Les pêcheurs bretons sans les zones maritimes britanniques !On ne sait toujours pas quels seraient ces prétendus "emmerdes"
Les pêcheurs bretons sans les zones maritimes britanniques !On ne sait toujours pas quels seraient ces prétendus "emmerdes"
Les pêcheurs bretons sans les zones maritimes britanniques !
Oui mais chez nous c est déjà Presqueet inversement. On pêche chez soi, comme ça on ne pourra plus accuser les autres de surpêche et de détruire la faune locale.
Comment vont-ils faire techniquement ?Tant qu’il y avait l’espoir d’une sortie négociée, le Brexit « doux » était une option viable. Mais un hard Brexit, on rentre dans une autre catégorie d’emmerde.
Et 1 semaine est largement suffisant.
et bien on achètera leurs poissons et eux nos produits agricoles. Bref du business.Oui mais chez nous c est déjà Presque
mort question pêche ! 40 % du poisson en Europe est péché dans les eaux britanniques ...
et bien on achètera leurs poissons et eux nos produits agricoles. Bref du business.
Les députés s’amusent. On verra bien la dernière semaine. Une fois May out, tout changera.Comment vont-ils faire techniquement ?
L'option de révocation de l'article 50 était parmi les 8 possibilités soumises au vote indicatif du parlement, hier. Mais comme les 7 autres, elle n'a pas obtenu la majorité.
Franchement, tout le monde s’en fout.Brexit: Loiseau «hostile» à un nouveau référendum
L'ex-ministre française des Affaires européennes Nathalie Loiseau s'est déclarée aujourd'hui opposée «à titre personnel» à la tenue d'un nouveau référendum au Royaume-Uni sur le Brexit, une option qui relèverait selon elle d'un «déni de démocratie».
» LIRE AUSSI - Brexit: le Parlement britannique prend le contrôle du processus
La confusion demeure sur l'avenir du Brexit tant le sujet divise les parlementaires et le gouvernement britanniques, à quelques semaines de la sortie théorique du Royaume-Uni de l'Union européenne, programmée en théorie le 12 avril, le 22 mai, voire plus tard, selon les scénarios.
«Je suis à titre personnel hostile à un nouveau référendum maintenant parce que je trouve que ça serait un déni de démocratie», a dit, sur BFM TV, Nathalie Loiseau, qui a quitté mercredi le gouvernement pour conduire la liste de La République en marche et du MoDem aux élections européennes du 26 mai.
«Je pense qu'il faut que les Britanniques sortent», a-t-elle ajouté.
L'ex-ministre a imputé le «chaos» actuel aux «slogans simplistes» brandis selon elle par les partisans du divorce avec l'UE lors de la campagne qui a précédé le référendum du 23 juin 2016.
Brexit: Loiseau «hostile» à un nouveau référendum
L'ex-ministre française des Affaires européennes Nathalie Loiseau s'est déclarée aujourd'hui opposée «à titre personnel» à la tenue d'un nouveau référendum au Royaume-Uni sur le Brexit, une option qui...www.lefigaro.fr
On s’incline. Remplacer les échanges commerciaux avec la France contre ceux du Tuvalu , quel coup de génie. Ceux de l’Allemagne contre Nauru , l’Italie contre Kiribati, l’Espagne conte Pitcairn. Quel coup magistral.A propos de commerce
Ce matin je lisais un article le Commonwealth c'est 2 milliards 400 millions d'individus !
Intra-Commonwealth trade and productive greenfield investment is expected to reach 1.6 trillion dollars by 2020, in spite of the global trade slowdown caused by the 2008 financial crisis.
This rising share of intra-Commonwealth trade and investment underscored the growing significance of Commonwealth markets for member countries, according to a new report issued by Niall Jeger, Communications Officer, Commonwealth Secretariat.
The Commonwealth is a voluntary association of 53 independent and equal sovereign states and is home to 2.4 billion people and includes both advanced economies and developing countries.
Commonwealth Trade Review 2018 said proactive policy measures such as improving trade facilitation or tackling non-tariff barriers could trigger even greater gains for member countries.
In 2017, cumulative intra-Commonwealth greenfield foreign direct investment was estimated at $700 billion, creating 1.4 million jobs through 10,000 projects.
