dans le cas de cette ancienne colonie britannique, les principaux acteurs de ce mouvement de protestation initialement baptisé « Occupy Central with Love and Peace » (OCLP) sont essentiellement de jeunes étudiants hongkongais affiliés à la Fédération des étudiants de Hong Kong (HKFS) ainsi qu’un certain nombre de politiciens dissidents de la vieille garde hongkongaise. Le nom du mouvement fait référence au mouvement « Occupy Wall Street » avec une touche locale, « Central » étant le principal quartier des affaires de Hong Kong .
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