The new research was prepared ahead of this month’s Commonwealth Heads of Government Meeting, taking place in London.
Intra-Commonwealth trade and investment would be a major issue under discussion with member countries seeking to expand markets and increase growth.
Intra-Commonwealth trade, investment to exceed $1.5trn
Intra-Commonwealth trade and productive greenfield investment is expected to reach 1.6 trillion dollars by 2020, in spite of the global trade slowdown caused by the 2008 financial crisis.www.premiumtimesng.com
Les fonctionnaires British ? Boîte privée, ils seront plus que welcome. T’inquietes pas pour eux. Les députés anglais? Vu le niveau acutel à Londres, il y a des postes qui vont s’ouvrir bientôt.1 semaine pour trouver du boulot à des incompétents, c'est juste quand même.
Pas sûr qu'en "traversant la route" ils trouvent un job avec un salaire qui gaze (ben ouais, ce ne sont pas des prolos).
Enfin May a dit qu'elle partirait SI SON DEAL ETAIT ADOPTE.... et ça, c'est pas encore gagné...Les députés s’amusent. On verra bien la dernière semaine. Une fois May out, tout changera.
Le droit des peuples à disposer d'eux même fait qu'on ne peut pas aliéner indéfiniment un peuple à un traité qu'il ne veut plus. D'où la présence de l'article 50 et de la durée de deux ans maximum, sauf accord pour prolonger. Donc meme si le parlement ne veut pas sortir sans accord, à un moment ce sera une sortie sans accord de fait lorsqu'une des deux parties (UE / GB) ne voudra pas prolonger encore une fois.Comment vont-ils faire techniquement ?
L'option de révocation de l'article 50 était parmi les 8 possibilités soumises au vote indicatif du parlement, hier. Mais comme les 7 autres, elle n'a pas obtenu la majorité.
La question s'adressait à @Breizh In China qui affirmait que la révocation de l'article 50 devenait de plus en plus probable.Le droit des peuples à disposer d'eux même fait qu'on ne peut pas aliéner indéfiniment un peuple à un traité qu'il ne veut plus. D'où la présence de l'article 50 et de la durée de deux ans maximum, sauf accord pour prolonger. Donc meme si le parlement ne veut pas sortir sans accord, à un moment ce sera une sortie sans accord de fait lorsqu'une des deux parties (UE / GB) ne voudra pas prolonger encore une fois.
La révocation de l'article 50 unilatérale par la GB est a priori la seule possibilité à sortir du schéma expliqué. Les votes d'hier n'étaient que consultatifs, et si c'est comme en France, c'est le chef d'état qui est le garant de l'application des les traités internationaux.La question s'adressait à @Breizh In China qui affirmait que la révocation de l'article 50 devenait de plus en plus probable.
Je demandais quel scénario conduirait à cette révocation et donc à l'abandon du Brexit.
Ton post, aussi intéressant soit-il, ne répond pas à cette question.
Donc Theresa pourrait décider toute seule, comme une grande, sans l'accord du parlement de révoquer l’article 50, c'est à dire d'annuler purement et simplement le Brexit ?La révocation de l'article 50 unilatérale par la GB est a priori la seule possibilité à sortir du schéma expliqué. Les votes d'hier n'étaient que consultatifs, et si c'est comme en France, c'est le chef d'état qui est le garant de l'application des les traités internationaux.
Pas besoin du parlement ? Alors bye bye article 50. Bonjour UE. Par contre les diplomates vont avoir des années difficiles.Donc Theresa pourrait décider toute seule, comme une grande, sans l'accord du parlement de révoquer l’article 50, c'est à dire d'annuler purement et simplement le Brexit ?
Ou quand tu dit le "chef d’état", c'est de la Reine dont tu parles?
Là je ne sais pas trop, en effet cela pourrait remonter jusqu'à la Reine (qui a d'ailleurs déjà signé le Royal Assent sur la loi du Brexit, qui par conséquent est en théorie définitif).Donc Theresa pourrait décider toute seule, comme une grande, sans l'accord du parlement de révoquer l’article 50, c'est à dire d'annuler purement et simplement le Brexit ?
Ou quand tu dit le "chef d’état", c'est de la Reine dont tu parles?